Port du masque obligatoire en société fermée…
POURQUOI SOUDAINEMENT LE PORT DU MASQUE DEVIENT OBLIGATOIRE
Le port du masque et la distanciation sont les meilleurs moyens d’obtenir une 2e vague par manque d’immunité collective de la population.
C’est une aberration médicale et scientifique selon le doctorat d’exercice en pharmacie que j’ai passé.
Être en contact les uns avec les autres est le moyen de se transmettre ce virus affaibli comme vaccin naturel, afin que chacun développe des anticorps avant l’automne.
L’été, sans que l’on sache vraiment pourquoi, le virus est très affaibli. En revanche, le système immunitaire des personnes est au maximum grâce aux activités dehors et au soleil.
Après la scandaleuse gestion des centres pour personnes âgées, cette distanciation et les masques l’été et un autre scandale!
Vous remarquerez que le nombre de morts est en baisse au Québec. Il est proche de zéro, et que c’est environ 1 à 2 % des tests de dépistage qui s’avère positif. Alors il n’y a vraiment, vraiment, vraiment pas de quoi s’inquiéter ni de sacrifier la vie civile et économique de 99,9 % de la population pour moins de 0,1% (6000 morts sur 8,5 millions de Québécois) malheureusement très âgé et avec une immunité déficiente qui mourront naturellement de la covid.
Arrêtons maintenant cette manipulation et ces abus de pouvoir pour contrôler les populations.
Fabrice Descurninges
Masque et déshumanisation
Publié le 8 mai 2020 par la Mésange
Comme je le disais dans un précédent article, les « mesures de distanciation sociale » (expression grotesque forgée par la novlangue technocratique de l’Ennemi), font que les humains le sont de moins en moins, humains.
Les zélites qui visent à instaurer le gouvernement mondial ont en effet décidé de domestiquer une bonne fois pour toute le « bétail » infra-humain que sont devenus tous ces peuples au QI d’huîtres, affolés par la mort certaine due à la terrible grippette dite covid19. Laquelle a fait 26000 morts en France (dont au moins 96% morts de « totalement autre chose »), ce qui nous donne une mortalité générale sur l’ensemble de la population française de 0,038% ! Bigre, il y a certes de quoi paniquer.
Déjà la perte de tout sens religieux avait quasiment rabaissé les hommes athées au niveau des bêtes. A présent, c’est le pire qui s’annonce, avec la culture naissante du « chacun est l’ennemi de tous ».
Que penser de gens qui dissimulent la majeure partie de leur visage derrière un bout de tissu ?
Premièrement, qu’ils ont quelque chose à cacher : on dérobe à l’autre ce qu’on pense, ce qu’on ressent. Le masque cache le sourire comme le rictus, et seuls les yeux restent pour exprimer, peut-être, quelque chose. Or les yeux des contemporains sont souvent vides, vides d’intelligence comme de vertu, hélas. Les yeux sont une fenêtre sur l’âme dit-on, et l’âme des 98% de la population est vautrée dans la fange, dans le péché mortel : soyons sérieux, quel pourcentage de Français est habituellement en état de grâce ? Avec le masque, il n’y a même plus le sourire, fut-il futile et superficiel, pour « tempérer » cette impression de plongeon dans un dépotoir d’âme.
Deuxièmement, que ces gens sont perdus, dans tous les sens du terme. Ils ont perdu leur humanité comme on vient de le dire. Ils ont tout d’abord perdu toute capacité de raisonner, qui est le propre exclusif de l’homme entre toutes les créatures ayant un corps. Ils ont perdu leur âme, même si cela faisait déjà longtemps, malheureusement, mais disons que ça se remarque de plus en plus, à cause de la muselière.
Le résultat est glaçant, n’importe quel catholique normalement constitué prendra la fuite devant ces automates débiles portant fièrement leur masque ridicule et attendant avec impatience le « vaccinage », puçage, abattage.
Pour le coup, c’est le moment d’avoir peur, peur à la vue apocalyptique de ces hordes de cons, d’automates, de relents d’humanité complètement dégénérés car ne possédant même plus l’instinct de survie que nous avons en commun avec les animaux !
Oui, je me sentirais plus en sécurité parmi des animaux, qui au moins auront des réactions saines, que parmi ces tarés fin prêts pour l’adoration de l’antéchrist…
D’autres que moi, qui ne sont pourtant pas spécialement religieux, font la même analyse de la « masquite ridicule aiguë », par exemple ici : https://fr.sott.net/article/35546-Ton-masque-te-rend-haineux-con-pleutre-et-tu-ne-seras-pas-plus-protege
Quels sentiments m’inspirent toute cette affaire, de masque, et de haine et méfiance généralisée de tous envers tous ? Ils tiennent dans une réplique mise dans la bouche de Paul Scofield, l’acteur interprétant Saint Thomas More dans le film Un homme pour l’éternité. Après avoir expliqué qu’il n’a « rien fait, dit, ni pensé de mal », et voyant que malgré cela les juges à la solde d’Henry VIII le condamnent à mort, il conclut, épuisé :
« si cela n’est pas suffisant pour qu’un homme vive, je l’avoue sincèrement, j’ai grand-hâte de ne plus vivre ».
S’il faut vivre dans un monde comme celui que les zélites nous préparent, je l’avoue moi aussi, « j’ai grand-hâte de ne plus vivre »; car ceci n’est plus la vie, mais une mort lente, en contraste de laquelle la vraie Vie du Ciel me semble, s’il est possible, encore plus désirable.
pris sur le Blog de la Mésange
Et du même auteur : (…) Ayons bien conscience que les porteurs de muselières sont massivement irrécupérables, ce sont les mignons de l’antéchrist, et nous devons nous séparer d’eux, moralement et physiquement. Ils nous feront du mal s’ils le peuvent, car leur bêtise et leur méchanceté seront de plus en plus instrumentalisées par leurs Maîtres pour nous détruire.
La mort de la France d’abord, et la destruction de toutes les nations actée par la mise en esclavage de la population mondiale dans son ensemble, n’ont été rendues possibles que grâce à la chute de QI drastique des populations, à leur matérialisme effréné, à leur égoïsme aberrant, et à l’écouillage généralisé des hommes comme des femmes.
A nous de rester debout, et si comme cela s’annonce, mourir est le seul choix qui nous reste, tâchons au moins de mourir avec la dignité qui sied à un être humain :