La version Jeune Afrique des élections qui dédouane Ouattara
JEUNE AFRIQUE ESSAIE DE FAIRE PASSER OUATTARA POUR CE QU’IL N’EST PAS
On ne sait pas pour qui Jeune Afrique nous prend mais Ouattara n’a pas besoin d’aller au siège du RDR pour faire respecter le résultat des urnes, et il n’y a pas besoin d’attendre deux jours pour connaître des résultats disponibles dès le soir de l’élection. Ce qu’il s’est passé au Plateau est assez grave puisque pour une simple élection municipale, Bédié n’ayant pas confiance en la CEI a dû alerter les chancelleries qui ont dû, une fois de plus, s’immiscer dans les affaires intérieures d’un état.
Alexis Gnagno
Quelques commentaires repris à la suite de cette publication :
N’importe quoi! On n’avait pas besoin de faire toute cette gymnastique pour annoncer le résultat de la commune la moins peuplée d’Abidjan. Ce qui me sidère, c’est la malhonnêteté intellectuelle de jeune @frique.
N’importe quoi! On n’avait pas besoin de faire toute cette gymnastique pour annoncer le résultat de la commune la moins peuplée d’Abidjan. Ce qui me sidère, c’est la malhonnêteté intellectuelle de jeune @frique.
Une seule phrase à la fin: « Ado insiste pour que les résultats des urnes soient reconnus ». Cela veut en substance dire que le Rhdp et Bayoko avaient décidé de faire autrement.
Ils cherchaient à inverser les résultats
si ADO insiste et obtient gain de cause, c’est que cette CEI est totalement manipulable, puisqu’on peut infléchir ses décisions.. Tout prouve donc que cette CEI est illégale, illégitime, corrompue, et donc porteuse de troubles… Oh honte.
Bédié savait que les fraudes programmées par la Commission Électorale, commission dans laquelle lui-même n’avait pas confiance au départ, -Il l’avait fait savoir dans une déclaration-, se feraient contre son parti, le PDCI RDA. Et pourtant il s’était entêté à aller à ces élections où les dés étaient pipés.
On comprend maintenant qu’il comptait sur les chancelleries occidentales pour défendre ses victoires.
C’est une honte pour un pays de faire toujours appel à des puissances étrangères pour régler des litiges électoraux.
Ni Bédié, ni Ouattara ne peuvent développer un pays car ils sont loin d’être des souverainistes.Ils iront toujours pleurer devant l’étranger pour qu il règle leurs litiges de famille.
En le faisant, ils leur accordent, à eux et à leurs entreprises, une place de choix dans le tissu économique du pays. Car on ne fait rien pour rien, on le sait.
Toute chose qui compromet le développement endogène du pays en favorisant la sortie des fortunes par les frontières du pays en direction d’autres pays qu’elles iront enrichir.
Bédié et Ouattara se ressemblent. Ils sont tous les deux extravertis. Voici pourquoi ils ne s’entendent jamais. Et leurs querelles qui durent depuis un quart de siècle et qui créent un désordre permanent en Côte d’Ivoire commencent sérieusement à taper sur les nerfs des Ivoiriens.
Jeune Afrique peut raconter ce qu’elle veut pour les niais, mais nous, nous connaissons les réalités politiques de notre pays.
On comprend maintenant qu’il comptait sur les chancelleries occidentales pour défendre ses victoires.
C’est une honte pour un pays de faire toujours appel à des puissances étrangères pour régler des litiges électoraux.
Ni Bédié, ni Ouattara ne peuvent développer un pays car ils sont loin d’être des souverainistes.Ils iront toujours pleurer devant l’étranger pour qu il règle leurs litiges de famille.
En le faisant, ils leur accordent, à eux et à leurs entreprises, une place de choix dans le tissu économique du pays. Car on ne fait rien pour rien, on le sait.
Toute chose qui compromet le développement endogène du pays en favorisant la sortie des fortunes par les frontières du pays en direction d’autres pays qu’elles iront enrichir.
Bédié et Ouattara se ressemblent. Ils sont tous les deux extravertis. Voici pourquoi ils ne s’entendent jamais. Et leurs querelles qui durent depuis un quart de siècle et qui créent un désordre permanent en Côte d’Ivoire commencent sérieusement à taper sur les nerfs des Ivoiriens.
Jeune Afrique peut raconter ce qu’elle veut pour les niais, mais nous, nous connaissons les réalités politiques de notre pays.
« ….Ado insiste pour que la volonté des électeurs soit respectée. » Ado a-t-il besoin d’insister?
Donc l’ambassade du Bénin reconnaît Sawegnon comme leur ressortissant? Pourquoi ne lui avoir pas dit d’éviter la politique ?