Les auteurs des attaques seraient identifiés…

Prêterait à rire, si ce n’était dans ce contexte tragique d’arrestation d’anciens militaires et traque d’exilés…Les assassins du journaliste Kieffer courent toujours, mais là, en quelques jours la police de super Ado a déja trouvé, sans enquêter les vrais faux coupables!

Damana pickas, Stéphane Kipré, Lobognon Henri et Péhé Emmanuel impliqués dans les attaques de postes de police et de gendarmerie (Ministre Sidiki Diakité)
Apr-news.fr

LE MINISTRE DE L’INTÉRIEUR ACCUSE SANS PREUVES DAMANA PICKASS ET STEPHANE KIPRÉ D’ETRE IMPLIQUÉS DANS LES DERNIÈRES ATTAQUES…

Le Ministre de L’intérieur SIDIKI DIAKITE vient d’accuser publiquement le VP du FPI charge de la politique de la jeunesse Damana Adia Pickass et le président de l’UNG Stephane Kipré d’être impliqués directement dans les récentes attaques de prisons et de la gendarmerie.

Ces accusations sont infondées , sans preuves et dénotent d’un projet machiavélique en cours contre ces deux illustres personnalités du Camp GBAGBO présentement en exil.

Acculé, ce pouvoir veut rejeter la faute sur ces personnes afin de leur mettre la main dessus. Rappelez vous du cas Koné KATINAN et j’en passe.

Ce gouvernement ne cessera jamais de nous étonner car toujours habituel des mensonges et de la ruse afin d’arriver à ses fins. Mais là nous disons NON , ça ne se passera pas ainsi.

Cette accusation est infondée et dans les instants qui suivent , une réponse musclée se fera sentir de la part du Chef Damana Pickass..
Fréjus Koffi 

https://www.facebook.com/aprnews.fr/videos/1756585251305828/

 Ci-dessous la retranscription du Communiqué du Conseil National de Sécurité

VOICI LE Communiqué du Conseil National de Sécurité DE OUATTARA Alassane

Une réunion du Conseil National de Sécurité, présidée par le Président de la République, Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara, s’est tenue ce jeudi 7 septembre 2017, au Palais de la Présidence de la République.

L’ordre du jour a porté sur la situation sécuritaire nationale, notamment les attaques perpétrées contre les postes de police et de gendarmerie ainsi que les évasions de prisonniers.

I/ Attaques perpétrées contre les postes de police et de gendarmerie

Depuis le début de l’année 2017, une série d’attaques armées a ciblé des postes de police et de gendarmerie dans les localités de Bingerville, Cocody, Azaguié, Fresco, N’Dotré, Adzopé et Songon.

Les enquêtes en cours ont conduit à l’arrestation de trente-cinq (35) personnes et à l’identification de plusieurs autres.

La plupart de ces personnes avaient déjà été impliquées dans des attaques similaires au cours de la période 2012 – 2014. Arrêtées et incarcérées, elles avaient été libérées dans le cadre du dialogue politique et du processus de réconciliation nationale. Il s’agit notamment de :

1- YOBO Jean Rodolph – militaire;
2- Aubain OULAÏ alias ’’BINO’’ – militaire;
3- ZAMBLE YOUAN BI ZOU Basile – militaire;
4- SERY DOUA Alain dit « MOCAMO » – militaire ;
5- BOHOUSSOU WASSA Toussaint – militaire ;
6- PECOULA Mathias – militaire ;
7- DAKPA Jean olivier – milicien;
8- ADOU Steven Djezen – milicien;
9- DJIHITIEN Rodrigue – milicien ;
10- DJIPRO Nikpi Hervé alias le ’’Renard’’ –
11- EBA Eliahou Israel – milicien;
12- KOUASSI Konan Yves alias ’’Gaou’’-
13- TEHE Marc alias ’’Marco’’-

Il apparaît clairement que les mesures de clémence prises en vue de promouvoir la paix et la réconciliation, n’ont pas été comprises comme telles par ces individus qui continuent de constituer des menaces pour l’intégrité physique et la quiétude des populations ainsi que pour la stabilité des Institutions de la République.

Par ailleurs, les attaques de N’Dotré, Azaguié et Adzopé ont mis en évidence l’implication de démobilisés et de militaires dont certains ont été mis aux arrêts. Il s’agit notamment de:

– DIABATÉ Abdoulaye alias “Ablo la Roquette”;
– OUATTARA Gnonzié Lacina;
– BALLO Arouna;
– ZORÉ Yaya alias “Yanes”.

Les informations recueillies au cours des enquêtes et des auditions montrent clairement que ces attaques s’inscrivent dans un projet de déstabilisation impliquant notamment des responsables politiques aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays, plus particulièrement au Ghana.

Ces personnes instrumentalisent et arment certains démobilisés et militaires déloyaux.

Parmi les instigateurs de ce projet de déstabilisation, figurent:

– DAMANA Pickas, en exil au Ghana;
– Stéphane KIPRÉ, en exil;
– LOBOGNON Henry, recherché;
– Lieutenant PEHE Emmanuel, recherché;

Les Forces de Défense et de Sécurité ont reçu des instructions du Conseil National de Sécurité pour agir avec la plus grande fermeté dans la traque des auteurs et des instigateurs de ces attaques afin de les traduire devant la Justice.

Le Gouvernement tient à rassurer les populations que des dispositions sont prises pour apporter une réponse vigoureuse à ces actes criminels et garantir leur quiétude.

II/ Evasions de prisonniers

Depuis le 6 août 2017, des évasions de prisonniers sont survenues dans les maisons d’arrêt et de correction de Gagnoa, Aboisso et Katiola ainsi qu’au Palais de Justice d’Abidjan-Plateau.

Les recherches en cours ont permis l’arrestation d’un certain nombre de prisonniers évadés. S’agissant particulièrement de la récente évasion survenue à la maison d’arrêt et de correction de Katiola, les recherches entreprises par les forces de police et de Gendarmerie ont permis l’arrestation de quarante quatre (44) détenus sur les quatre-vingt-dix-huit (98) évadés.

Des sanctions ont été prises à l’encontre des surveillants et des régisseurs de ces établissements pénitentiaires.

Le Conseil National de Sécurité a pris des mesures visant à renforcer la sécurité autour des prisons.

Fait à Abidjan, le jeudi 7 septembre 2017

Pour le Conseil National de Sécurité
Sidiki DIAKITE
Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité
LeCridAbidjan

Remarque pertinente:

quelle insouciance!!! le conseil national de sécurité a volontairement omis le point des microbes qui agressent,volent et tuent des populations impunément parce que leurs cruelles actions ne mettent pas à mal le pouvoir.ce mepris flagrant pour le peuple montre ce regime hanté par une perte brusque du pouvoir ne pense qu’à ses intérêts. cher vaillant peuple ivoirien sache qu’un pouvoir n’est jamais éternel,donc prend ton mal en patience car un jour il fera jour.
Serge Pacome Depri

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Les réponses de Damana Pickas et de Stéphane Kipré ne se sont pas fait attendre

C’est avec stupéfaction et une colère à peine contenue que j’ai appris par les médias que le Conseil National de Sécurité du régime Ouattara réuni ce jour nous accuse d’être instigateurs des attaques de postes de police et de gendarmerie avec messieurs Stéphane Kipré, président de l’Ung, Lobognon Henri et Emmanuel Pehe.

Si je connais Stéphane Kipré dont je revendique l’amitié et la fraternité, par contre, je ne connais  pas Emmanuel Pehe et Lobognon Henri dont j’ignore tout et mets au défi quiconque de me prouver le contraire.

Je ne sais donc pas par quelle alchimie le régime Ouattara a pu aboutir à une telle conclusion. Aucun début de preuve n’est avancé pour soutenir des allégations aussi graves qui, du reste, demeurent mensongères et diffamatoires.

J’élève donc une vive protestation et rejette énergiquement toutes ces accusations. Je note cependant que le gouvernement est habitué a toujours rechercher des boucs émissaires pour masquer son incapacité à relever les défis notamment sécuritaires qui se posent à notre pays.

Le régime nous avait déjà accusé de complicité avec le groupe terroriste ansar-dine et le régime malien du capitaine Sanogo pour déstabiliser la côte d’Ivoire, les attaques des camps militaires d’Akouedo, de Tabou et que sais-je encore…

Je souligne, a toutes fins utiles, que le régime Ouattara ne nous a pas encore pardonneé le fait que nous ayons mis  à  nu son coup d’état électoral de 2010. Ce qui a permis aujourd’hui au monde entier de découvrir leur supercherie.

Ils ont donc jurés de nous le faire payer par tous les moyens. Par ailleurs, cette accusation intervient à un moment où la demande de liberté provisoire du président Laurent GBAGBO est en voie d’être analysée positivement, scenario que redoute le régime Ouattara. C’est pourquoi il accuse les proches du président GBAGBO  d’être les responsables de ces troubles avec en perspectives que ces attaques vont se généraliser et gagner en ampleur si Laurent GBAGBO est libéré. C’est l’un des arguments de la procureure pour tenter désespérément de maintenir le président GABGBO en prison à la Haye.

Le gouvernement Ouattara gagnerait plutôt à rechercher les véritables auteurs de ces attaques en son sein car il n’est un secret pour personne que les véritables menaces du régime sont les ex combattants, les démobilisés, les dozos, l’indiscipline de leurs militaires, les microbes, etc . Au demeurant, les tensions réelles qui existent au sein de la coalition au pouvoir et qui ont déjà occasionnées des débordements et des violentes invectives pour le contrôle du pouvoir d’état en 2020 peuvent justifier ce genres d’actes.

Pour notre part, nous demeurons sereins et imperturbables face à ces accusations d’une autre époque qui visent à nous détourner de nos objectifs majeurs et fondamentaux qui sont la libération du président Laurent GBAGBO, de la 1ére Dame Simone GBAGBO, du ministre Charles Ble Goudé, de tous les détenus politiques et le retour des exilés.
Sur ces questions nous demeurons mobilises et déterminés. Merci

DAMANA ADIA PICKASS

Vice-Président du Front Populaire Ivoirien en charge de la politique de la jeunesse ;
Vice-Président de la Coordination du FPI en exil.
Afrikanewsmultimedia.com

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Cité par les autorités ivoiriennes comme un des instigateurs des attaques contre les brigades de gendarme et les commissariats de police, Stéphane Kipré  à travers le communiqué ci-dessous, dément toute implication, dénonce une diffamation et des accusations graves et farfelues, et annonce avoir saisi ses avocats.
 » Ce Jeudi 7 Septembre 2017, j’ai lu avec consternation et stupéfaction, (…) un communiqué du Ministre ivoirien de l’Intérieur et de la Sécurité,  m’accusant de faire partie d’un groupe « d’instigateurs » d’un « projet de déstabilisation » du régime Ouattara. Face à de telles graves accusations fallacieuses et non fondées, je voudrais rappeler au Gouvernement ivoirien, que depuis mon entrée en politique, j’ai été bercé par l’idéologie et le principe démocratique de l’accession au pouvoir par les urnes. Mes actions et mes paroles ont toujours été en conformité avec le principe et l’idéal de combat rappelé plus haut.

Je constate toutefois que, chaque fois, qu’il se trouve face à son incompétence à maitriser les bras armés qui l’ont porté à la tête du pays, le Pouvoir de M. Ouattara ressort les mêmes recettes moyenâgeuses qui consistent à accuser de déstabilisateur ses opposants politiques afin de maintenir à dessein la Côte d’Ivoire dans une sorte de psychose et de tension inutiles. Je ne me reconnais donc ni de près ni de loin dans les faits dont il est question.Je condamne par ailleurs cette propension des autorités ivoiriennes à gouverner en érigeant le mensonge en projet de société et cette énième campagne de diabolisation concoctée contre ma personne par ce pouvoir qui, incapable  de trouver les vraies solutions aux nombreux problèmes des ivoiriens, semble n’avoir trouvé mieux à faire que d’user de dilatoire pour se dédouaner de son échec. Ces accusations farfelues et d’une très grande gravité portées à mon encontre m’indignent et ne resteront pas sans suite.

J’ai immédiatement instruit mon conseil de saisir les tribunaux compétents pour diffamation afin que la vérité  soit rétablie sur ces accusations qui portent atteinte au principe élémentaire de la présomption d’innocence, à mon honneur, à ma dignité, à ma réputation et à ma crédibilité politique. Je reste néanmoins déterminé à continuer mon combat politique ; celui d’œuvrer inlassablement à l’avènement d’une Côte d’Ivoire réconciliée et démocratique  »
Stéphane KIPRE, Président de l’UNG,
Opposant politique Exilé
Afrikipress

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OUATTARA VEUT ENCORE NOUS INTIMIDER ET NOUS DÉTOURNER DES PROBLÈMES ESSENTIELS DE L’HEURE QUI SONT LUTTE CONTRE LE CFA ET SA MAL GOUVERNANCE

Par un communiqué laconique d’un soit disant »Conseil de sécurité National » de la République dozotique installée en Côte d’Ivoire…, Ouattara et sa cour accusent #Stéphane_Kipré, le président de l’UNG, Damana Adia Pickass, dirigeant du FPI « d’avoir armé un commando de 35 personnes en vue de déstabiliser son pouvoir ». Avant la tenue de ce Conseil de Sécurité, c’est son nouveau Ministre de l’intérieur qui donnait déjà de la voix pour accuser. Pour nous, parce que c’est ce minsitre qui accuse que nous pouvons conclure que c’est du faux et de la diffamation…

En effet, l’actuel Ministre était Préfet à Touba(2008-2011) lorsque des éléments du MPCI avaient exécuté des populations civiles… Malgré toutes les preuves fournies et mis à sa disposition, il avait couvert les crimes… (Nous mettons ici la vidéo pour que chacun se fasse une idée…)
https://youtu.be/qGPQ8alHp-Y

Quelle crédibilité accordée à un préfet qui n’a pas pu défendre les populations dont il avait la charge, lorsque, parce que Ministre de l’intérieur, il accuse des gens sans preuves ?

C’est à juste titre que Damana Pickas, coaccusé a réagi rapidement à ces accusations pour conclure en ces termes : »pour notre part, nous demeurons sereins et imperturbables face à ces accusations d’une autre époque qui visent à nous détourner de nos objectifs majeurs et fondamentaux qui sont la libération du président Laurent Gbagbo, de la première dame Simone Gbagbo, du ministre Charles Blé Goude, de tous les prisonniers politiques et le retour des exilés… »

Pour notre part, Ouattara veut nous détourner des vrais problèmes liés au franc CFA et sa gouvernance. En effet, à la suite de l’acte authentique et historique de Kemi Seba (en brûlant en public un billet de 5000f CFA pour protester contre l’utilisation de cette monnaie coloniale française en Afrique), ils ont été nombreux les Africains dans plusieurs capitales africaines à faire corps avec Kemi…La BCEAO qui avait esté en justice avait été débouté et Kemi fut libéré. Cette victoire historique n’ayant pas plu au propriétaire de la monnaie, Ouattara fut convoqué derechef à Paris…Le 31 août comme un micci dominici, Ouattara se prononçait ouvertement en faveur du CFA plus que décrié…par les Africains. Pour l’occasion il recevait des directives fermes de son patron afin de mettre la pression sur son homologue sénégalais, l’autre gardien de la maison, à l’effet d’expulser Kemi Seba du territoire sénégalais vers la France en vue de mieux le surveiller… Nous sommes dans cette dynamique de condamnation de l’acte du gouvernement sénégalais…et coup de théâtre, Ouattara comme un prestidigitateur, sort son jeu favori, les faux complots assortis d’accusation farfelues et fantaisistes…

Autre chose, Ouattara a été dénoncé par La Lettre du Continent comme un auteur de gabegies en détournant des sommes faramineuses qu’il fait gérer par son frère comme »budget de souveraineté… » Lui même il dit qu’il porte plainte pour diffamation. Et nous attendons l’ouverture du procès en diffamation de l’hebdomadaire français…

Pour terminer, la case tribale, son parti le RDR brûle…et ses chiens de guerre qu’il a armés contre l’État de Côte d’Ivoire veulent le manger…Et la sérénité à la veille du congrès de son parti qui se tiendra le weekend prochain n’est pas de mise quand à l’issue heureuse des travaux…Ce sont tous ces problèmes qui troublent le sommeil du boucher du plateau…Et au lieu de chercher des solutions, il tente de nous distraire par des niaiseries…

Alexis Gnagno
Le Rouge Tanoh
Paul Kalou

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