Laurent Gbagbo n’est pas un fond de commerce
Chers amis,
CPI : LE PRESIDENT GBAGBO NE DOIT PAS ETRE UN FONDS DE COMMERCE
La Cour Pénale Internationale (CPI) a concédé que le procès du président Gbagbo allait certainement être retardé en raison de problèmes de trésorerie. Je suis vraiment outré d’un tel aveu. On ne peut pas arrêter une personne, la maintenir en prison alors que la preuve de sa culpabilité n’est pas faite et prétendre que l’on cherche des moyens financiers pour tenir le procès.
Le président Gbagbo ne saurait être un fonds de commerce pour cette Cour qui inspire de plus en plus de rejet aux Africains. Si elle n’a pas les moyens financiers pour que le procès se déroule actuellement alors qu’elle accorde au moins la liberté provisoire à notre leader le temps qu’elle remplisse ses caisses. Mais c’est totalement absurde de priver un leader de son envergure de liberté et en faire un fonds de commerce. Non les africains ne doivent pas accepter d’être ridiculisés de la sorte. Pourquoi c’est le président Gbagbo qui devrait faire les frais du déficit de fonds à la CPI ? Ceux qui ont institué cette justice pour servir leur dessein n’ont-ils pas pensé à son fonctionnement ?
Que les caisses de la CPI soient vides, je le comprends mais je suis sidéré que le président Gbagbo ne bénéficie pas d’une liberté provisoire le temps que ce problème soit réglé puisqu’il n’est pas responsable du manque de d’argent de cette Cour.
PSK, Stéphane Kipré (gendre de Laurent Gbagbo)