quand le prix ivoirien de la paix est sans lien avec la paix en CIV
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ce prix est devenu le rendez-vous des chefs d’états et anciens chefs d’état, à l’exception du Président Laurent Gbagbo !
Abidjan – Le Prix Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix sera remis mardi au siège de l’Unesco, à Paris, en présence des présidents Alassane Ouattara et Henri Konan Bédié, de Thérèse Houphouët-Boigny et de la directrice générale de l’Unesco, Irina Bokova.
L’édition 2017 du Prix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix a décerné le 19 avril à Paris à Giuseppina Nicolini, maire de la ville de Lampedusa (Italie), ainsi qu’à l’ONG SOS Méditerranée (France) pour leurs efforts déployés en vue de sauver la vie des réfugiés et des migrants et de les accueillir avec dignité, rappelle-t-on.
D’ailleurs, le chef de l’Etat ivoirien s’est envolé dimanche après la grande prière de fin de Ramadan pour la capitale française où séjourne depuis quelques jours son aîné Henri Konan Bédié, président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) et protecteur du prix.
Créé en 1989 par une résolution parrainée par 120 pays et adoptée par la 25e session de la Conférence générale de l’UNESCO, le Prix Félix Houphouët-Boigny a pour parrain, Abdou Diouf, ancien président de la République du Sénégal et ancien secrétaire général de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), rappelle-t-on.
L’édition 2016 du Prix Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix avait été décernée à l’ancien président américain, Barack Obama.
(AIP)
article de JeuneAfrique
Henri Konan Bédié maître de cérémonie pour la paix
L’ancien chef d’État ivoirien remettra le prix pour la recherche de la paix le 27 juin au siège de l’Unesco, à Paris
Henri Konan Bédié remettra le 27 juin à l’Unesco le prix Félix-Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix à la maire de la ville italienne de Lampedusa, Giuseppina Nicolini, ainsi qu’à l’ONG SOS Méditerranée pour leurs efforts déployés en vue de sauver la vie des réfugiés et des migrants et de les accueillir avec dignité.
« Cette femme a beaucoup œuvré pour sauver des vies humaines, et particulièrement des Africains. Elle mérite ce prix », explique Bédié. Créée en 1989, la récompense honore les personnes vivantes, institutions ou organismes publics ou privés en activité ayant contribué de manière significative à la promotion, à la recherche, à la sauvegarde ou au maintien de la paix, dans le respect de la charte des Nations unies et de l’acte constitutif de l’Unesco.
Par le passé, le prix a été attribué à Yasser Arafat, Yitzhak Rabin, Nelson Mandela, à la communauté de Sant’Egidio, à l’ancien président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva ou encore à Abdoulaye Wade et à François Hollande.
JeuneAfrique