Syrie, 13 mille meurtres dans une prison? c’est la version Soros

SYRIE. 13.000 personnes pendues en cinq ans dans une prison

 Un « abattoir humain » ! Amnesty International a accusé mardi 7 février le régime syrien d’avoir pendu quelque 13.000 personnes en cinq ans, entre 2011 et 2015, dans une prison gouvernementale près de Damas, dénonçant une « politique d’extermination ».

Intitulé « Abattoir humain : pendaisons et extermination de masse à la prison de Saydnaya », le rapport de l’ONG se base sur des entretiens avec 84 témoins, au nombre desquels des gardiens, des détenus et des juges.
la suite sur NouvelObs.com

Nous croyions que la pression sur la Syrie d’Assad se relâcherait, mais non, cette fois, Amnesty International, une ONG fondée et sponsorisée par Mr Soros, sort son dossier « accablant » contre le régime syrien. Evidemment, il va s’en suivre une intervention de Madame Bensouda, procureur de la CPI qui court après un nouveau candidat/prisonnier:bourreau de son peuple…
Ci-dessous une autre version, celle d’un journaliste syrien qui relaie depuis le début le cauchemar des populations face à daesh, mais voilà ce n’est pas la version autorisée…

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DES FRAPPES ÉMOTIONNELLES CONTRE LA SYRIE
Sednaya et des prétendus crimes de guerres perpétrés par « le régime » syrien, parlons-en..
La loi 49 votée en 1980 par l’assemblé du peuple (le parlement syrien), et dans un unique article et alinéas, criminalise tout adhérant à la confrérie des frères musulmans, et est passible d’office à la peine capitale de mort.
Malheureusement cette peine n’a été que rarement utilisée
Amnesty international pond après un silence macabre un rapport voulu accablant contre une république qui essaie de panser ses plaies, après des rudes batailles pour libérer Alep,
Et Alep est libérée, à en déplaire à certaines puissances mondiales,
pour aussi libérer les sources d’eau de Damas,
et l’eau est revenue aux domiciles, dont le mien après plus de 40 jours de calvaire inqualifiable.
« Des abattoirs humains, des charnières, des pendaisons en masse, une cinquantaines de prisonniers pendus chaque semaine, parfois à deux reprises, qui ont fait un total de 13000 morts depuis 2011 jusqu’à lors, pour la simple raison, d’avoir été opposants au régime en place » martèle le rapport de l’ONG AI.
La question qui se pose : est-ce que l’islamiste daechi est un opposant politique?
Ben, j’aurai sincèrement souhaité que ça soit vrai, car ça nous aurait évité beaucoup de sang coulé et beaucoup de haine propagée par ces « gentils » prisonniers.
La prison de saidnaya construite en 1987 au pied d’une montagne à environ 30 km au nord de Damas, a été conçue comme un centre pénitentiaire des délinquants de l’armée, mais elle a été vite transformée en prison des criminels les plus redoutables, à savoir les islamistes de tout bord qui combattent l’État syrien depuis 6ans.
Un des locataires de cette prison fut le fameux chef de l’armée de l’islam, Zahran Allouche, abattu par un raid aérien en 2015.
Au début des émeutes en mars 2011 à Derra (regardez dans mes articles), le président Al Assad, voulant calmer, voir neutraliser les islamistes trop agités, il a blanchi les prisons dont saidnaya qui abritait les salafistes les plus violents qui vont quelques mois plu tard créer les brigades du front al-Nosra (juillet 2011) et l’armée de l’islam financée par l’Arabie et encadrée par les FSB.
Nous reprochons, par contre, au gouvernement syrien d’être trop laxiste au début des émeutes sanglants, avec ces criminels barbus, déplorés pitoyablement par l’ONG AI et de facto par les médias aux ordres.
Il est fort regrettable que cette ONG londonienne sensée défendre les opprimés sur terre, la voilà passe de la défense des proxénètes à la défense des terroristes les plus barbares en Syrie.
Aucune crédibilité à ses torchons mensongères appelés injustement rapports

Affaire à suivre

Aucun texte alternatif disponible.
Nous parlerons aussi des femmes enlevées en pleine journée par l’armée de l’islam, remises en cages sur les toits des immeubles à Douma pour être épargnés des bombardements syriens et russes aussi.
Said Hilal Alcharifi