LES GRANDES BOUFFES
Suite aux révélations sur les festins de François de Rugy payés par les contribuables (dont bon nombre de gilets-jaunes…), Michel Onfray rappelle qu’Emmanuel Macron ne valait pas mieux quand, ministre, il donnait des réceptions privées à Bercy.
Les macroniens ça ose tout, c’est d’ailleurs à ça qu’on les reconnait.
Dernière preuve en date, l’affaire de Rugy. Médiapart nous apprend en effet qu’avec son épouse, journaliste à Gala (Gala est le journal qui dit tout haut ce que les autres journaux pensent tout bas…), ils ont offert avec l’argent du contribuable des repas pantagruéliques à leurs amis. Dans le Satiricon de Pétrone, c’étaient des tétines ou des vulves de truies farcies arrosées avec de grands crus de Falerne; chez François de Goulet de Rugy, lors de ses banquets organisés dans les salles somptueuses de l’Assemblée nationale, c’étaient des « homards géants », dit-on, donc probablement péchés au large de Flamanville dans la Manche, non loin du réacteur nucléaire que l’on sait, le tout arrosés avec de grandes bouteilles de bordeaux millésimées. On découvre également que ce nouveau marié fêtait la saint-Valentin avec sa nouvelle épouse de façon tout aussi somptueuse avec chemin de table confectionné avec des pétales de roses! Où l’on voit que Rugy est véritablement un écologiste: il aime le jus de la vigne, les fruits de la mer, les homards irradiés et les fleurs désossées…
Que des élus fassent bombance avec l’argent des contribuables n’est pas une chose nouvelle. Ça n’est pas une surprise. C’est vieux comme le monde. Rien de neuf sous le soleil, tout se trouve déjà dans La Vie des douze Césars de Suétone – une bible païenne et libertaire… Caligula qui nomme son cheval sénateur, Néron qui fout le feu à Rome, Tibère qui sodomise des petits garçons, changez les noms, les forfaits demeurent. Ce même Suétone qui, pistonné par Pline le Jeune, obtient le statut de père de famille nombreuses alors qu’il n’a pas d’enfants!
Ce qui m’intéresse le plus, c’est de savoir qui était invité chez ce roitelet et sa reine selon le protocole de Labiche, puisqu’on a parlé d’intellectuels, de journalistes, d’écrivains! J’aimerais bien savoir qui est allé à la mangeoire !
On a su pour l’inénarrable Jean-Michel Apathie qui a raconté avec moult contorsions pourquoi il y était sans y être, qu’il avait hésité à y aller avant d’y aller tout de même, qu’il savait qu’un dîner est rarement de travail mais qu’après tout ce pouvait en être un malgré tout, quand même, sinon en même temps, qu’il y avait du gros homard pour certains, de temps en temps, mais que pour lui, cette fois-ci, pauvre chéri, c’étaient de petites crevettes – avec du mou de veau, de l’eau plate et du pain sec peut-être? Ah le brave soldat de la macronie qui va manger dans les auges du pouvoir mais qui, pris la main et le bras jusqu’au coude dans le pot de confiture, nous explique que ça n’est pas du tout ce que l’on croit, qu’il y était sans y être, qu’il a mangé sans manger, qu’il a bu sans boire, peut-être aussi qu’il a soutenu la macronie une fois de plus ce soir-là sans la soutenir, à l’insu de son plein gré! Seule certitude, le repas a été payé par le contribuable, dont certains gilets-jaunes qui acquittent leur écot en impôts indirects.
Quel spectacle écœurant! Trois points de plus pour le Rassemblement national… Continuez les pyromanes, continuez…
Donc Apathie. Mais on n’a rien su pour les autres! Dommage. Des intellectuels! J’aurais aimé savoir lesquels… Des gens du CNRS et de l’université? Du Collège de France et de l’Académie française? Des appointés de revues en vue et d’hebdomadaires qui font l’opinion? Des philosophes qui veulent pendre les gilets-jaunes ou des chercheurs qui ne trouvent pas, mais sont tout de même payés par l’impôt et qui souhaitent faire travailler plus longtemps les gens modestes? Des journalistes qui veulent toujours plus de libéralisme, mais juste après avoir touché le chèque de l’État qui permet à leur journal de vivre, une manne sans laquelle leur canard s’effondrerait sinon et leurs fiches de paie avec? Des porteurs de bicornes à glands et de sabres qui traînent par terre qui souhaitent réduire le train de l’État et qui luttent vaillamment contre la menace du fascisme lepéniste? Des noms, des noms!
J’aimerais aussi savoir quels ont été ces fameux intellectuels également été invités par Macron du temps où il était ministre de François Hollande et où il recevait à Bercy, sur les deniers de l’État, quelque bétail à assujettir dans sa course à l’Élysée! On a dénoncé la chose mais, miracle, là aussi, là encore, là toujours, aucun nom n’a été donné! Pourquoi on n’a pas su, cette fois-ci encore, qui avait dîné avec Emmanuel et Brigitte Macron sur les deniers publics? Quels intérêts ont les journalistes à ne pas fournir ces informations majeures pour comprendre comment fonctionne vraiment notre démocratie de ce fait moribonde? Seraient-ils eux-mêmes salis, tachés, éclaboussés par le Mouton-Rothschild 2004 et le Cheval-Blanc 2001? Ou d’autres vins prestigieux servis à d’autres tables amies?
Jadis, la presse [1] avait en effet signalé que Christian Jacob et Philippe Vigier, patrons des députés LR et UDI, avaient le projet de saisir la Haute Autorité pour la transparence publique après avoir découvert dans un livre de Marion L’Hour et Frédéric Says (Dans l’enfer de Bercy, chez Lattès) « qu’en 2016, le ministre Macron a consommé à lui seul et en seulement huit mois 80 % du budget « frais de représentation » alloué à son ministère. Les deux journalistes expliquent que le leader du mouvement En marche! s’est servi de ces fonds « pour financer des déjeuners et des dîners tenus ‘en bonne compagnie’. Il lui est même arrivé d’organiser deux dîners dans la même soirée! » En bonne compagnie, déjà. Où en sommes-nous de cette affaire « En marche vers le buffet »?
Dans un article de Médiapart paru le 25 janvier 2017 et intitulé « Macron aurait dilapidé à son profit l’argent public! », on pouvait lire ceci: « Macron aurait utilisé 120.000 euros publics de Bercy en 2016 pour financer des dîners de campagne payés par le contribuable. De plus, une partie du temps passé par Macron à Bercy aurait servi à recevoir des écrivains, journalistes, philosophes, sans aucun rapport avec sa fonction de ministre de l’économie. C’est ce qu’expliquent les journalistes Frédéric Says et Marion L’Hour dans un livre à paraître sur Macron. Si ces deux faits sont avérés, il s’agit de deux vols manifestes de l’argent publics, de la part de celui qui promettait, que pas un seul euro du budget de l’État ne serait utilisé pour sa campagne » [2].
Mais quid de ces fameux écrivains, journalistes, philosophes? Pourquoi, une fois de plus, n’a-t-on pas donné les noms? J’ai bien quelques idées, quelques hypothèses, quelques suppositions, mais ce serait si réjouissant de savoir quelle mafia mange de la cervelle de pauvre, boit du sang de gilet-jaune, déglutit des tripes d’ouvriers, avale des yeux de prolétaires, le tout en compagnie galante et parfumée, non loin du fantôme de Jean-Michel Apathie!
Il est possible qu’on ne dispose pas des noms pour la bonne et simple raison qu’ Emmanuel Macron a fait avoir à cette occasion qu’il porterait plainte contre ceux qui relaieraient cette information sur les réseaux sociaux [3]. Eh bien voilà: je la relaie.
Il est vrai qu’avec la nouvelle loi ultra-liberticide qu’il vient de se tailler sur mesure, il pourra bientôt décider de ce qui mérite de figurer sur le net et décréter fake news tout ce qui le gênera! Jusqu’où iront cet homme et sa bande dans la destruction de la démocratie et dans le mépris de la République?
Christian Eckert, qui fut secrétaire d’État chargé du budget de Hollande, a publié un livre dont le titre est « Un ministre ne devrait pas dire ça », dans lequel ce socialiste maastrichtien raconte des choses édifiantes au Figaro: « C’est dans l’appartement de fonction du ministre de l’économie – « trois cents mètres carrés high-tech et rutilants (…) dignes d’une revue d’architecture » – que « matin, midi et soir, le couple a reçu beaucoup de monde pour préparer le décollage d’En Marche! La vue sur Paris y est exceptionnelle », se souvient Christian Eckert « et la salle à manger peut accueillir les journalistes, les acteurs, les écrivains, les “people”, les chefs d’entreprise, les chanteurs, le Tout Paris et bien au-delà, accourus le plus souvent par l’entrée discrète située quai de Bercy. Tous les espaces du septième étage de Bercy, qui regroupent les salles de réunion et de réception du ministère, étaient mis à contribution simultanément. » Le socialiste poursuit: « Une stratégie qui permettait à Brigitte et Emmanuel Macron de prendre l’apéritif dans une réception au ministère, de débuter un premier dîner plus officiel avec d’autres convives au septième étage puis d’en poursuivre un second à l’appartement! Un double dîner, en somme », s’étouffe Christian Eckert. A tel point, remarque-t-il, qu’en 2016 « pendant les huit premiers mois, les crédits de l’année entière ont été consommés en frais de représentation » [4].
Après avoir lu ce livre, je suis entré en contact avec le socialiste en lui demandant des précisions sur ces invités, notamment sur ces fameux « écrivains », puisque lui non plus n’en révèle pas l’identité. Il a botté en touche, a promis de me recontacter et ne l’a évidemment jamais fait… Courageux mais pas téméraire. En Juin 2017, la Cour des comptes a estimé que le Christian Eckert en question avait menti sur le budget en sous-estimant les chiffres des dépenses publiques. On imagine que le matamore socialiste est tenu par la barbichette par les gros appétits de Bercy 2016 ou leurs séides!
Ces orgies faites sur les deniers publics gavent, si je puis dire, le petit peuple. On se demande un jour pourquoi les guillotines apparaissent sur les places publiques pour des festins d’hémoglobine à n’en plus finir! Moi qui n’aime ni les homards mondains de Rugy, ni les potages cyniques de Macron, ni les verres de sang chaud avalés par les Tricoteuses au pied de l’échafaud en 1793, les copines posthumes de Mélenchon, je me dis qu’un jour, il faudra bien que pareils repas se vomissent. Ce jour-là puera l’ordure…
Michel Onfray
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On peut en effet lire dans cet article: « D’après les informations de BFMTV, Emmanuel Macron menacerait de porter plainte pour diffamation contre les élus qui relaient ces accusations, en particulier sur les réseaux sociaux ».
[4] http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/citations/2018/05/17/25002-20180517ARTFIG00133-l-immense-rage-de-christian-eckert-vis-a-vis-d-emmanuel-macron-son-ex-voisin-a-bercy.php___________________
Dîners fastueux, « travaux de confort » et directrice de cabinet limogée… le point sur les affaires concernant François de Rugy
Depuis mercredi, « Mediapart » a dévoilé plusieurs affaires impliquant le ministre de la transition écologique.
Neuf mois après le début du mouvement des « gilets jaunes », et alors que le gouvernement veut resserrer le budget, ce sont des révélations qui passent mal. Depuis mercredi 10 juillet, l’actuel ministre de l’écologie est au cœur de trois affaires révélées par Mediapart, l’une concernant son temps passé à la présidence de l’Assemblée nationale et deux autres concernant son poste ministériel.
Sa directrice de cabinet, Nicole Klein, a également été touchée par les révélations du site d’information, ayant occupé un logement social à Paris pendant plus de douze ans alors qu’elle n’habitait plus à la capitale.
Le point sur les affaires touchant le ministre de l’écologie.
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Les luxueux dîners au frais de l’Assemblée nationale
D’après l’enquête publiée par le site d’information mercredi 10 juillet, François de Rugy a organisé, entre octobre 2017 et juin 2018, au moins une dizaine de dîners lorsqu’il était président de l’Assemblée nationale, sans lien apparent avec ses fonctions.
Sur la table des salons de l’hôtel de Lassay, résidence de la présidence, ont été servis des homards géants, du champagne et des vins de la cave de l’Assemblée – du Château Cheval-Blanc 2001 estimé à 550 euros la bouteille ou du Château d’Yquem 1999, estimé à 265 euros. Les convives, eux, appartenaient au cercle familial et au cercle amical des époux de Rugy. A Mediapart, M. de Rugy avait également indiqué qu’il s’agissait de « dîners informels liés à l’exercice de [ses] fonctions avec des personnalités issues de la société civile » pour « répondre à l’exigence de représentation liée à [sa] fonction ».
La polémique autour de ces dîners luxueux fait des vagues au sein même du parti présidentiel. Sous couvert d’anonymat, un cadre de La République en marche (LRM) déplore « l’effet dévastateur » des révélations de Mediapart dans l’opinion publique.
« C’est scandaleux, cette histoire. C’est précisément ce que nous ont reproché les “gilets jaunes” ! Cela risque d’accréditer l’idée que les ministres sont pleins aux as et se gavent en profitant de l’argent public. Symboliquement, c’est très lourd », juge ce responsable national de la formation macroniste, en ne cachant pas sa colère contre « une vraie connerie ». De son côté, la députée et ancienne ministre de l’écologie Delphine Batho estime que « sa démission s’impose ».
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La coûteuse rénovation de son logement de fonction
Jeudi 11 juillet au matin, le site d’information a également révélé que le ministre avait fait réaliser plus de 63 000 euros de travaux, payés par le contribuable, dans les appartements privés du ministère de l’écologie. Parmi ces travaux figurait l’installation d’un dressing à près de 17 000 euros.
Sur Facebook, le ministre s’est défendu en indiquant que « les services en charge de la gestion des bâtiments du ministère ont fait le constat partagé de la nécessité d’effectuer des travaux de rénovation dans l’appartement de fonction du ministère, qualifié, je cite, de “vétuste” ». Le montant des travaux serait lié « au caractère très particulier des lieux », puisque « l’hôtel de Roquelaure, comme d’autres ministères, est un élément du patrimoine français, construit au début du XVIIIe siècle ».
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Le logement social occupé par sa directrice de cabinet, absente de Paris pendant douze ans
Mercredi 10 juillet, c’était au tour de Nicole Klein d’être touchée à son tour par des révélations de Mediapart.
La haut fonctionnaire, qui dirige le cabinet de François de Rugy depuis octobre 2018, est locataire d’un logement social à Paris depuis 2001, affirme le site d’information. « Entre 2006 et 2018, elle a continué à profiter de ce bien, alors qu’elle travaillait hors de la capitale, privant ainsi d’une possibilité de logement l’un des quelque 200 000 demandeurs de logements sociaux à Paris, qui patientent de très nombreuses années avant d’obtenir un appartement », relève Mediapart.
Mercredi soir, Mme Klein a annoncé à Ouest-France son départ « à la demande du ministre », indiquant que ce n’était pas son souhait. « C’est François de Rugy qui souhaite expressément que je parte », a-t-elle expliqué au quotidien régional.
Dans l’entourage du ministre, on a confirmé que M. de Rugy avait mis fin aux fonctions de sa collaboratrice, tout en saluant « l’engagement et la droiture au service de l’Etat dont elle a fait preuve au cours sa longue carrière de haut fonctionnaire ».
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Le logement social loué par François de Rugy
Jeudi 11 juillet, Mediapart a poursuivi ses révélations en accusant François de Rugy de bénéficier lui-même un logement social. Selon le site d’informations, le ministre d’Etat loue depuis juillet 2016 un appartement dans la commune d’Orvault, en Loire-Atlantique, pour 531 euros par mois, alors que ses revenus seraient bien au-dessus du plafond défini pour ce type de logement. De plus, il ne s’agit pas de sa résidence principale ce qui contrevient aux règles des logements à vocation sociale.
Son bailleur a affirmé que « le dossier rempli par François de Rugy était conforme lors de son entrée dans le logement ». Le ministre de transition écologique s’est défendu de ce qu’il considère comme « une nouvelle attaque de Mediapart ». Il s’agit de l’appartement « où j’accueille mes enfants lorsque j’en ai la garde le week-end : un deux pièces de 48 mètres carré, loué au prix de 622 euros par mois (appartement et parking), un montant conforme aux prix du marché. J’ai loué cet appartement à la suite d’une séparation intervenue en juillet 2016 », écrit-il sur sa page Facebook.
LeMonde.fr
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François de Rugy : ô : ,€ | 13/07/2019
François, appelons le par son prénom vu » ‘ û », c’est maintenant un intime, nous savons ce qu’il mange, comment il décore son intérieur, ses goûts…
▪Donc François était député en 2014, eh oui cela fait un moment que notre « Dandy » vit à notre crochet, eh bien Mr Ken qui est marié à Barbie (leurs surnoms à l’Assemblée Nationale…) n’a pas payé d’impôts sur le revenu en 2015.
« Gardez votre calme, ce n’est pas illégal !! », vous dira Mr Ken et l’homme de Barbie à raison…
▪« Comment un député peut-il ne pas payer un centime d’impôts sur le revenu, comme ce fut le cas pour François de Rugy en 2015 ? » La question est posée par Mediapart.
On y apprend que, cette année-là, il a déclaré « 47 956 euros de revenus (sur l’année 2014) mais n’a pas payé un centime d’impôts ». « Aussi étonnante que puisse paraître l’information », il ne s’agit pas d’une « fraude » mais d’un « régime très favorable dont jouissaient alors les parlementaires », poursuit Mediapart.
▪Mais là, trop c’est trop, après avoir « pleurniché » sur le plateau de Jean-Jacques Bourdin, notre Ken rugit dans la soiré de ce vendredi.
Déjà à cran avec toutes ces soirées organisé par Barbie, il s’est aussitôt défendu sur Twitter…
« Une seule raison : les dons de 1 200€ que je faisais chaque mois au parti EELV en tant que député du groupe EELV, comme TOUS les autres députés du groupe, et comme tous les autres parlementaires qui financent ainsi leur parti et la vie politique. Où s’arrêtera l’acharnement ? »
https://twitter.com/FdeRugy/status/1149743164871327744
Notons que Ken qui, lui prêche, la transparence depuis des années, n’apprécie que moyennement la « questionnette », sans doute un instrument de torture pour lui. Que ce soit pour les dîners de Barbie et ses amis, du dressing ou du sèche-cheveux de Barbie.
▪Mais de là à parler de ses impôts qu’il ne paie pas, parce qu’il bénéficie d’un « régime très favorable pour les parlementaires »…
C’est quand même simple, quand un citoyen paie ses impôts c’est pour financer les écoles, hôpitaux, etc
Et bien Mr De Rugy, lui, à choisi de financer son propre parti (forcement ça l’arrange), pour les écoles et le reste ? Et bien il vous fait confiance et s’en remet à vos impôts…
Et c’est complètement légal dans la Vème république, forcément puisque ce sont eux qui votent leurs lois.
Alors, légal peut-être mais pas vraiment moral…
▪Toujours selon Mediapart, c’est en fournissant cette feuille d’impôt que le ministre a pu bénéficier d’un logement à loyer préférentiel à Orvault (Loire-Atlantique). « Certes, François de Rugy ne payait pas d’impôts sur le revenu quand il est entré dans les lieux. Mais certainement pas parce qu’il avait du mal à joindre les deux bouts », détaillent les journalistes à l’origine de ces nouvelles révélations.
: Combien gagne vraiment un député ?
Un revenu mensuel brut qui s’élève à 7 200 euros… au moins
▪ l’indemnité de base de 5 599,80 € ;
▪ l’indemnité de résidence de 167,99 € ;
▪ l’indemnité de fonction de 1 441,95 €.
Enfin, différents moyens pratiques sont également mis à la disposition d’un député. Il bénéficie notamment d’un accès gratuit à l’ensemble du réseau SNCF en 1ère classe et de la prise en charge de 80 déplacements aériens par an entre Paris et sa circonscription. Il dispose également d’un bureau individuel au sein du Palais Bourbon ou de ses dépendances. Chaque député bénéficie de la prise en charge de ses frais de communication (Internet, téléphone, courriers…)
ℹ+Infos (Sources)
Pourquoi François de Rugy n’a pas payé d’impôts sur le revenu en 2015
https://www.mediapart.fr/…/pourquoi-francois-de-rugy-n-pas-…
Salaire d’un député : combien gagne un député en 2019
https://www.reconversionprofessionnelle.org/salaire-dun-de…/
Découvrez le surnom décalé de François de Rugy
https://www.gala.fr/…/decouvrez-le-surnom-decale-de-francoi…
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communiqué par ParaFox TV