CPI : interrogatoire très surréaliste….

UNE ENTREPRISE DU FAUX ?

Entre la vingtième et la la vingt-quatrième minute ( A voir )

Tout porte à croire que le bureau du procureur a fait du faux. Non seulement le témoin ne reconnaît pas un document mais il ajoute :  » Tout porte à croire que ce document est un faux pour la simple raison que l’aide de camp ( le présumé destinataire du courrier ) est avec moi au quotidien. »

Une façon de dire qu’un courrier n’était pas nécessaire. Le témoin ne reconnaît d’ailleurs pas tous les autres documents qui lui sont présentés sous la forme de photocopies, les originaux, selon le bureau du procureur, étant laissés à ceux qui ont fourni ces documents. Une chose que déplorera le président parce que ce défaut d’original ne permet pas d’authentifier les documents.

Dans cette affaire donc, et c’est un commentaire personnel, on pourrait avoir la photocopie d’une photocopie manipulée, avec une signature du Général Kassaraté mal imitée, et ce serait sans doute là la raison pour laquelle il ne peut reconnaître ce document.

Alexis Bayoro Gnagno