Yom Atsmaout, indépendance d’Israël
Nous venons de fêter les 72 ans de l’Etat d’Israël
Paroles de la chanson Jerusalem En Or
par Les Compagnons De La Chanson
Yerushala’im ma ville d’or, ville de cuivre et de lumière
Ton nom est dans nos rêves et nos prières
Yerushala’im ma ville d’or, ville de cuivre et de lumière
Ton nom est dans nos rêves et nos prières
Le vent qui vient de la montagne
Me parle d’autrefois
Derrière chaque pierre se cachent
Des peines ou bien des joies
J’entends battre le cœur des hommes
Qui dorment enfin sans peine
Il fallait que cette heure sonne
Après le temps des pleurs
Yerushala’im ma ville d’or, ville de cuivre et de lumière
Ton nom est dans nos rêves et nos prières
Yerushala’im ma ville d’or, ville de cuivre et de lumière
Ton nom est dans nos rêves et nos prières
Tes fils qui dorment sous la terre
Ne sont pas morts en vain
Cet orage d’acier et de fer
Est le plus pur levain
De plus grands ont fait des poèmes
Si je te chante encore
C’est que je t’aime Yerushala’im
Ville de lumière et d’or
Yerushala’im ma ville d’or, ville de cuivre et de lumière
Ton nom est dans nos rêves et nos prières
Yerushala’im ma ville d’or, ville de cuivre et de lumière
Ton nom est dans nos rêves et nos prières
Cette chanson fut composée par Naomi Sapir Shemer. Yeroushalayim shel zahav (Jérusalem d’or, repris et traduit en français par Rika Zaraï, ainsi que les Compagnons de la chanson) reste sa chanson la plus populaire. Écrite en 1967, quelques jours avant la Guerre des Six Jours, au cours de laquelle l’État d’Israël conquiert Jérusalem-Est ainsi que le Mur Occidental (ou Mur des Lamentations) de nouveau accessible aux Juifs. La compositrice rajoute alors une strophe évoquant le retour des Juifs à Jérusalem.
L’original Hébreu est interprété par la chanteuse Shuli Nathan.
Cette chanson emblématique et chargée de symboles accompagne souvent l’hymne national israélien Hatikvah dans les célébrations. Il est considéré comme le second hymne national d’Israël
Repris de l’article Wikipédia qui est consacrée à l’auteur-compositeur israélienne, Naomi Shemer.
L’air des montagnes est pur comme le vin
Et l’odeur des pins
Est portée par le vent du soir
Avec le son des cloches.
Et quand sommeillent l’arbre et la pierre
Enfouis dans son rêve,
S’abime la ville solitaire
Un mur dans le cœur.
Jérusalem d’or, de lumière et de bronze,
Je suis un violon pour toutes tes chansons.
Comme ils sont à sec les puits !
La place du marché est vide.
Et nul oeil ne guette le mont du Temple
Dans la Vieille Ville.
Et dans les grottes des rochers
Hurlent les vents
Et nul ne descend plus vers la Mer Morte
Par la route de Jéricho.
Jérusalem d’or, de lumière et de bronze,
Je suis un violon pour toutes tes chansons.
Je suis venu aujourd’hui chanter pour toi
Et tresser tes louanges
Mais je ne suis pas à la hauteur du moindre de tes enfants
ni du dernier des poètes.
Car ton nom brûle les lèvres
Comme le baiser d’un séraphin
Si je t’oublie Jérusalem…
Toi qui es toute d’or.
Jérusalem d’or, de lumière et de bronze,
Je suis un violon pour toutes tes chansons.
Nous sommes revenus aux puits des eaux,
Au marché et sur la place.
Un shofar appelle sur le Mont du Temple dans la Vieille Ville.
Et dans les grottes des rochers
Des milliers de soleil rayonnent
Nous reviendrons et descendrons vers la Mer Morte
Par la route de Jéricho.
Jérusalem d’or, de lumière et de bronze,
Je suis un violon pour toutes tes chansons.