La terrible épidémie de Choléra sévissant presque exclusivement dans les régions contrôlées par les forces Houthies au Yémen et qui a déjà affecté plus de 500 000 personnes dans un pays totalement détruit aurait été provoquée et relèverait donc d’un effort de guerre biologique menée par la coalition militaire de Ryad avec l’appui actif des États-Unis et de la Grande-Bretagne contre ce pays très pauvre de la péninsule arabique.

Outre le bombardement systématique des infrastructures de base, des systèmes d’approvisionnement en eau et en électricité, des dispensaires, des centres d’assainissement, des silos de stockage des aliments et du réseau routier, il s’avère que le bacille Vibrio cholerae (souche O139 apparue pour la première fois au Bangladesh en 1992) contaminant les populations yéménites est génétiquement modifié.

On est donc en présence d’une guerre biologique en plus d’une terrible guerre conventionnelle comprenant toute la panoplie moderne des bombes et des missiles Air-Sol, y compris les FAE (Fuel Air Explosive) et d’autres bombes expérimentales que certains analystes ont assimilé à des micro-bombes nucléaires tactiques, a été utilisée.

Ryad n’a nullement toléré que son territoire soit la cible de missiles Scud lancés par les forces de l’ex-président yéménite Ali Abdallah Saleh, un survivant du printemps arabe et le principal allié des Houthis.

source: https://strategika51.wordpress.com/2017/08/20/yemen-la-guerre-biologique/