Benalla, toujours…

CESSONS DE FAIRE LES ENFANTS… !

Opinion intéressante, mais l’ingérence étrangère me fait un peu sourire, car ce monsieur n’aurait pas sous ces avantages en nature, s’il n’était pas sous la protection directe d’Emmanuel Macron…Homme de confiance de Macron et son « oreille » me semblerait plus plausible…

La défense adoptée par Alexandre Benalla en garde à vue

LE “MACOUTE” N’ÉTAIT PAS SEULEMENT UN GARDE DU CORPS, MAIS TOUT D’ABORD ET SELON LA MISSION MÊME QUI LUI FUT CONFIÉE AU 1er MAI, UN “AGENT DE RENSEIGNEMENT ”… !

Qui ne comprend immédiatement ce que signifie exactement et ce qu’implique, le fait que c’est homme soit en fait un “agent de renseignement”, autrement dit, un “espion”… ?

L’art de l’embrouille c’est de rendre une affaire extrêmement simple, affreusement compliquée en y mêlant une foule de détails sans réelle importance et en en faisant grand cas, afin de multiplier les pistes pour égarer ceux qui tenteraient de savoir, et que demeure masqué l’essentiel…

Quel est l’essentiel dans cette affaire… ?

Certainement pas le fait que sur sa seule initiative, cet homme s’en soit pris avec violence à des manifestants qui ne présentaient aucun danger, sans avoir aucunement qualité pour le faire et en usurpant une identité de policier, même si cela est grave et appellerait normalement une sanction administrative s’il s’agissait d’un agent de l’état, ce qui n’est pas le cas, et une sanction pénale dès lors qu’il aurait été poursuivi, ce qui n’a curieusement pas été le cas, jusqu’à ce que cette affaire ne prenne la tournure alarmante que nous constatons…

L’embrouille réside alors dans le fait que tout le battage médiatique ne parle que de cet aspect du problème, comme s’il s’agissait de l’essentiel, ce qui n’est pas du tout le cas, et n’aborde qu’accessoirement, le fait que cet homme a bénéficié au plus haut niveau de l’état, d’une protection absolument incompréhensible, s’il n’avait été question que de lui éviter une condamnation pour ces quelques voies de fait et cette usurpation d’identité.

Cette modération tient au fait que dans tout ce battage médiatique, on omet de s’appesantir sur l’essentiel à savoir que selon le secrétariat même de l’Elysée, cet homme aurait été “autorisé” à se rendre durant son jour de congé, sur le lieu de la manifestation, à seule fin “d’observation”, sans avoir aucunement mission ni qualité pour intervenir de quelque façon. Ce qui est alors extraordinaire, c’est que cette idée de simple “observation” n’alerte personne et passe comme une lettre à la poste, parce qui toute la focalisation est faite par toute cette presse, sur sa seule intervention musclée…

Soyons sérieux… !
An nom de quoi et selon quelle disposition règlementaire, un simple garde du corps, qui plus est tel qu’on nous le dit, sur son jour de congé, devrait obtenir une autorisation pour simplement déambuler dans les rues de Paris et s’en aller au devant d’une manifestation… ?

Tout juste un règlement pourrait lui faire commandement de ne jamais prendre part à quelque mouvement que ce soit pour sa sécurité et pour ne pas avoir à révéler son identité, mais on ne voit absolument pas à quels impératifs professionnels, en tant que simple garde du corps, il devrait s’enquérir d’une autorisation pour simplement aller humer l’air du temps et voir “ce que ça donne” pour son information personnelle…

Il est temps de sortir de toute cette naïveté journalistique qui ne s’attarde que sur les coups de poing et les autres aspects délictueux et spectaculaires de ce dérapage et comprendre que sous la formule fallacieuse, “autorisé à se rendre pour observation”, cet homme a tout simplement été “missionné” pour se rendre dans cette manifestation afin de collecter du “renseignement”, ce qu’on élude en parlant d’observation…

Or, si cet homme a été missionné afin de faire du renseignement, c’est qu’il s’agit bel et bien et tout simplement d’un “agent de renseignement”, donc d’un espion selon sa véritable fonction, laquelle se trouve masquée sous une charge officielle de garde du corps, couverture idéale en la circonstance, puisque la presse ne voit que cela…

En effet, que peut-il y avoir de plus redoutablement efficace pour les services d’une puissance étrangère, que de parvenir sous la couverture d’une société de protection privée, à faire qu’un de ses agents devienne le garde du corps d’un président de la république qu’il suit tout le temps et absolument partout, presque jusqu’aux toilettes… ?

Cet agent se trouve ainsi confortablement en situation de pouvoir rendre compte de tous les déplacements du chef de l’état, de tous ses contacts, surprendre même quelque bribes de conversation avec ses partenaires, accéder à des zones confidentielles, décrire parfaitement l’organisation des services, et même obtenir dans une discussion amicale et un moment de relâchement du président, quelques informations qui ne sembleraient anodines qu’à ceux qui ne connaissent pas l’art et la manière des services de les décortiquer, ou de les synthétiser…

On se souvient dans ce domaine de la fameuse affaire “Philby”, dans laquelle les services spéciaux soviétiques, le redoutable KGB, étaient parvenus à faire d’un de leurs agents, le chef du contre-espionnage britannique, c’est-à-dire l’homme même qui était chargé pour la Grande Bretagne, de lutter contre les espions soviétiques, et c’en était justement un…!

Les Britanniques comme on l’a vu récemment, conservent une rancune tenace contre les Russes depuis cette affaire qui eut pour eux des conséquences catastrophiques…

Ceci pour dire que l’idée d’un agent d’une puissance étrangère qui, sous couvert d’une société privée de protection, serait parvenu dans l’entourage le plus immédiat du président de la république française, hypothèse terrifiante, n’a malheureusement rien d’invraisemblable…

Or que constatons-nous, c’est qu’il existe un service officiel de la république française de protection du chef de l’état, le GSPR, soumis bien-sûr à un contrôle administratif, constitué de 46 professionnels, policiers, et gendarmes issus du GIGN, parfaitement entrainés et équipés, professionnels et efficaces, et on ne voit absolument pas, s’il ne s’agissait pas d’une couverture, qu’elle pourrait être la nécessité d’un deuxième service de protection, privé celui-ci et constitué de quelques macoutes caractériels placés sous le seul contrôle du secrétariat de la présidence de la république, pour effectuer exactement la même mission ?

Le problème, c’est que ce groupe prétendument de protection, ne relève d’aucune structure administrative de l’état français dont les services sinon les activités, sont parfaitement connus.

Qui le dirige, et au service de qui…?

L’individu possède un master de droit, et il ne s’agit donc pas d’une petite frappe de banlieue qu’on s’en est allé recruter pour faire le coup de poing, et il est manifeste qu’il se trouve dans les allées du pouvoir depuis déjà plusieurs années…

Que faisait-il d’ailleurs dans le bus des Bleus, sinon du renseignement…?

Personne ne peut croire que tout cela s’est bricolé à la va vite autour d’une table à la présidence de la république, et force est de constater qu’une structure qui ne relève pas des services de l’état français, opère impunément au sommet même de l’état et ses agents volontiers délinquants, bénéficient d’une exceptionnelle protection…

Oubliez donc les bagarres de la place de la Contrescarpe, mascarade de détournement, car ce qui nous concerne en cette affaire est infiniment plus grave, puisqu’il apparait que cet homme n’utilise la fonction de garde du corps que comme couverture, que n’apparaissant pas dans les services français, il ne peut s’agir que d’un agent d’une puissance étrangère qui du fait de cette ingérence, est hostile à la nôtre, et toute la question terrifiante est de savoir si le président en est la victime, ou s’il n’est pas lui-même un élément du dispositif… ?

Je vous abandonne le soin et la lourde responsabilité de vous interroger sur cette dernière considération et de répondre…
Jc Richard Pulvar

_____________________________

Je n’aime pas beaucoup Nordpresse, ce journal belge satirique qui ressemble au Gorafi Français (d’ailleurs bien silencieux !) trop souvent les gens véhiculent des scoops totalement imaginaires, mais qui rapportent bcp d’argent à leurs auteurs., tellement ils rapportent des « nouvelles » sensationnelles.
Par contre cette affaire dérange, alors pour une fois, je ne vais pas discréditer Nordpresse qui donne des fake news plus vraies que nature, et qui a donc amplifié le phénomène Benalla en écrivant par exemple que Benalla était le français qui se trouvait sur le balcon jouxtant celui où un jeune enfant était en péril, et qui a été sauvé par le jeune Gassama, migrant africain (qui a maintenant intégré le corps des pompiers stagiaires parisiens). Il semblerait que tous les articles en lien avec l’affaire sont supprimés, empêchés d’être copiés puis collés, grâce à l’interactivité de Mark Zuckerberg, patron de FB, un bon ami d’Emmanuel Macron et de la « déontologie » mainstream.
Ceci c’est pas une fausse info et c’est TRÈS grave. Merci de lire ce qui suit.
Depuis ce matin nous avons reçu des centaines de messages de gens qui ont vu leurs partages d’articles Nordpresse supprimés de Facebook puisque considérés comme indésirables.
TOUS ces articles concernaient l’affaire Benalla ou Macron. On sait comme le patron de Facebook France est en lien direct avec l’Elysée après l’affaire Génération identitaire.
Bordel, on tombe littéralement de notre chaise. Est-ce ça aujourd’hui la démocratie française ? Mettre un site satirique sur liste noire parce qu’il en rajoute sur ce qui est déjà une affaire d’état ?
On va continuer à essayer de comprendre mais les centaines de témoignages reçus ce matin nous terrifient. Pas pour nous et nos clics.
Pour la démocratie qui est plus que jamais en péril.
Et si les grands médias taisent la censure qui nous est encore une fois appliquée, on saura ce qu’il en est de leur complicité.
Merci de partager. L’heure est grave.

Nordpresse
Voici ce qu’écrivait ce matin le journal  « Le parisien »
https://scontent-mrs1-1.xx.fbcdn.net/v/t1.0-9/37578806_205538503463249_8271004721624383488_n.jpg?_nc_cat=0&oh=fec8abdf5f9360d7f705d5d11b3fa2c1&oe=5BC77C81
Pour des raisons liées à une censure éventuelle, je vous propose de  lire encore les articles ci-dessous, informations russes, non partagées sur nos médias…
la ligne de défense qui serait adoptée par l’homme du président.
La défense adoptée par Alexandre Benalla en garde à vue

Benalla allait-il diriger un nouveau GSPR réformé et moins dépendant de la police ?
«Il y a quelques mois, on nous a prévenus que le GSPR allait quitter le giron de la police nationale pour devenir une entité à part, sous l’autorité unique de l’Elysée, et qui pourrait recruter en dehors de la police et de la gendarmerie.»