Bientôt 10 000 morts et 2 millions d’effets secondaires susceptibles d’être liés aux « vaccins » contre la Covid-19
par Frederic Gobert.
Le premier tableau ci-dessous recense le nombre « d’effets indésirables susceptibles d’être liés à l’utilisation » des « vaccins » Moderna, Pfizer et Astra Zeneca dans l’Union européenne, mis à jour le 24 avril 2021 (adrreports.eu).
Les critères de classement sont ceux du site officiel européen European Medicines Agency/EudraVigilance. Tout ce qui suit peut être vérifié en suivant les indications détaillées données dans mon précédent article :
Le total des « effets indésirables susceptibles d’être liés à l’utilisation de médicaments » mis à jour le 24 avril 2021 se monte à UN MILLION SEPT CENT CINQUANTE ET UN MILLE CENT SOIXANTE-DIX-HUIT, dont 1 335 168 effets secondaires non résolus ou « en cours de résolution », soit une augmentation de 170% d’effets secondaires non résolus en trois semaines seulement par rapport au 3 avril (voir les chiffres du 3 avril dans mon précédent article).
Au 3 avril 2021, 5 966 décès étaient officiellement susceptibles d’être liés aux quatre « vaccins » utilisés dans l’Union européenne.
Trois semaines plus tard, au 24 avril, pour les seuls « vaccins » Moderna, Pfizer et Astra Zeneca (sans même comptabiliser le « vaccin » Janssen, peu inoculé à ce jour dans l’UE), on atteint 8 686 décès susceptibles d’être liés à ces trois « vaccins », c’est-à-dire une augmentation de près de 50%.
Ci-dessous, vous trouverez le détail des effets secondaires susceptibles d’être liés aux « vaccins » officiellement recensés au 24 avril 2021.
Sur la page d’accueil de la « base de données européenne des rapports sur les effets indésirables suspectés des médicaments », où sont recensés ces effets secondaires (adrreports.eu), on trouve cette mise en garde :
« Les informations publiées sur le présent site internet concernent des effets indésirables suspectés, par exemple des événements médicaux ayant été observés après l’utilisation d’un médicament, mais qui ne sont pas obligatoirement liés ou dus au médicament. Les informations sur les effets indésirables déclarés ne doivent pas être interprétées comme signifiant que le médicament ou la substance active provoque l’effet observé ou que son utilisation présente un risque. Seules une analyse détaillée et une évaluation scientifique de toutes les données disponibles permettent de tirer des conclusions robustes sur les bénéfices et les risques d’un médicament ».
Cette mise en garde est surprenante. En effet, un lien concernant spécifiquement les « vaccins » contre la Covid-19 est présent sur cette page d’accueil vers le rapport analysant les chiffres ci-dessus. Ayant cliqué sur ce lien le 25 avril, je n’ai pas été orienté vers ledit rapport, de sorte que je n’ai pas été en mesure de le retrouver en suivant les indications fournies par le site (cela ne préjuge pas de ce que d’autres internautes trouveront si des modifications sont ultérieurement apportées sur ce site). On pourra aussi se reporter à mon précédent article sur ce point.
Pourquoi cette mise en garde et ce lien qui concerne spécifiquement la Covid-19 sur la page d’accueil du site adrreports.eu ? Peut-être parce que des « experts » interrogés dans les « grands médias » expliquent depuis le mois de février 2021 que ces effets secondaires, quelle que soit leur quantité, ne doivent en aucun cas être interprétés comme pouvant être attribués aux « vaccins » contre la Covid-19, et ce alors même que pas loin de deux millions d’effets secondaires sont officiellement « susceptibles » d’être liés aux « vaccins » sur ce site. (Au rythme de la vaccination dans l’UE et de l’accroissement exponentiel des effets secondaires, on atteindra ces deux millions d’effets secondaires d’ici quelques jours.) On constate enfin que cette mise en garde reprend presque à l’identique les propos des « experts », quel que soit le caractère invraisemblable de l’affirmation.
Quand on compare le nombre d’effets secondaires recensés officiellement sur le site d’EudraVigilance à ceux qui sont régulièrement cités dans les « grands médias », infiniment inférieurs (quelques dizaines de décès, etc.), on ne peut que se demander quelles sont les sources des journalistes et quelles procédures ils mettent en œuvre pour vérifier ces chiffres avec rigueur.
J’ajouterai un témoignage personnel. Je connais des personnes dont des proches, juste après avoir été vaccinés, ont été hospitalisés, gravement malades, sans la Covid-19, ou ont attrapé la Covid-19 et ont été hospitalisés, dans un état grave ou non, ou encore sont décédés. À ma connaissance, aucun de ces cas n’a été déclaré et répertorié sur le site d’EudraVigilance, ce qui m’amène à poser une question à tous les lecteurs et à toutes les lectrices de cet article : Connaissez-vous quelqu’un ayant subi des effets secondaires graves après avoir été vacciné ? Écrivez-le dans les commentaires et précisez si oui ou non cet effet secondaire a été répertorié au niveau européen sur le site d’EudraVigilance. Si vous ne savez pas si l’effet secondaire a été recensé officiellement par le personnel médical, vous pouvez le lui demander.
Pourquoi ai-je précisé « des effets secondaires graves » ? Parce que l’un des arguments préférés de ceux qui affirment que les effets secondaires dus aux « vaccins » sont sans importance est le fait que ces effets secondaires seraient toujours mineurs : une fièvre légère presque toujours, et toujours passagère… C’est un mensonge, les chiffres d’EudraVigilance permettent de l’affirmer. Car même si « scientifiquement », comme l’affirment les « experts », rien n’est prouvé, comment affirmer que près de deux millions d’effets secondaires dont près de dix mille morts sont légers et passagers ?…
source :