Les dérapages verbaux de Kandia

Kandia kamissoko Camara alias kandiarousse, ministre de l’éducation nationale du régime RDR de Allassane Dramane Ouattara sur Africa 24. » JE SUIS HUMBLE DANS MES PROPOS MAIS MA HUMBLESSE FAIT PARTIE DE MES QUALITÉS  » Il y a quelques jours, s’exprimant sur la RTI, elle invitait les parents d’élèves à s’adresser chacun à l’école de son établissement !

Pauvre côte d’Ivoire !

INCOMPÉTENCE… ETC

VRAI BIOGRAPHIE DE KANDIA CAMARA

Kandia Kamissoko Camara, Ne le 17 juin 1959 en Guinée, est de  » nationalité ivoirienne « , mais d’origine guinéenne.
Née précisément dans la ville de N’zérokorè son père se nomme Camara Aboudramane et de mère Hadja Koumbafing Kouyaté en image ci- dessous, décédée le dimanche 19 juin 2016.

Son père et sa mère viennent du village de Kankako situé entre Baffo et Boké.

Elle alla chez son oncle le 6 septembre 1965 dans la ville de Kankan qui est la deuxième capitale guinéenne après Conakry, elle est située en haute Guinée sur le fleuve MILO, qui est par ailleurs le plus long fleuve de la guinée comme en côte d’Ivoire le plus long fleuve est le « Comoè ».

Kandia Kamissoko Camara inscrite à l’école primaire public de Dramé Kankan, située dans la commune urbaine de Kankan. Elle Obtient son CEPE le 6 juin 1970 . Orientée au lycée Mariamagbè Kaba qui comptait à l’époque 1235 élèves repartis dans 20 salles de classes situé dans la sous- préfecture de Kanfamoriah à 10 Km au nord de » Kankan », à 6 Km de la ville de Labé et, à 18 Km de la ville de Conakry.

Kandia Kamissoko Camara très amoureuse du handball féminin arrêta les études au milieu de l’année en » classe de 4 ème » pour commencer une carrière handballistique.

Encouragée par son oncle Mr Kouyaté Lamine et avec l’aide de  » Mr Djeni Kobenan, Kandia Kamissoko Camara vient pour la première fois en côte d’Ivoire en 1972 et s’installe chez son oncle maternelle MR Kouyaté Lamine qui reside à Abidjan précisément dans la dans commune de Treichville pour commencer une carrière d’handballeuse en côte d’Ivoire.

Elle a été 2 fois championne de côte d’Ivoire en 1974 et 1980 avec toujours comme niveau d’étude la classe de « 4 ème et Demi » parce qu’elle n’a pas terminé l’année. Voilà la réalité !

Chers amis Africains ! Chers gors ! Et comme de façon spectaculaire, elle disparaît des radars pour réapparaître en 2011 ou elle devient ministre de l’éducation nationale.

Faut-il vraiment respecter la classe sociale ivoirienne ?

Nous Savions tous qu’en côte d’Ivoire, un enfant Ivoirienqui na jamais mis les pieds au CP1 mais lorsqu’il s’exprime en Français tout le monde est content alors même qu’il n’a pas encore commencé une carrière scolaire.

Alors Kandia Kamissoko Camara n’a jamais eu une Licence en Anglais comme on veut nous le faire croire, elle n’a jamais enseigné non plus l’anglais dans un seul collège comme on veut nous le faire croire. Voilà la réalité !
Soro Guillaume a une licence en anglais, admirez le français qu’il parle comparé au français poubelle de Kandia Kamissoko Camara.
Est ce que une personnalité qui a une licence en anglais peut parler français comme Kandia Kamissoko Camara ? Jamais, parce que nous somme en Afrique et la Guinée, la côte d’Ivoire, le mali, le Burkina,le Sénégal ont été colonisés par la France.

Kipre Zelega
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En plus d’ être ministre de l’éducation nationale et de la formation professionnelle, Kandia Kamissoko Camara a été nommée récemment en juillet 2019 inspecteur général de l’éducation et de la formation par ouattara à titre exceptionnel avec le grade unique A7. Mais comment cela a pu être possible ? C’ est ça la vraie question. Depuis que cette femme s’est révélée à la Côte d’Ivoire qu’est-ce qu’elle a du apporter d’innovant à l’éducation nationale dont elle a la charge depuis bientôt 10 ans ? Dans les manuels scolaires de nos enfants sa maltraitance de la langue française y est répertoriée. Et quotidiennement elle continue sa saga de défier l’intelligence des ivoiriens. Je ne saurai énumérer ici ses gaffes sur la langue française. Certes le français est une langue d’emprunt pour nous mais elle demeure une langue administrative en Côte d’Ivoire. D’où l’intérêt de s’exprimer correctement pour mieux se faire comprendre. On ne demande pas aux gens d’utiliser un langage hautement soutenu mais plutôt un langage clair, acceptable non en conflit avec la pratique consensuelle et admise de tous. Finalement cette femme reste un grand problème au problème de l’éducation nationale en Côte d’Ivoire.
Bon samedi à vous
Amoungnan

Jean-Marie Dekpai