Un pneumologue à bout de nerfs :

« MA VIE EST DEVENUE UNE ENFER !  » (*)
“J’estime que 80 % des diagnostics de covid sont faux, surtout sur les causes de décès”, la lettre d’un médecin pneumologue “à bout de nerfs”,
4 septembre 2020, »Ma vie est devenue un enfer ! »
Je souhaite témoigner à propos de cette “épidémie” de covid actuelle. L’épidémie purement virale est terminée depuis fin mai : zéro décès, quelques rares hospitalisations, quelques rarissimes patients en réa.
Ayant travaillé en mars, avril et mai dans un service où l’on entreposait les “malades” covid, j’ai pu me rendre compte que la majorité d’entre eux n’étaient pas infectés par le virus ! Je m’explique : tous les patients suspects devaient passer un test PCR et un scanner de thorax. La quasi-totalité avaient une PCR négative, mais par contre tous les radiologues concluaient de la même manière : Images compatibles avec une infection covid. Et zou, le patient était transféré dans le service des “covid”. Heureusement pour eux qu’ils n’y en avaient pas tant que ça, parce que je ne vous raconte pas l’hécatombe que cela aurait pu être. Ces “fameux” radiologues voyaient de l’infection covid sur des scanners, normaux, prenaient des bulles d’emphysème pour du covid, prenaient des pneumonies bactériennes à pneumocoques pour du covid etc. Véridique.
Sachant interpréter moi-même les scanners de thorax, mieux qu’eux apparemment, je peux vous le certifier. J’ai même vu une Mamie dont la fille était médecin, PCR négative, scanner normal mais interprété covid compatible mise dans ce service. La fille médecin n’étant pas si bête, a regardé le scanner est s’est rendu compte que le scanner était normal. Elle voulait porter plainte. J’ai insisté pour que cette Mamie soit immédiatement sortie du service. Mais j’ai fait une erreur ce jour là : j’ai cédé aux pressions, et je n’ai mis aucun mot dans le dossier. Quelle erreur !!!!!

Autre chose que je ne peux plus taire : La lésion pulmonaire dans le covid est l’alvéolite. C’est une réaction exagérée de l’organisme contre un agresseur. Toutes les alvéolites évoluent selon un même tableau, à quelques détails prêts. (Poumon de fermier, poumon des éleveurs d’oiseaux etc ). On connaît les alvéolites depuis “toujours” et on sait les traiter : cortisone à très haute dose ! Or, quelques imbéciles qui ont oublié leurs études de médecine en 5 minutes, y compris des Professeurs, ont interdit la cortisone au motif que cela faisait baisser les défenses immunitaires. Ces mêmes imbéciles ont oublié que la cortisone affaibli les défenses, après plusieurs mois de traitement continu, et encore, de façon modéré. Ce n’est pas de la chimiothérapie ! Ces Imbéciles sont responsables de combien de morts ? Des centaines ? Des milliers ?
L’alvéolite est réversible à condition qu’elle soit traitée tôt avec de la cortisone. C’est la lésion pré-fibrose, qui elle est définitive. Combien de fibroses séquellaires à cause de ces imbéciles ?Petite info : la cortisone fait partie maintenant du traitement immédiat…..Allons-nous poursuivre en justice tous ces imbéciles ? Il le faudrait.
Dans le service où je bossais, tous peuvent être témoin que j’ai toujours préconisé la cortisone dès le début à double, voire triple dose (solumedrol 120 mg x 3). J’estime que 80 % des diagnostics de covid sont faux, surtout sur les causes de décès. J’ai moi-même rempli des certificats de décès en 2009, à l’époque du H1N1, “mort du H1N1” alors que c’étaient des cancéreux en phase terminale. J’ai honte.
J’ai eu des preuves que ce phénomène non seulement est toujours présent, mais qu’il s’est amplifié. Actuellement seul le taux de décès et éventuellement le taux d’admission en réanimation sont les seuls critères fiables de l’épidémie. Les décès et les admissions sont au plus bas. Voisins de zéro. Pourquoi parler d’épidémie sans malades ?????? Le gouvernement multiplie les “dépistages” et trouve beaucoup de porteurs sains. C’est parfait et c’est tant mieux. Les porteurs sains sont utiles et nécessaires car c’est par eux que la protection de masse va se faire. Il est criminel et assassin d’empêcher cette protection de masse par le port du masque. Nous sommes tous porteurs sains de milliards de germes pathogènes dans notre bouche surtout, mais aussi dans notre intestin. Nous sommes très nombreux à être porteurs sains du pneumocoque, du méningocoque. Sans nous, les pneumonies mortelles, les méningites seraient légions et on en verrait partout tous les jours ! Je ne parle même pas du staphylocoque doré présent dans toutes les narines (j’exagère à peine) de tous les humains sur cette terre ! Il existe des faits : pas de réa, pas d’hospitalisations, pas de morts. Ce sont des faits! Il existe des extrapolations de mages, de gourous, qui disent que peut être demain, si les astres sont favorables, selon l’âge du capitaine et selon les boules de cristal, il y aura une deuxième vague. Ces imbéciles, épidémiologistes, infectiologues, ou n’ayant aucune connaissance dans le domaine, sèment la terreur et malheureusement conseillent le gouvernement, trop bête pour comprendre de lui-même. Comme pour l’amiante avant 1997…

S’il doit y avoir une deuxième vague, c’est tout de suite. C’est à dire qu’elle aurait du avoir lieu en juin. En juin ? rien! En juillet ? rien ! En août? rien ! J’avance même : en septembre ? Rien !

Ils nous emmerdent avec leurs masques obligatoires pour une épidémie qui est terminée et ils empêchent même la protection de masse. Ce sont des criminels. Ces bases étant posées, voici comment je vis depuis. Je vois des dizaines de jeunes gens qui ont tous le même profil, les mêmes symptômes : douleurs thoraciques vagues, atypiques, et dyspnée inspiratoire (une dyspnée inspiratoire est toujours psychogène) et la spirométrie et les scanners de thorax sont toujours normaux. Ces patients défilent en permanence depuis 4 mois, alors qu’avant je n’en voyais qu’un tous les 3 ou 6 mois. Des stressés qui ont peur de mourir (comme lors du passage à l’an 2000), qui posent tellement de questions que je n’ai plus le temps d’aborder le sujet pour lequel ils viennent.

Sur ma vie personnelle, c’est l’enfer : la peur du flic en manque de points pour sa prime car je refuse de porter un masque inutile (en plus je suis asthmatique, un vrai de vrai) et en surpoids donc en hypoventilation alvéolaire. Un masque pourrait m’envoyer direct au paradis (ou en enfer). La peur du regard des moutons masqués. La peur de recevoir un patient obtus avec qui je vais me prendre le chou, la PEUR tout le temps. Ma mère a eu 20 ans en 1940. Je comprends maintenant ce qu’elle a du vivre, tout comme mon père; mais lui il était prisonnier. LA PEUR permanente. Cerise sur le gâteau, un jeune patient fanatisé et bas du front a porté plainte contre moi à l’ordre des médecins du Rhône. Je suis convoqué vendredi 18 septembre au 94 avenue Servient 69003 Lyon !!!!!!!Je suis au bout du rouleau. Je n’en peux plus de cette hystérie collective créée et entretenue par ce gouvernement. Les bouquins de psychiatrie disent tous que l’hystérie collective est toujours créée par des groupes importants ou des gouvernements. Nous sommes en plein dedans. J’envisage même de me mettre en arrêt de travail prolongé si cela continue. Impossible de travailler sereinement dans de telles conditions.Veuillez agréer, Madame, Monsieur, mes salutations distinguées,”

(* – Source :– Blog médiapart de DBCooper : Ma vie est devenue un enfer ! Lettre d’un pneumologue à bout de nerfs.
NB : L’auteur de ce témoignage préférant rester anonyme, chacun reste libre de jauger la véracité de ses propos en fonction de ses propres capacités et connaissances. )

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Qui sera vacciné en priorité en France contre le coronavirus

Les scientifiques recommandent de cibler d’abord les travailleurs les plus exposés et les personnes fragiles du fait de leur âge, de leur santé, ou de leur précarité. Ce qui représente plus d’un tiers des Français.

A l'arrivée du vaccin contre le Covid-19, il faudra définir qui est prioritaire pour la vaccination.

A l’arrivée du vaccin contre le Covid-19, il faudra définir qui est prioritaire pour la vaccination. (Getty Images)Par Solveig Godeluck
Publié le 2 sept. 2020

Quand le vaccin contre le coronavirus arrivera en France, certaines personnes devront être vaccinées en priorité. Dans un avis rendu le 9 juillet, trois instances scientifiques (Care, comité scientifique, comité vaccin Covid-19) proposent une stratégie vaccinale. Les cibles prioritaires peuvent apparaître dans plusieurs catégories à la fois, mais au total plus d’un tiers des Français sont concernés .

Première cible, les « populations à risque d’exposition professionnelle », environ 6,8 millions de personnes. Au sein de cette catégorie, autour de 1,8 million sont à risque « très élevé », essentiellement des personnels de santé, dont 700.000 infirmiers, 400.000 aides-soignants, 230.000 médecins.

Sont considérés comme un peu moins exposés, les commerçants (1 million), les enseignants (870.000), le personnel de l’hôtellerie-restauration (600.000), les aides à domicile (400.000), les ouvriers en abattoir, guichetiers, banquiers, chauffeurs, travailleuses du sexe, caissiers… Les travailleurs migrants qui sont hébergés en milieu confiné sont également inclus.

10 millions d’obèses

Deuxième cible, les « personnes à risque du fait de leur âge ou de leur état de santé », soit environ 23 millions de personnes. On recense ainsi 13,5 millions de plus de 65 ans et 4 millions de personnes moins âgées mais souffrant de pathologies cardiovasculaires, de diabète ou d’hypertension. Les 10 millions d’obèses, également à risque, apparaissent déjà pour certains dans cette catégorie. D’autres maladies chroniques sont également des facteurs de risque.

Troisième cible, les « personnes vivant en situation de grande précarité », soit 250.000 individus potentiellement moins bien informés et à la santé plus fragile : SDF, mal logés, demandeurs d’asile, etc.

Autour de certains clusters

Il est possible de procéder à des « vaccinations réactionnelles » autour de certains clusters, pour empêcher l’infection de s’étendre, à condition que la vaccination soit efficace rapidement dès la première dose. On vaccinerait alors les contacts des personnes infectées, et les contacts de ces contacts.

Après ces trois cibles prioritaires, en deuxième rideau, les scientifiques préconisent d’étendre la vaccination aux habitants des Outre-mer (2,8 millions de personnes), pour éviter une pénurie de lits de réanimation, ainsi qu’aux résidents en milieu fermé (500.000 handicapés en établissement, 340.000 malades psy hospitalisés à temps complet, 70.000 détenus), et à 600.000 « emplois stratégiques » (militaires, pompiers, policiers).

Solveig Godeluck, Les Echos .fr