Et toujours l’ingérence terroriste dite « humanitaire » en Syrie

Enfin une bonne nouvelle..
Fini le calvaire des habitants de Damas après plus de deux semaines sans eau courante.
l’État a réussi à imposer un compromis permettant la reprise définitive cet après midi aussi bien de la source al-Figeh que le lit de la rivière.
Les terroristes ont été délogés : les syriens sont entrés dans le processus des régularisations alors que les étrangers ont été transportés à Idlel, fief du terrorisme djihadistes international.
Les techniciens de réparation des pompes à eau ont pris possession des lieux aujourd’hui même sous la protection de l’AAS.
La distribution de l’eau commencera partiellement dès ce soir.
Je crois que beaucoup de damascène vont fêter royalement cette occasion après 17 jours de galère.
Plus jamais ça.
L’AAS ouvrira grands les yeux.

une heure plus tard, ce même journaliste écrit :

Urgent..Damas
Je vous annonce dans la désolation totale que la situation est extrêmement tendue en ce moment autour de la source al-Figeh à la suite de l’assassinat, il y a environs 15 minutes, du Général A.Alghadban qui assurait la protection des techniciens de réparation des pompes.
L’armée ne laissera point passer ce crime sans punition.
L’heure des moyens lourds s’imposera.
Said Hilal Alcharifi

Pas étonnant que le Général Ahmad Al Ghadban de l’AAS qui négociait avec les terroristes « modérés » ait été tué !
InfoSyrie.fr

Pour comprendre la « pénurie » d’eau…mais non, les occidentaux n’y sont pour rien!!! l’axe du bien y passe toujours! Le mal, il en Syrie, ceux dont le président a été ré-élu à 87% et qui ont besoin d’être mis sous tutelle parce que la démocratie et l’autodétermination n’est pas pour eux, « on » décide pour eux, la guerre, le chaos, la misère, afin de les manipuler à notre guise

Une « ONG humanitaire » prive d’eau 5,6 millions de civils

Les jihadistes qui ont pollué, depuis le 24 décembre 2016, les sources du Barada —la rivière qui alimente en eau les plus de 7 millions d’habitants de Damas et de sa région— et fait exploser les canalisations ont publié une déclaration fixant leurs conditions.

Actuellement 5,6 millions de civils sont totalement privés d’eau courante depuis deux semaines. Les autorités sont parvenues à distribuer à la population, une à deux fois en quinze jours, de l’eau non-potable par des camions citernes, à raison de 50 litres par famille. Outre les bidons qu’ils ont pu remplir pour leur toilette et leur vaisselle, les habitants doivent acheter de l’eau minérale pour leur consommation d’eau potable.

Selon la « Déclaration de Barada », les jihadistes ne laisseront les ingénieurs nettoyer et réparer les sources du Barada que si l’Armée arabe syrienne et le Hezbollah cessent le combat (c’est-à-dire si la République arabe syrienne capitule).

Dans une lettre adressée au Conseil de sécurité, la Syrie a dénoncé la planification de cette opération par les puissances qui soutiennent et arment les jihadistes.

Parmi les sept groupes jihadistes signataires du Document figurent les « Casques blancs », dits « Défense civile syrienne ». Cette « ONG humanitaire » (sic) a été créée et est dirigée par un officier du MI6 élevé par la reine Elizabeth, en 2016, au titre d’officier de l’Empire britannique, James Le Mesurier. Cette organisation abreuve les médias d’images choquante censées prouver « les crimes du régime » et dont il a été souvent démontré qu’elles sont de pures mises en scène de propagande.

La participation de cette « ONG humanitaire » à des combats a été attestée. Le ministère russe de la Défense l’a décrite comme « proche d’Al-Qaïda ».

Les Casques blancs sont financés par l’Allemagne, le Danemark, les États-Unis, la France, le Japon, les Pays-Bas et le Royaume-Uni.

Le 19 octobre 2016, le président de la république française, François Hollande, son ministre des Affaires étrangères, Jean-Marc Ayrault, et la présidente de la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale, Élisabeth Guigou ont reçu à l’Élysée une délégation des Casques blancs incluant le président du Comité « civil » d’Alep (sic) auto-proclamé « maire d’Alep » (re-sic), Hagi Hasan Brita.

La France avait présenté, en vain, la candidature des Casques blancs au Prix Nobel de la paix.

En droit international, le fait de priver d’eau des civils est considéré comme un crime de guerre.

JPEG - 43.4 ko
________________________

Aucun texte alternatif disponible.

Je préfère terminer en vous présentant une oeuvre du peintre Awad Alkerdi qui expose en ce moment à Damas (galerie Al-rawak).

Enregistrer

Enregistrer