François Hollande au Mali

la blague du jour, un tweet de l’Elysée, en direct du Mali

L’image contient peut-être : texte

François Hollande au sommet Afrique-France en direct sur Africa24 : << La France ne laissera jamais l’Afrique. Nous sommes liés car l’avenir de l’Afrique c’est l’avenir de la France. Si l’Afrique est en mal , la France aussi. Les capacités et la prospérité de la France viennent de l’Afrique.>>

Après ce discours , Standing ovation de l’assistance noire.
Vraiment les africains me déçoivent.
Léo Cote d’Ivoire III

SOMMET FRANÇAFRIQUE

IBRAHIM BOUBAKAR KEITA À HOLLANDE.  » Le destin du Mali tenait à votre décision. Et cette décision, vous l’avez prise. » Pour IBK donc, le destin du Mali ne dépend pas des maliens mais de la décision d’un président français.
Alexis Gnagno

Mali/Sommet Afrique-France : trêve entre la France, Mugabe et Kagame ?

Ils n’étaient pas les plus attendus au sommet Afrique-France qui s’est ouvert ce vendredi à Bamako, la capitale malienne. Leur dualité de vision sur la politique occidentale en Afrique les ont souvent éloignés de l’Élysée et de certains pays occidentaux. Pourtant, les présidents rwandais Paul Kagame et zimbabwéen Robert Mugabe ont confirmé leur présence à cette rencontre.
Le président Robert Mugabe, lui, est à Bamako depuis la soirée de jeudi où il a été accueilli par le Premier ministre Modibo Kéita. Quant à son homologue rwandais, c’est aujourd’hui qu’il rejoint ses pairs. Les deux chefs d’État qui ont souvent eu des relations houleuses avec la France, du reste Paul Kagamé à propos du génocide rwandais, ont le mérite, si s’en est un, de répondre rarement à l’appel de ce genre de sommet, contrairement aux chefs d’État de l’Afrique francophone.
Mais ce sommet aux ambitions sécuritaires pour l’Afrique, largement menacée par une horde de groupes djihadistes semble être le prétexte pour taire, ne serait-ce durant 48 heures, les divergences, et évoquer les questions et menaces communes.Reste que la sempiternelle question du respect des Constitutions sera une fois de plus abordée. De quoi faire probablement grogner certains dirigeants africains. Que vaut un rappel au respect de la loi suprême venant d’un chef d’État français en passe de faire ses cartons?
Carole KOUASSI, cameroonvoice

Enregistrer

Enregistrer