La bouche d’or d’Affi N’guessan
Shlomit
La colère noire d’Affi N’Guessan, l’extrême violence de ses propos pour accabler Laurent Gbagbo indiquent qu’il cachait un jeu, son jeu. Son « je vais voir mon patron en Belgique », qui voulait traduire son allégeance à une hiérarchie, se revèle, en réalité, un âppat.
Affi, lui-même, avoue, au cours de sa conférence de presse du 23 mars, que Laurent Gbagbo, avant qu’il ne quitte Abidjan, le 19 mars 2019 en fanfare, a posé des conditions à exécuter avant leur rencontre initialement prévue le 21 mars à Bruxelles: la reconnaissance, publiquement, du Congrès extraordinaire de Mama et du Congrès ordinaire de Moossou et le respect de leurs décisions.
En prenant l’avion et en faisant sa déclaration tonitruante qui ne laisse rien transparaître de son opposition, Affi signifiait son adhésion totale au préalable de son « patron », c’est-à-dire qu’essentiellement, il renonçait à la présidence du FPI au profit de Gbagbo. Car, dans le bicéphalisme à la tête du parti, il fallait lever tout équivoque avant toute concertation.
Mais une fois à Paris, Affi s’est rétracté et a soumis l’exécution du préalable après la rencontre, pour espérer exercer une pression sur Gbagbo et le mettre devant le fait accompli.
Cela montre donc qu’il voulait rencontrer son « patron », qu’il compare désormais à Bouteflika et Mugabe pour bien tourner sa page, en tant que président légal du parti, reléguant celui-ci, qui préside l’autre tendance du FPI, au rôle de dissident, clandestin ou faussaire.
C’est un piège lourd de conséquences, au plan judiciaire, alors que l’ex-prisonnier de la CPI, bien qu’acquitté, est en liberté conditionnelle. Gbagbo a refusé de tomber dans ce jeu, au grand dam d’Affi et de ses partisans qui invoquent, à tort, l’humiliation et le mépris, pour ruer dans les brancards.
Bally Ferro
Quand on parle d’alternance, on donne soi même l’exemple. Depuis 2000 Pascal Affi N’guessan est président du FPI c’ est à dire que cela fait 19 ans bien comptés que Monsieur nous pompe l’air dans le parti. 19 ans que Monsieur ne veut pas passer la main, jusqu’à mettre les gens en prison, assigner les gens en justice.
Gbagbo est vieux on est d’accord parce qu’il aura bientôt 74 ans. Mais dis, qu’est ce qu’ il en est te concernant? Tu auras bientôt 68 ans. Entre toi et Gbagbo, il y a seulement 6 ans mais tu refuses d’être de sa génération tellement que tu n’es même pas prêt à admettre cette réalité. Dans ta tête, il faut que tout soit ramené à toi pour que le monde soit rose. Dans le cas contraire, il y a manque d’alternance. Vraiment ! C’est ceux qui te suivent au nom de Gbagbo sans réellement interroger tes ambitions personnelles qui me peinent. Affi N’guessan est un dictateur en miniature. Il est plus dangereux que dramane ouattara et soro mis ensemble.#danse !
Bonne journée dominicale à tous et à toutes
Amoungnan
Jean-Marie Dekpai
GBAGBO N’A JAMAIS ÉTÉ DEMANDEUR D’UNE QUELCONQUE RENCONTRE AVEC AFFI
GBAGBO n’a jamais demandé à le rencontrer. C’est un mensonge. AFFI lui-même a dit que c’est lui qui a manifesté le souhait de rencontrer le GUIDE GBAGBO. Et cela depuis 2017.
GBAGBO lui a dit par le béninois Emmanuel Golou le 1er émissaire d’Affi, qu’il était disposé à recevoir le chat, à condition qu’il crée son parti ou qu’il rentre dans les rangs du FPI. GBAGBO était en prison.
Affi a assuré l’ambassadeur Acka qu’il se plierait aux exigences du GUIDE GBAGBO. On lui a signifié ce que Le GUIDE GBAGBO attendait de lui. Donc logiquement la déclaration que lui a demandé de faire l’ambassadeur avant de prendre l’avion, était qu’il déclare qu’il rentre définitivement dans les rangs et qu’il demande à ses suiveurs de se rapprocher dès sa dite déclaration du secrétariat général dirigé par le Dr ASSOA ADOU. Et qu’il partait rencontrer le Président GBAGBO en tant que militant du FPI dirigé par le GUIDE GBAGBO.
Au lieu de ça, il fait une déclaration laconique pleine de malice. L’objectif était d’endormir GBAGBO pour que la rencontre ait lieu, lui Affi gardant toujours son statut de président du FPI.
Si cette rencontre avait eu lieu dans ces conditions, au sortir de la rencontre il allait déclarer que GBAGBO venait de désavouer les va-t-en guerre que sont GOR. Et que GBAGBO le reconnaissait comme le président légal et légitime du FPI. Ainsi il mettrait fin au mythe, au symbole et au combat politique pour lequel GBAGBO a sacrifié sa vie.
GBAGBO ainsi piégé et désacralisé, le chat allait être cadeauté par ses mandants.
C’était trop simple !!! Dites à votre chat qu’on n’apprend pas au vieux singe à faire la grimace.
Faure Eyima
On lui demande d’organiser un congrès extraordinaire pour que les militants puissent tirer tout ceci au clair .
Il parle de Bouteflika, mais il oublie également qu’il est président du FPI depuis 2001 et il ne s’est jamais soumis à un congrès pour que les militants puissent soit le reconduire soit le remplacer pour un autre cadre.
Qu’il songe donc, lui le démocrate , à organiser un congrès extraordinaire .
Car actuellement, il n’a aucune légitimité.
Paulin Zigoh
Les rugissements du lion herbivore
Dans un post que j’avais écrit, je demandais de savoir si c’est à Paris qu’Affi N’Guessan a été informé qu’il devait faire une déclaration, avant de rencontrer le président Gbagbo. Il se trouve que c’est bel et bien à Abidjan. Pourquoi alors tout ce raffut de sa part ? Pourquoi a-t-il pris l’avion pour Paris, alors qu’il savait ce qui lui a été demande et se rétracter par la suite ? Depuis Abidjan, Affi aurait dû donc exprimer son indignation et refuser d’effectuer le voyage. Qui veut-il tromper ?
L’ambassadeur Acka Emmanuel, ami de Gbagbo, mais conseiller d’Affi, selon les informations qui m’ont été rapportées, se serait-il livré à ce jeu pour humilier quelqu’un dont il est le conseiller ?
Hier, Affi, le lion du Moronou, a bel et bien rugi, mais personne n’est dupe, ce sont les rugissements d’un lion herbivore, qui a sans doute été effrayé par des pressions du fait des deals interlopes qu’il a conclus. Il n’y a pas d’autre explication. Affi a reculé parce que, selon moi, il a été l’objet de menaces. C’est une hypothèse. Et elle est plausible.
Senn Souleymane
» On m’a demandé de faire cette déclaration depuis Abidjan. J’ai voulu la faire après la rencontre. ACKA EMMANUEL m’a dit sans la déclaration, je ne peux pas rencontrer LAURENT GBAGBO. « AFFI N’GUESSAN
Mon commentaire :
Au lendemain de la rencontre avortée entre Pascal Affi N’GUESSAN et le Président LAURENT GBAGBO. Deux communiqués de presse ont été rendus publics. Celui du DR ASSOA ADOU SG DU FPI et de AFFI N’GUESSAN.
Certains ont directement cloué au pilori l’entourage du président LAURENT GBAGBO. Mais après la conférence de presse de AFFI à Abidjan, on comprend bien que l’entourage du président LAURENT GBAGBO n’est responsable de rien. Le seul responsable et coupable s’appelle Pascal Affi N’GUESSAN.
AFFI révèle que c’est bel et bien depuis Abidjan il lui a été demandé de faire cette déclaration.
Il est donc affligeant de constater tout ce raffut de sa part.
Pourquoi a-t-il pris l’avion pour Paris, alors qu’il savait ce qui lui a été demandé et se réprendre par la suite ?
Pourquoi n’est-il pas allé directement à Bruxelles ?
L’objectif n’était-il pas de rencontrer NORBERT NAVARO envue de faire une déclaration à PARIS ?
Quand un homme refuse il dit NON.
Depuis Abidjan, Pascal Affi N’GUESSAN aurait dû donc exprimer sa colère ardente et contester le voyage.
Qui est-ce qui l’a obligé à faire ce déplacement ? Qui veut-il donc tromper ?
En effectuant ce voyage , AFFI affiche ainsi son inculture de la démarche politique auréolée de son égo comique et surestimé.
L’ambassadeur Acka Emmanuel, son frère en Christ, son ami et son conseiller, ( qu’il veut coûte que coûte faire passer pour l’ami du président LAURENT GBAGBO ) se serait-il livré à ce jeu pour humilier quelqu’un dont il est le conseiller ?
En prenant en compte, la conférence de presse de AFFI N’GUESSAN, on ne peut qu’éprouver une honte douloureuse tant ses professions de foi sont en contradiction flagrante avec ses démarches.
II est hallucinant que tous ces suprêmes sacrifices que AFFI était prêt à consentir pour le président LAURENT GBAGBO soient encore inconnus pour bon nombre d’ivoiriens.
Je me permets de paraphraser mon ainé Souleymane Senn. Pour dire que hier, » AFFI N’GUESSAN, tel un lion a bel et bien rugi, mais personne n’est dupe, ce sont les rugissements d’un lion herbivore, qui a sans doute été effrayé par des pressions du fait des deals interlopes qu’il a conclus ».
Pas d’autres explications.
À lire et à écouter Affi, on comprend qu’il a reculé parce que, il a été l’objet de menaces.
Un vrai ventilateur de la politique. Il cultive le tic d’être plus royaliste que le roi. Cela octroie des royalties. N’est ce pas ?
Gueye Fiavi De Kpeya
Les 3 erreurs monumentales d’Affi N’guessan…
Encore une fois, nous étions nombreux heureux à avoir appris seulement la veille que Laurent Gbagbo s’apprêtait à recevoir enfin son ancien premier ministre Pascal Affi N’guessan avec qui il n’a jusque-là pas voulu échanger. Nous avions donc espérer de bonne foi que ce rendez-vous manqué ne signifiait aucunement la fin de notre optimisme. Nous étions même à tenir le langage d’un « Gbagbo aurait dû… ». Pour donner chance à un autre calendrier pour une autre rencontre entre le père et le fils. Parce que nous rêvions de retrouvailles de toute la famille FPI.
Mais avec cette conférence inopportune d’Affi au seul point de sa version à propos de la rencontre avortée avec son « patron », hélas il ne nous reste plus qu’à déchanter. Il se serait tenu seulement à la déclaration écrite postée sur réseaux depuis l’aéroport de Paris suite à l’échec de la rencontre avec Laurent gbagbo que le cas d’Affi serait encore défendable. Le simple fait de sauter dans le premier avion sans attendre pour donner une chance aux négociations avec l’émissaire de son patron, le fiston a commis là sa toute première erreur. Puis venir se faire célébrer par ses « hommes » à lui dans un accueil de héros rentré après avoir dit non au gourou, a été l’autre erreur. Mais l’affront de trop dont Affi aurait dû faire l’économie demeure cette conférence expéditive 48h après le revers de Paris. Si nous avions été quelque peu ému que Gbagbo, avec ces diatribes sortis par Affi viennent confirmer les appréhensions de Laurent gbagbo en soumettant son ancien premier ministre à un préalable avant toute rencontre avec celui-ci. Dans des mots chocs pour buzz, dans une émotions à fleurs de peau, Affi N’guessan a traîné de boue Laurent Gbagbo revelant ses vérités et opinions à lui sur l’homme. Avec des tentatives à dresser un autre profil beaucoup plus lugubre de l’homme. Laurent Gbagbo qu’il n’a pourtant jusque-là pas vu mentionner son nom directement. Une réplique ordurière certainement à l’humiliation dont il dit avoir été victime à Paris. Les propos d’Affi sont si abjects et crus qu’ils ne donnent plus aucune chance à une éventuelle paix des braves pour des retrouvailles entre anciens camarades. On est encore en droit de se demander ce qui a bien pu passer par la tête de Pascal Affi N’guessan… mais ça encore, c’est une autre paire de manche. Aujourd’hui c’est dimanche. Prions les amis.
Hermann Aboa
Expresss— Ça y est—Isolement AFFI en marche—Expressss—Isolement AFFI en marche—
24h seulement après s’être attaqué au Kilimandjaro politique, tout s’écroule autour de la termitière AFFI : Sa secrétaire générale doublée de PCA de Notre Voie, Mme Agnès Monnet, et VOHO SAHI, l’un de ses derniers piliers, viennent d’abandonner Affi dans ses délires…
Ça y est ! Affi a suicidairement mangé son totem depuis hier, samedi 23 mars 2019. Les principaux piliers de son système viennent de notifier leur démission à AFFI, il y a moins de 10mn.
En effet, un seul jour seulement après ses élucubrations contre le symbole GBAGBO Laurent, Madame Agnès AYE Épouse Léon Emmanuel MONNET, anciennement Secrétaire générale de AFFI, et PCA de « Notre Voie », et le dinausore de son système VOHO SAHI, viennent d’abandonner le « détruant ».
Les graves propos de Affi, ce samedi 23 mars 2019, leur ont révélé que l’homme a menti sur toute la ligne. Nos réseaux nous font savoir d’ailleurs qu’ils sont nombreux ceux qui ont été aussi abusés, et ont décidé de laisser AFFI se suicider tout seul. Même des personnalités insoupçonnables, en tout cas dites inconditionnelles de AFFI sont dans les vestiaires. Seul sieur ATTEBY Williams jouerait encore les linceuls de Affi.
Le téléchargement mortel se poursuit donc. Restez en ligne !
De source bien informée, toutes ces personnalités ne comptent pas s’arrêter là. Elles s’en iront, sans délai, faire physiquement allégeance au baobab Gbagbo, dès que le calendrier de ce dernier l’autorisera.
La copie du courrier en acheminement vers Tchedjougou OUATTARA..
«Yeux connaît bagages qui est lourd. C’est Beyla seul qui fait toujours exprès » !
L’Activateur Tchedjougou OUATTARA, envoyé Spécial chez le chaton de Moronou en convulsions
Roger Dakouri Diaz