deux Fatou : deux Femmes que l’Afrique n’aurait pas dû avoir
Fatou Bensouda et Fatou Jallow Tambaijang
Deux Femmes que l’Afrique n’aurait pas dû Avoir
Femmes politiques. Femmes d’affaires. Femmes intellectuelles. Femmes des couloirs des palais. Femmes battantes. Femmes révolutionnaires. Femmes au foyer. Femmes dans les champs… Femmes vendeuses de condiments,…Elles ont chacune une histoire et des accomplissements. Mais comment?
Fatoumata Jallow Tambajang — Zèle d’Incompétence
“Nous ne le laisserons pas partir parce que sinon il va nous échapper. Il martèle le désir d’aller à Kinalai et chaque jour il nous dit qu’il veut rallier l’étranger mais nous ne le laisserons pas partir.” Ces propos au The Guardian, sont de Fatoumata Tambajang, porte-parole de la coalition qui a soutenu la candidature de Adama Barrow pour la présidentielle de Décembre 2016 face au président-sortant Yahya Jammeh.
Ce zèle mêlé de l’extravagance verbale de Fatoumata Tambadiang, ex-conseillère du président Dawda Jawara, renversé en 1994 par Jammeh a donné un coup de frein à la transition pacifique que les Gambiens auraient dû expérimenter. Selon The Guardian, exposant le récit de Fatou Jallow, la coalition avait rejeté la demande faite par Jammeh de rencontrer Barrow. “Il a demandé à le [Barrow] rencontrer à sa convenance, mais nous avons décidé de ne pas le rencontrer, parce que nous ne lui faisons pas confiance.” Absurdité ténébreuse.
Agissant de la sorte, Jallow s’inscrivait dans l’anti-constitutionalisme qui caractérise les putschistes à la solde du capital—banques, industries d’armement, pharmaceutique,…Une position confirmée sous plusieurs angles de son bavardage politique qui annonçait leur intention de réintégrer le Commonwealth et la CPI. Mais aussi de traquer tous les soldats restés fidèles à Jammeh. Soit l’ensemble des Gambiens.
“Vengeance.” “Prison.” “Procès.” “CPI.” “Fuite.” “Rébellion.” “Interdiction de sortir.” Ces mots de menace ont truffé le langage mercenarial de Fatou Jallow. Une illustration de la violence politique à venir avec Barrow, savamment résumée par The Guardian. “Les nouveaux dirigeants de la Gambie jurent de poursuivre le président sortant.”
Tout pays avec une telle apprentie politique et une opposition aussi inexpérimentée que la Coalition-Barrow-Jallow est en danger. Une coalition qui a une idéologie non-dictée de l’extérieur aurait radié une femme aussi légère. Mais les patins n’ont pas d’esprit. Il danse au rythme des marionnettistes.
Fatou Bensouda—L’Implacable Esclave
Même souriante, Fatou Bensouda respire la haine. Haine contre les Africains qui voudraient s’affranchir du joug du néocolonialisme vicieux. Haine—d’une soumise à l’ordre étranger—qui infecte le dossier Ivoirien depuis 2011 et se dresse contre le président Laurent Gbagbo.
Médiocre, redevable à ses parrains qui lui ont fait occuper un poste dont à chance égale de compétition face à d’autres candidats, elle serait battue à plate couture, elle surf sur le discours de ses maîtres. Un discours au relent colonialiste, biaisé sur les réalités anthropologique, et socio-historique des nations Africaines. Un discours binaire fondé sur des clichés et autres préjugés racistes contre les Africains que les laboratoires de déstabilisation du Continent développent.
Femme des caves. Sans envergure. Juste faite pour satisfaire les desiderata de ses mandants occidentaux. Moulue dans une incapacité notoire, son ascension professionnelle fulgurante interroge. Alors, beaucoup mettent en doute l’application scrupuleuse des termes de l’article 36-a du Statut de Rome dans son recrutement dans cette boite à crabes qu’est la CPI. En effet les dispositions de cet article stipulent. “Les juges de la CPI sont choisis parmi des personnes jouissant d’une haute considération morale, connues pour leur impartialité et leur intégrité et réunissant les conditions requises dans les Etats respectifs pour l’exercice des plus hautes fonctions judiciaires.”
Alors question. Sur quels critères cette misère morale a-t-elle été recrutée à la CPI? Nul besoin de chercher. Elle détient la carte qui permet aux traîtres de grimper les escaliers de la gloire(?) au détriment du Continent. Pantin, sans un grain de patriotisme, Bensouda et ses acolytes ont montré leur incompétence au cours des débats-contradictoires lors des conférences sur la justice et la CPI, tenues en Namibie et au Ghana en 2016. Pire, comme toutes les cervelles de moineau dans un corps d’hippopotame, elle n’est pas parvenue jusqu’à ce jour à démontrer l’existence du plan Commun, dit élaboré par le Président Gbagbo, sudiste-Bété-Chrétien pour exterminer le clan Alassane Ouattara nordiste-Dioula-Musulman.
Au contraire, produit de la corruption, Bensouda ne prospère que dans la corruption des témoins. Des cas sont légions. Qui malheureusement se retourne contre elle. Sam l’Africain, Tarlue Jérôme, Ahoua Stallone, à qui elle a offert de l’entendre au Canada en prenant en charge les “frais de billets, d’hôtel et des journées perdues, et [son] avocat entièrement en charge.”
Malgré ces coups, Fatou Bensouda ne lâche pas le morceau. Elle a une dette à payer. Elle court. Court. Court. Trainant sa bedaine et sa robe après des Africains insoumis. Pour combien de temps? Les Africains sortent lentement de leur agonie spirituelle et idéologique.
Quel Malheur Pour la Gambie
C’est triste que ces femmes basses moralement, intellectuellement, politiquement, viennent toutes deux de Gambie où un vaillant Africain, Yahya Jammeh livre bataille depuis quelques années à l’impérialisme absorbant et destructeur. Comme Jammeh, les Africains devraient pour préserver leur Continent, “être attentif à une élimination des êtres moralement inférieurs [comme Fatou Bensouda et Fatou Jallow. Car ils ont le droit] de faire la sélection qui déterminera [leur] prospérité ou l’anéantissement de [leur] peuple.” Comme disait Konrad Lorenz, ancien Nazi devenu Ecologiste, et prix Nobel.
Ni Esprit, ni Aptitude
Fatou Bensouda et Fatoumata Jallow Tambajang n’ont ni esprit, ni aptitude à s’élever au-dessus des croyances de leurs mandants. Avec ces spécimens d’êtres, il n’est pas exagéré de dire qu’elles sont inférieures au babouin. Et de conclure qu’“on ne peut se mettre dans l’idée que Dieu, qui est un être sage, ait mis une âme,” pour reprendre le raciste Montesquieu, dans un corps comme celui Fatou Bensouda, Fatou Jallow, et de leurs maîtres occidentaux.
Feumba Samen