Coronavirus – Ce que vous NE pouvez PAS dire à son sujet
par James Corbett.
Pssst. Vous.
Oui, vous.
Êtes-vous intéressé par une discussion de… choses ? Vous savez, le genre de choses dont on n’a plus le droit de parler ? Vous savez, depuis le… euhhh… « L’événement » ?
Vous l’êtes ? Super. Je veux dire, vous avez peut-être remarqué que les choses deviennent un peu houleuses dans le monde. Vous risquez par exemple d’être vilipendé pour avoir osé suggérer qu’un certain nombre de choses au sein de la « nouvelle normalité » pourraient bien être inacceptables.
Toutes ces nouvelles normes sociales et tabous culturels apparus ces dernières semaines semblent avoir également créé une série de nouveaux crimes de pensée : des choses qui ne doivent pas être exprimées de peur de se voir expulsé de la société civilisée… voire pire.
C’est la raison pour laquelle il est crucial que nous parlions de nos préoccupations avant que ces crimes de pensée socialement contrôlés ne deviennent littéralement des crimes. Comme vous le savez certainement, si nous ne réalisons pas aujourd’hui que ces nouvelles normes sociales existent, il sera bientôt impossible d’exprimer des opinions dissidentes.
Permettez-moi donc d’exprimer quelques réflexions personnelles. Mais soyez prévenu : je vous garantis que certaines — a minima — de mes idées vous sembleront offensantes. Vous serez en profond désaccord avec elles. Vous vous mettrez en colère.
La vraie question est : que ferez-vous à ceux qui expriment des opinions avec lesquelles vous n’êtes pas d’accord ? Engager un dialogue avec eux ? Ou exiger que les agents de l’État suppriment leur discours sur Internet et les enferment dans une cage pour crime d’opinion ?
Quoi qu’il en soit, j’ai déjà commis de nombreux délits d’opinion ces dernières semaines, autant vous en faire part. Êtes-vous prêt ? Allons-y.
1 – Nous avons rencontré l’ennemi… et ce sont nos voisins
Les gens s’imaginent que la dictature s’installera lorsqu’elle sera appliquée par la police ou l’armée. Flash info : la dictature est déjà là, et elle est mise en œuvre par vos voisins, Monsieur et Madame Tout-le-monde.
Vous avez besoin de preuves ? Que dire de toutes les nouvelles « lignes téléphoniques dédiées aux dénonciations » récemment ouvertes ville après ville et État après État [aux États-Unis – NdT] et ailleurs dans le monde pour permettre aux bons citoyens de dénoncer leurs voisins coupables de ne pas respecter convenablement la distanciation sociale ?
C’est exact. Nous avons dépassé le stade des gens qui crient par la fenêtre à Brooklyn. Désormais, chaque fois que vous voyez quelqu’un à moins de deux mètres d’une autre personne, il est de votre devoir, en tant que citoyen loyal du Nouvel Ordre Mondial, de le signaler activement aux autorités afin que Big Brother puisse s’en occuper. Rassurez-vous, une fiche d’évaluation est en cours d’élaboration pour chaque juridiction, et les pouvoirs qui ne devraient pas être en place tiennent une liste de ceux qui sont méchants ou gentils (Minnesota : premier de la classe !).
Pourtant, si en cette Année de notre Virus 2020 nous sommes tous d’accord de façon unanime, sans équivoque et à cent pour cent avec l’idée que toute personne qui s’approche physiquement d’un autre être humain mérite d’être accusée d’homicide involontaire pour son acte odieux, alors nous nous dirigeons peut-être, juste peut-être, dans des contrées dangereuses — et ce n’est qu’une opinion, donc pardonnez-moi si cela vous semble impudent. Je parle de la distanciation sociale du Ministère de la Sécurité d’État qui devient le cerbère de notre nouveau cauchemar, et tout ça. Traitez-moi de fou.
2 – Les médecins sont les nouveaux soldats
La propagande glorifiant l’armée états-unienne s’est considérablement intensifiée après le 11-Septembre. Non pas que cette propagande n’existait pas avant, mais elle n’avait rien à voir avec celle observée depuis « le jour qui a tout changé ». Oui, le culte du héros vétéran est l’une des caractéristiques de l’ère de la terreur que le 11-Septembre a inaugurée.
Alors si cette pandémie est le nouveau 11-Septembre, quel est le nouveau culte des héros ? La réponse devrait maintenant être évidente : les nouveaux soldats, ce sont les médecins. Nous devons maintenant montrer notre reconnaissance envers les valeureux professionnels de la santé qui sont engagés aux avant-postes de cette nouvelle guerre… au risque de recevoir un plus grand châtiment encore de la part de la société.
Vous avez peut-être remarqué que ce fascinant phénomène trace sa route dans le monde entier. Je l’appelle « Le phénomène totalement spontané d’ovation balconnière ». Oui, de façon tout à fait improvisée, toutes les personnes confinées ont décidé de manifester leur reconnaissance envers les valeureux médecins et infirmières dans cette lutte héroïque, en se rendant sur leur balcon à une heure prédéterminée pour les applaudir. Et non, ce phénomène totalement spontané ne se produit pas seulement dans un ou deux pays. Ni dans trois ou quatre pays. Mais dans tous les pays du monde, apparemment.
Juste comme ça. Ça sort de nulle part. Sûrement une chose dans l’air du temps, je suppose.
Maintenant, vous me pardonnerez d’être hors du coup, mais comme vous le savez, la folie du corona n’a pas encore fait son chemin jusqu’au Japon — mais, et comme je l’avais exactement prédit, le jour même où les Jeux de Tokyo 2020 ont été reportés, la gouverneure de Tokyo s’est soudainement sentie très inquiète pour sa ville, et ils vont maintenant « devoir » boucler Tokyo, à moins que la pauvre plèbe se comporte bien. Je ne sais donc pas exactement comment les gens décident du bon moment pour aller applaudir sur leur balcon. Cela se fait-il par vote ? Que se passe-t-il si je suis en retard de quelques minutes ? Les gens penseront-ils que j’applaudis pour autre chose ? Quelle est la règle en vigueur ?
Voici mon crime de pensée : je trouve ces démonstrations effrayantes et nauséabondes. Cette glorification des médecins et des infirmières me perturbe. Non pas parce que je pense qu’ils sont tous des charlatans. Pas parce que je pense qu’ils sont tous mauvais. Non pas parce que je ne suis pas reconnaissant du travail que font (parfois) les médecins. Pas parce que je ne reconnais pas l’énorme stress subit en ce moment par ces médecins et ces infirmières. Mais parce que cette vénération sociale artificiellement conçue est destinée à faire avancer un programme exactement identique à celui utilisé pour faire avancer l’agenda militariste des années de l’après-11-Septembre par la glorification des vétérans.
Cette fois, nous sommes priés de glorifier les médecins et les infirmières parce que la confiance de ces mêmes experts — dont l’autorité ne peut être mise en doute — sera mise à profit pour nous administrer le vaccin. Vous savez, LE VACCIN. Celui qui mettra fin au blocus psychologique de 18 mois auquel nous sommes soumis.
Quoi ? Vous remettez encore en question les vaccins ? Vous osez encore défier l’autorité de ces braves médecins et infirmières qui risquent leurs vies pour nous ? Vous ne pouvez pas dire ça, espèce de conspirationniste répugnant coupable du crime de pensée !
Soyez honnêtes, vous savez que cette offensive vaccinale va se produire. Et avec ces sessions d’applaudissements quotidiennes et « spontanés », ils obtiennent le consentement du public [inconscient de ce qui se trame derrière les coulisses de cette mise en scène – NdT]. Vous me pardonnerez alors, peut-être, si je ne participe pas.
3 – Je ne crois à aucun des chiffres présentés dans le cadre de cette épidémie
Je suis toujours déconcerté par l’attention que des êtres humains par ailleurs sains d’esprit accordent aux derniers chiffres communiqués par telle ou telle agence de santé relatifs au fléau du Covid-19. Les gens brandissent des taux de mortalité et des taux de reproduction de base (R0) comme s’ils avaient étudié l’épidémiologie toute leur vie. En réalité, ils ne font que régurgiter ce qu’ils ont vu sur CNN ou ce qu’on leur a dit lors de la dernière conférence de presse du gouverneur Cuomo.
Alors, que faisons-nous de l’écart déconcertant entre les taux de mortalité de Covid-19 dans les différents pays ? Pourquoi le taux de mortalité de la maladie en Italie est-il de 10 pour cent alors que celui de la Chine est plutôt de 4 pour cent ? Et que signifient ces différents chiffres pour les 70 pour cent de l’humanité qui selon les « experts » seront infectés par ce virus ?
Et pendant que nous y sommes, pourquoi ne pas poser des questions tout aussi importantes, comme : de quelle couleur est le lapin de Pâques ? combien d’anges peuvent danser sur la tête d’une épingle ? et quel est le goût du fromage dont est constituée la Lune ?
Comme je l’ai démontré il y a quelques semaines, les méthodes de diagnostic de cette maladie varient tellement d’un pays à l’autre que faire des comparaisons entre pays n’est même pas comme comparer des pommes et des oranges. C’est comme comparer des pommes et des ornithorynques. Et le diagnostic d’un type particulier d’infection virale par tomodensitométrie ? Comment pouvons-nous faire confiance aux chiffres d’infection générés par de telles méthodes ?
Tout cela rendrait le calcul des taux de mortalité pour cette maladie suffisamment problématique. Mais, pour aggraver les choses, nous ne disposons même pas d’un décompte précis du nombre de personnes qui sont mortes DU Covid-19. Prenez le cas tristement célèbre de l’Italie. On nous dit que le taux de mortalité stupéfiant en Italie — environ 10 pour cent si l’on se fie aux chiffres officiels au moment de la publication — constitue un indicateur qui détermine le degré de mortalité de ce nouveau virus.
… Mais ces chiffres posent problème. Comme le professeur Walter Ricciardi — conseiller scientifique du ministre italien de la santé — l’a récemment révélé,
« La façon dont nous codifions les décès dans notre pays est très généreuse, dans le sens où toutes les personnes qui meurent dans les hôpitaux AVEC le coronavirus sont considérées comme mourant DU coronavirus ».
Alors, combien de personnes parmi celles qui sont déclarées « mortes DU Covid-19 » en Italie présentaient le Covid-19 comme CAUSE du décès ? Seulement 12 pour cent. De plus, selon le propre rapport du gouvernement italien, la moitié des personnes décédées cumulaient trois autres pathologies ou plus au moment de leur décès. Près de 80 pour cent d’entre elles souffraient d’au moins deux autres pathologies au moment de leur décès. Seulement 1,7 pour cent des personnes décédées n’en présentait aucune.
Mais pourquoi dans cette affaire, devriez-vous écouter James Corbett, théoricien de la conspiration, ou même ces stupides conseillers sanitaires du gouvernement italien ? Eh bien, je ne suis pas le seul à douter des chiffres officiels. Il s’avère que le groupe de recherche « Our World in Data » [Notre monde en chiffres – NdT] — et après avoir tenté de suivre les chiffres du Covid-19 — a cessé d’utiliser les données fournies par l’Organisation mondiale de la Santé parce que « en parcourant tous les rapports de situation quotidiens, nous avons constaté de nombreuses erreurs dans les données publiées par l’OMS ».
Après avoir ouvert le débat sur la crise de la reproductibilité dans le domaine scientifique en publiant en 2005 son article historique intitulé « Pourquoi la plupart des résultats de recherche publiés sont faux », John Ioannides — que les lecteurs du Corbett Report reconnaîtront — a récemment remis en question la réponse actuelle au Covid-19 en se demandant si elle ne constituait pas « un fiasco en devenir ». Voici ce qu’il en dit :
« Les données recueillies jusqu’à présent sur le nombre de personnes infectées et sur l’évolution de l’épidémie sont totalement incertains. Compte tenu du nombre limité de tests effectués jusqu’à présent, certains décès et probablement la grande majorité des infections dues au SRAS-CoV-2 ne sont pas détectés. Nous ne savons pas si nous échouons à détecter les infections par un facteur de 3 ou de 300. Trois mois après l’apparition de l’épidémie, la plupart des pays, y compris les États-Unis, ne sont pas en mesure de tester un grand nombre de personnes et aucun pays ne dispose de données fiables sur la prévalence du virus dans un échantillon aléatoire représentatif de la population générale ».
Lorsque l’actuelle hystérie sera passée, les gens constateront que ces pratiques sont aveuglément acceptées par le public, de la même manière que nous constatons, aujourd’hui, l’acceptation aveugle de populations ignorantes soumises aux saignées et autres méthodes utilisées par le passé dans le domaine médical.
4 – La mort d’un aïeul de 91 ans est une tragédie familiale, pas un événement de portée internationale
Vous persistez néanmoins à prendre ces chiffres bidons au sérieux ? OK. Alors regardons à nouveau ce rapport italien sur les personnes qui meurent AVEC le (et non DU) Covid-19.
Selon ce rapport, l’âge médian des personnes dont le décès a été prononcé avec le (et non du) Covid-19 est de 78 ans. Pour mettre ce chiffre en perspective, l’espérance de vie moyenne en Italie est de 82,8 ans.
Cela signifie que les patients qui décèdent avec (et non de) la maladie arrivent à un âge qui correspond à l’espérance de vie moyenne — et, n’oublions pas, ils souffrent également dans la grande majorité des cas d’au moins deux autres pathologies. Je suis tenté de dire qu’une panique similaire pourrait être suscitée par n’importe quelle maladie virale en circulation, si elle faisait l’objet d’une communication identique à celle du Covid-19.
Et puisque nous nous livrons à des crimes de pensée, soyons francs : « Un patient âgé souffrant de complications multiples meurt après avoir contracté une maladie respiratoire » n’est PAS un sujet d’actualité. C’est un fait de la vie quotidienne.
Mais en fait, il s’agit d’un fait d’actualité. J’ai suivi la manière dont les médias mainstream canadiens ont présenté la panique de la pandémie, et j’ai vu un reportage sur une des émissions nationales d’information concernant une femme dont la mère de 91 ans est morte dans une maison de retraite. Il a été sous-entendu que la vie de cette femme de 91 ans a tragiquement été abrégée par le coronavirus et, pour aggraver les choses, sa fille n’a pas pu organiser les funérailles de sa mère ni y assister parce que le Canada est actuellement en confinement. Je ne sais pas si c’est moi qui ai perdu le contact avec la réalité ou si ce sont tous les autres, mais permettez-moi de réitérer qu’il ne s’agit PAS d’un fait d’actualité.
Ne vous méprenez pas : un tel décès est sans aucun doute une tragédie pour la famille concernée. Je suis de tout cœur avec tous ceux qui perdent leurs proches dans de telles circonstances. Mais cela ne constitue pas une raison pour bouleverser toute notre civilisation. Il est impensable, sur cette base et dans le monde entier, d’arrêter toute activité de production humaine, de faire s’effondrer l’économie, d’envoyer des millions et des millions de personnes au chômage, d’instaurer un confinement, et de commencer à parler de vaccinations obligatoires, de passeports RFID et autres abrogations des libertés humaines essentielles.
En fait, si je devais mourir à l’âge de 78 ans d’une quelconque maladie respiratoire virale en même temps que la cohorte des autres personnes âgées de 78 ans, je peux vous assurer que je serai outré que les Pouvoirs qui ne devraient pas être en place utilisent mon décès pour restreindre les libertés que j’ai passé ma vie à défendre. C’est écœurant.
« Mais qu’en est-il des jeunes qui meurent du Covid-19 », me direz-vous ? Cette question est légitime. À nouveau, et selon les rapports officiels — qui, je vous le rappelle, ne sont pas fiables — des personnes en-dessous de 78 ans en meurent aussi, bien qu’en nombre moins important. Et, selon les « modèles » communiqués par les « experts » — qui, souvenons-nous, ont raison sur tous les sujets — des centaines et des milliers de morts supplémentaires pourraient être enregistrés avant que cette pandémie ne s’arrête.
Bon, ceci m’amène à mon ultime crime de pensée.
5 – L’idée que la maladie ou la mort sont évitables est anti-humaine
Des gens meurent.
Parfois, ils meurent dans des accidents de voiture. Parfois, ils meurent d’accidents du travail. Parfois, ils meurent de vieillesse. Parfois, ils meurent dans des circonstances extrêmement douteuses en essayant de faire la lumière sur des informations de nature inconfortables pour l’état profond. Et, oui, il arrive qu’ils meurent de maladies respiratoires lors de pandémies virales.
Je vais aller plus loin : notre mortalité fait de nous ce que nous sommes. Savoir qu’ils finiront par mourir constitue pour les humains à la fois une bénédiction et une malédiction. Personne ne sort vivant de cette vie. La question de savoir ce que nous faisons de notre vie devient donc primordiale.
Mais la mort est, de plus en plus, soustraite à la vie. Nos personnes âgées sont envoyées dans des maisons de retraite pour que nous n’ayons pas à faire face au vieillissement. L’industrie funéraire est propre et antiseptique. La mort est devenue une abstraction ; quelque chose qui arrive quelque part, à d’autres personnes. Mais sûrement pas à nous, cependant.
Toute cette folie pandémique semble reposer sur l’idée que la maladie et la mort sont en quelque sorte évitables. Que nous avons vaincu de telles choses. Ou, du moins, qu’aucune nouvelle maladie — issue de la bio-ingénierie ou pas — ne pourrait jamais venir perturber notre équilibre parfait avec la Nature. En effet, beaucoup de gens meurent de la grippe chaque année, mais cela ne compte pas. Ce n’est pas nouveau.
Cela ne veut pas dire que nous ne devrions pas travailler à la guérison des maladies et à l’amélioration de notre santé. Bien au contraire. C’est juste que cette actuelle crise d’hystérie semble presque anti-humaine ; comme si nous devions être capables de transcender la mortalité de notre humanité.
CJ Hopkins, avec son humour caractéristique, souligne dans son dernier article l’absurdité de cette « guerre contre la mort » :
« Nous ne pouvons pas laisser ces semeurs de dissension russes, ces accélérateurs néo-nazis et ces sympathisants des coronavirus nous embrouiller. Ils veulent nous convaincre que la mort est, oui, effrayante et triste, mais inévitable et naturelle. C’est complètement insensé et sans cœur ! Non, nous devons fermer nos esprits à ces absurdités. Des gens meurent ! Ce n’est pas normal ! La mort est notre ennemi ! Nous devons la vaincre ! Nous devons traquer et neutraliser la mort ! La déraciner si elle se cache et la pendre comme nous l’avons fait avec Saddam ! »
Je ne sais pas pourquoi l’idée que la mort fait partie de la vie devrait être controversée. Mais, étant donné que même un blogueur respecté comme Craig Murray peut largement être critiqué par son propre public pour avoir osé publier des réflexions similaires, je suppose que c’est le cas. Je ne sais plus. Peut-être suis-je complètement à côté de la plaque.
Tout ce que je sais, c’est que la marge de manœuvre pour exprimer son désaccord sur ces sujets disparaît rapidement. Il est temps pour ceux d’entre nous qui peuvent tolérer le crime de pensée de se serrer les coudes. La police de la pensée se rapproche.
Alors peut-être que vous n’êtes pas d’accord avec moi. Peut-être êtes-vous offensé par ce que je dis. Vous avez peut-être, vous aussi, des crimes de pensée que vous n’osez pas exprimer. Mais si nous n’engageons pas le dialogue sur ces idées maintenant, quelles sont les chances que ces informations soient plus faciles à partager à l’avenir ?
Quel est donc votre crime de pensée ? Partagez-le avec la communauté dans les commentaires ci-dessous.
source : The Things You CANNOT Say About Coronavirus
traduction Sott.net
via : https://fr.sott.net