Quand les FRCI jouent les Rambo/cambrioleurs au domicile d’un ministre de Gbagbo

ATTAQUE DU DOMICILE DU MINISTRE LEON MONNET : LE FPI DENONCE LE BARBARISME ET LA SAUVAGERIE D’ETAT DU REGIME…

Le mardi 5 décembre 2017, à 3h du matin, un commando d’au moins 24 (vingt quatre) éléments, en tenue militaire, lourdement armés, à bord de 4 (quatre) pickups, se réclamant des forces armées de Côte d’Ivoire, a fait irruption au domicile privé du ministre Monnet Léon à Adzopé, après avoir escaladé la clôture. Une fois à l’intérieur du domicile, ces hommes en armes ont fracturé les portes, les placards et les plafonds. Ils ont mis la maison sens dessus dessous. Ils ont ouvert les fosses sceptiques. Ils ont ensuite extorqué de l’argent sous la menace de leurs armes, aux parents du ministre trouvés sur place. Selon eux, ils étaient à la recherche d’armes.

Le Front populaire ivoirien (Fpi) informé de cet acte d’agression et de déni de droit, lève une vive protestation et condamne ce énième banditisme d’Etat du régime Ouattara,

Déplore l’instrumentalisation des institutions de l’Etat notamment, l’armée, la police, la justice et les hommes qui les animent à des fins politiciennes à relent de banditisme d’Etat, de mafia et d’escroquerie,

Exprime sa compassion et sa solidarité aux parents du ministre Monnet Léon qui ont vécu ce calvaire nocturne d’un autre âge, mais devenu monnaie courante sous le régime illégitime de Ouattara,

Exprime également son soutien et sa solidarité au camarade vice-président, le ministre Monnet Léon et lui demande de demeurer toujours fort, digne et serein face à toutes les manigances du régime Ouattara,

Appelle les institutions de défense des droits de l’Homme et des libertés à se saisir de ce dossier pour en tirer toutes les conséquences,

Exhorte ses militants, ses sympathisants, le peuple Attié et les ivoiriens à demeurer sereins et vigilants face à la peur-panique dans laquelle le régime Ouattara s’enfonce chaque jour un peu plus, après s’être rendu compte de sa minorité, de son incapacité à gérer la Côte d’Ivoire et de son échec patent,

Se réserve le droit de donner une suite conséquente à cet autre acte d’agression et de violation des droits.

Le FPI , porteur de l’espoir et des aspirations légitimes du peuple ivoirien, saura se mettre à la hauteur des attentes, pour libérer la Côte d’Ivoire de la dictature d’Alassane Ouattara.

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Fait à Abidjan, le 7 décembre 2017

Koné Boubakar,
Secrétaire général par Intérim
Porte-parole

Léo Côte D’Ivoire IV

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Reprise des perquisitions illégales contre les Pro-Gbagbo, à la recherche de cache d’armes, à l’approche de 2020 : Les signes précurseurs des derniers temps misérables de OUATTARA.

Combien de domiciles, appartenant aux Pro-Gbagbo ou vus comme tels, ont-ils échappé à l’irruption suivie de pillages en règle, de la part de bandits de grands chemins, sortis qui, d’une maison d’arrêt, qui, des rangs des rebelles du MPCI de SORO Guillaume, et rebaptisés FRCI par Dramane OUATTARA, après l’aboutissement le 11 avril 2011, du plus long coup d’état, made in France, de ces derniers siècles ?

Lorsque les conditions des statistiques seront réunies un jour, il est à parier que ces domiciles miraculés n’atteindront pas une dizaine sur l’ensemble du territoire national.

On croyait donc révolues de telles pratiques, Dramane OUATTARA jouissant, depuis bientôt 10ans, du pouvoir absolu pour lequel il a rendu cette Côte d’Ivoire invivable pendant deux décennies. Que non, les sombres perspectives électorales de 2020, tant pour l’homme que pour sa confrérie, semblent motiver la résurgence du même banditisme d’état, consistant à prétexter la recherche de caches d’armes, chez les Pro-Gbagbo, pour y déverser ses RFCI, textuellement comme ils avaient procédé après le 11 avril 2011, dans l’unique but de piller, voler, détruire, traumatiser, encore, et, encore, les ivoiriens.

C’est donc sous ce fumeux prétexte que la résidence d’ADZOPÉ du ministre Léon Emmanuel MONNET, après les premiers pillages de 2011, vient encore de voir ses portes voler en éclats sous les puissantes bottes des FRCI de Dramane OUATTARA, avant de subir une perquisition d’un autre âge, dans la nuit du lundi 4 au mardi 5 décembre dernier, aux diaboliques motifs de recherche d’armes. De tels agissements font donc suite aux éternels soupçons de Dramane OUATTARA contre le ministre Monnet d’être en train de préparer des coups d’état, depuis son camp de réfugiés au Ghana.

Pourtant, le monde entier, l’ONU en premier, a dorénavant amplement connaissance de la liste de ceux qui possèdent de véritables poudrières dans leurs domiciles respectifs en Côte d’Ivoire, et parmi lesquels ne saurait figurer un seul Pro-Gbagbo survivant.

Mais nous croyons qu’on doit faire court, trop c’en est trop !

On doit faire intégrer à Dramane OUATTARA que l’heure n’est pas aux prétextes pour espérer se maintenir au pouvoir.

L’heure est plutôt aux préparatifs de son départ définitif de la Côte d’Ivoire, la Côte d’Ivoire dont il n’est pas originaire certifié ISO ADN.

Un puissant antidote doit dès lors être expérimenté, sans délai, pour arrêter, net, ces pratiques de non droit. Point.

L’Activateur Tchedjougou OUATTARA
Roger Dakouri Diaz