L’Emprise de la Franc-maçonnerie sur la Spiritualité et la Politique Africaine

L’Emprise de la Franc-maçonnerie sur la Spiritualité et la Politique Africaine
14/03/2016

Reprise d’un article ayant paru en mars 2016, la Franc-maçonnerie n’ayant malheureusement pas diminué en Côte d’Ivoire

Lumière et ténèbres. Bien et mal. Religions révélées et Sociétés secrètes. Dans certains esprits, il est presque impossible de tracer une frontière spirituelle entre eux. Entre le pour et le contre. L’acceptable et le réfutable. Tout se mêle, se confond, et fait un. Un atout pour certains cénacles, où entretenir la confusion est un art, une expertise, et une science.

La franc-maçonnique est une belle illustration. Elle se définit comme un condensé ou le creuset de toutes les religions: la religion universelle qui dit dans les enseignements du degré de “Elu of Fifteen” “ouvrir large ses portails, invite à y entrer et vivre dans la paix et l’harmonie, le Protestant, le Catholique, le Juif, le Musulman; chaque homme qui mènera une vie vraiment vertueuse et morale, aimera ses frères, soutiendra malades et affligés et croira à Celui, Tout-puissant, Tout-sage, Dieu partout Présent, l’Architecte, le Créateur et le Sauveur de toutes les choses.[1]” Un vrai mélange du pur et de l’impur.

Franc-maçonnerie, Secte des Mystères

Selon Morals and Dogma de la Franc-maçonnerie, du Maçon Albert Pike, la maçonnerie est “une succession des Mystères[2]” et “est identique avec les anciens Mystères. [3]” Albert Mackey, l’auteur de l’encyclopédie maçonnique de référence et l’un des meilleurs théoriciens de cette secte, indique que les mystères antiques étaient “les rites de culte secrets des dieux païens. Chacun des dieux païens avaient, outre le culte public et ouvert, un culte secret qui lui était attribué, auquel nul n’était admis, mais ceux qui avaient été sélectionnés lors des cérémonies préparatoires appelées Initiation.[4]

Le degré Maçonnique, “Chief of the Tabernacle” soutient que “parmi les nations antiques il y avait, en plus du culte public, un privé appelé les Mystères; auquel n’étaient admis que ceux qui avaient été préparés au cours de certaines cérémonies appelées Initiations.[5]” Rites “pratiqués dans l’obscurité de la nuit et souvent dans les ténèbres des forêts impénétrables et des cavernes souterraines.[6]

La secte satanique maçonnique qui se considère comme une religion, croit en un Etre Suprême. Le “Royal Arch of Solomon ” le décrit comme “le suprême, Auto-existant, Eternel, Tout-sage, Tout-puissant, le Créateur Bienfaisant et Miséricordieux, Infiniment Bon, Compatissant, et le Sauveur de l’Univers.[7]” Le degré du “Knight Rose Croix” va plus loin et précise que cet Etre Suprême était “adoré avec les anciennes cérémonies Païennes et les formules ritualistes.[8]

Ce dieu qui peut être représenté par la Statue de Jupiter Olympien ou celle de Vénus est celui que les Maçons invitent le postulant à la loge–qu’il soit Chrétien ou pas–, à lui déclarer sa croyance et sa subordination. Pourtant, la Christianisme dit, “Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face. Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre” (Exodes 20:3-4). C’est pourquoi le roi Josias sachant qu’il n’y a aucune alliance possible entre la justice et l’iniquité, ni entre les ténèbres et la lumière (2 Cor 6:14), chassa de Jérusalem les divers cultes introduits par le roi Salomon à travers ses femmes, détruisit les vaisseaux qui avaient été faits pour Baal dans le temple, et démolit les “hauts lieux” (2 Rois 23:8-25).

Déshabiller le Christianisme

Cette secte subversive profondément enracinée dans l’occultisme et l’antichrist rappelle au Chrétien lors de son enrôlement que “le premier devoir de chaque Maçon est d’obéir au mandat du Maître–pas le Christ, mais le maître de la Loge.[9]” Puis, menace. “La règle maçonnique de l’obéissance est comme l’impératif nautique: ‘obéir aux ordres, même si vous cassez les propriétaires.[10]’” Et “casser les propriétaires,” revient au reniement par les Chrétiens de Christ. Une abomination. Car Jésus a enseigné que, quiconque Le renierait devant les hommes, Il le renierait aussi devant son Père (Matthieu 10:33). Mieux, Jésus Christ Seul est le propriétaire du Chrétien; et ce dernier lui doit obéissance (Jean 14:15, 1 Jean 2:3-4).

Le déshabillement du Christianisme par la Maçonnerie se situe aussi au niveau du statut qu’elle accorde au Christianisme. Pour ces illuminés, le Christianisme est une secte de moindre importance. Cette thèse antichrist est développée dans l’Encyclopédie Maçonnique qui enseigne que “Si la Maçonnerie était simplement une institution Chrétienne, le Juif et Musulmane, le Brahman et Bouddhiste, ne pouvait pas participer consciencieusement à son illumination; mais son universalité est son orgueil. Dans sa langue, les citoyens de chaque nation peuvent converser; à ses autels hommes de toutes les religions peuvent s’agenouiller; à son credo, des disciples de toutes les croyances peuvent souscrire.[11]” Cette indélicatesse Maçonnique couvre d’un voile ocre la vérité biblique qui établit que le Dieu du Christianisme dont le nom est au-dessus de tous les noms ne peut être assimilé à Braham ou Bouddha ou à tout autre dieu (Daniel 7:13-14; Jean 1:29; Jean 12:32; 1 Jean 2:2; Philippiens 2:9-11). En affirmant que l’“universalité” de la francmaconnerie “est son orgueil,” cette secte brise encore un principe cher au Christianisme qui admet que l’orgueil précède la chute (Proverbes 16:18) et le fruit de l’humilité est la richesse et la gloire (Proverbes 22:4). “C’est pourquoi l’Ecriture dit: Dieu résiste aux orgueilleux, mais il fait grâce aux humbles” (Jacques 4:6).

L’autre source de distorsion des valeurs du Christianisme, c’est que les Maçons ne confessent pas Jésus Christ comme Sauveur, Seigneur, et Dieu. Ils croient en leur dieu nommé le Great Architect of the Universe–G.A.O.T.U– ou Grand Architecte de l’Univers. Le Chrétien lors de son initiation, doit affirmer que le Grand Architecte du monde est notre Grand maître Suprême; et l’autorité infaillible qu’Il nous a donnée, est celle par laquelle nous travaillons.

Un autre point de discorde entre le Christianisme et la philosophie religieuse maçonne indique qu’il n’y a rien en elle “pour offenser un Juifs.” Plusieurs raisons pourraient expliquer ce choix. La franc-maçonnerie a entre autre un fondement sioniste. La réflexion critique de E.M.Storms sur cette absurdité est éloquente. Il écrit, “s’il y a rien dans la Maçonnerie pour offenser les Juifs, alors la Maçonnerie ne confesse pas Jésus Christ comme Seigneur et Dieu et ne demande pas aux initiés de le faire. Et si la Maçonnerie ne confesse pas Jésus Christ, alors la Maçonnerie ne confesse pas le vrai Dieu. Et si la Maçonnerie ne confesse pas le vrai Dieu, alors la Maçonnerie confesse un faux dieu. Et si la Maçonnerie confesse un faux dieu, soyons ferme, la Maçonnerie est réellement, à travers sa propre déclaration, et à la lumière de la Bible–rien d’autre mais le paganisme et l’idolâtrie!” (1 Jean 5:20-21 ; 1 Corinthiens 6:9-10).[12] Bien évidemment, une religion qui n’a pas peur d’offenser le Dieu vrai, mais plutôt un peuple, a un nom.[13] C’est une secte satanique.

L’incompatibilité de la Maçonnerie avec le Christianisme est aussi mis en exergue par Matthieu 5:34-35 qui énonce, “je vous dis de ne jurer aucunement, ni par le ciel, parce que c’est le trône de Dieu; ni par la terre, parce que c’est son marchepied; ni par Jérusalem, parce que c’est la ville du grand roi.” Pourtant, les “Obligations de secret maçonnique” exigent au postulant à la secte de prêter serment qui est administré avant que les secrets soient communiqués, sous la menace d’une pénalité, et est accompagné par des cérémonies superstitieuses.[14]

L’idée fondamentale dans ce fourre-tout philosophico-religieux maçonnique, c’est qu’aucune religion ne détient la vérité. Par conséquent, peu importe ce à quoi on croit, pourvu que l’on soit sincère. De ce fait, les Maçons invitent “ chrétiens, hébreux, musulmans, les disciples de brahmanes, Confucius et de Zoroastre, autour de son autel pour s’unir dans la prière au dieu qui est par-dessus tout Baal,” à qui le culte a été rendu dans les hauts lieux saints partout en Israël (Nombres 22:41; 33:52; Deut.12:2, et suivants) ou dans les temples comme ceux de Samarie (1 Rois 16 :32; 2 Rois 10:21-27) et Jérusalem (2 Rois 11:18), même sur les toits en terrasse des maisons (2 Rois 23:12; Jérémie 32:29).

Église de Prospérité, Excroissance de la Maçonnerie

Le concept hybride de tolérance spirituelle maçonnique a créé l’insécurité spirituelle dans les Eglises en Afrique. Mis sur le marché de la spiritualité, une nouvelle race de pasteurs. Bâti les sermons sur la thèse du “kingdom now” argumentés autour des thèmes tels que la sorcellerie, les fétiches, la coutume, les esprits païens, les sorciers, les démons, les ancêtres et génies protecteurs, la réussite, le mariage, les voyages, et même la famille,…Trames ou sujets qui sont le véritable ressort de l’expansion des Eglises de prospérité en Afrique.

La protection ou la lutte contre ces “forces invisibles et insoumises” constitue un vaste réseau d’enrichissement des pasteurs de l’évangile de prospérité, qui ont fait entrer la “guerre spirituelle” dans sa forme la plus démoniaque et théâtrale dans les églises. Construit un pont entre le Dieu Chrétien, les dieux satanistes, et les Hommes. Puis se sont placés en intermédiaire entre ces D-dieux et les humains. S’appropriant ainsi le rôle dévolu à Christ qui est avocat et intercesseur (Jean 14 et 16; Hébreux 7:18-27; Romains 8:34 ) auprès du Père. Et donné un coup de frein à l’Evangélisation conservatrice. La vraie.

Les faux pasteurs-prophètes-apôtres, amis des Maçons, Maçons, ou adeptes des sociétés secrètes développent la thèse duale d’un monde perçu comme le champ de confrontation entre la puissance divine et les forces du mal. Dans les Ministères de délivrance(?),de combat spirituel(?),[15] et camps de prière (?), ils se présentent comme les seuls capables de posséder les clefs spirituels pour s’interposer entre ces deux entités, s’opposer et s’imposer aux forces du mal en affrontant les génies, les esprits, les fantômes, les elfes, les djinns, et les démons considérés comme responsables des maux physiques, moraux et spirituels de ceux qui, dans la détresse cherchent fortune, guérison et soupape de sécurité.

Ces pasteurs-magiciens ont fait des Eglises de prospérité, le repère des sorciers qui utilisent les pouvoirs sataniques pour donner une guérison et une prospérité factices (Actes 8:9). Ces Simon le Magicien de cette époque se prennent pour des personnages importants (Actes 8:9). Ils exercent la magie et provoquent l’étonnement du peuple (Actes 8:9) à travers les transes et autres supposés miracles. Ils achètent des pouvoirs spirituels, notamment occultes (Actes 8:18-19). Ils utilisent ces pouvoirs pour faire croire à leurs fidèles qu’ils sont en proie aux puissances maléfiques dans tous les aspects de leur vie. Présentant la délivrance comme une libération de la souffrance et du Mal qui passe par des jeûnes intempestifs et l’exorcisme, leurs ouailles, proies faciles, esprits simples et manipulables, prennent d’assaut les estrades ou les podiums, étalent en public leur vie privée, l’intimité de leur couple, et leur secret de famille, en espérant à une quelconque liberté physique, morale et spirituelle.

Les liens supposés être brisés se corsent. Leurs ouailles sont alors plus que affligés de maladies, d’infirmités, de tourments ((Matthieu 12.43-45), de comportements destructeurs et suicidaires, allant jusqu’à la démence ou la folie (Matthieu 9:33; 17:18; Luc 8:30, 32; Luc 4:35, 41). Ces pauvres chercheurs de Christ deviennent en définitive prisonniers de ces faussaires de l’Evangile à la langue mielleuse qui les détroussent financièrement et matériellement.

Léon XIII définit clairement l’intention de ces vendeurs de l’Evangile et abonnés des sociétés secrètes qui est l’établissement de l’antichrist. “La franc-maçonnerie, sous le prétexte de revendiquer les droits de l’homme et de reconstitution de la société, attaque le Christianisme; dénonce les sacrements divins, et tout ce qui est sacré comme la superstition. De son côté, elle prêche le culte de la nature … Que Dieu, dans Sa miséricorde réduise à néant leurs conceptions impies.[16]” Aux Chrétiens in ou out de la franc-maçonnerie, il conseille “que tous les Chrétiens sachent et comprennent que le joug honteux de la franc-maçonnerie doit être secoué une fois pour toutes.” Tout comme les jougs des Eglises ou de l’Evangile de prospérité qui ne sont que les excroissances de la franc-maçonnerie.

Maçons, Renégats Politiques

Sur les étalages des Maçons et vendeurs de l’Evangile, les politiques se ravitaillent. Ces derniers, à la recherche de forces spirituelles et de soutiens humains, acceptent toutes les mains tendues. Saines ou ténébreuses. Quelle que soit leur religion, Dieu ne leur suffit plus. Il leur faut Dieu plus dieux. Pour y arriver,  ils cèdent à toutes les combines qui les maintiennent esclaves des sociétés secrètes et des Eglises de prospérité. En prime, les seigneurs du système universel leur donnent l’impression spirituelle qu’ils sont les tous puissants maîtres des nations aux structures complètement déréglées placées sous leur contrôle.

Stephen Merritt, maître de la plus grande loge maçonnique à New York–après sa démission de la secte–, disait, “je trouvais la tendance de l’ensemble de choses mauvaises, et seulement le mal, sans cesse.[17]” En d’autres termes, les Maçons trouvent l’ordre normal des choses anormal.

L’appartenance des “leaders” Africains aux loges maçonniques trempées dans le mal expliquerait leur inaptitude à concevoir des projets subordonnés aux besoins internes de leur population. Tenus par les tenants de l’ordre mondial, eux-mêmes adeptes ou maîtres des sociétés secrètes, il n’y a plus de pouvoir central national. Les maîtres des loges peuvent alors prendre et contrôler les organes vitaux du pouvoir. Jouer en roue libre. Faire nommer les chefs locaux. Installer des féodalités de toute sorte qui leur permettront de jongler entre les différentes structures et maintenir un statut quo qui leur permet d’exploiter le continent jusqu’à la “moelle.” En contrepartie, le système peut assassiner sans être inquiété.

Dwight L. Moody, le fondateur de Moody Church à Chicago, se référant aux organisations secrètes résume bien ce deal à double sens inégal qui colle parfaitement avec le contexte socio-politique Africain. Il disait, “Vous ne pouvez jamais réformer quoi que ce soit en vous attelant avec des hommes impies.[18]” Dans ce canal, Stephen Merritt écrivait, “je ne dois avoir quoi que ce soit entre Jésus et mon âme.[19]” Moody et Merritt s’inscrivent dans l’instruction Chrétienne qui recommande de “ne point prendre part aux œuvres infructueuses des ténèbres, mais plutôt de les commander” (Ephésiens 5:11). Ceci étant, “Les vrais réformateurs se séparent du monde” satanique maçonnique, comme le recommande Moody.[20]

A propos des Maçons, “s’il trouvait un dans son église, il le nettoierait comme une cage d’oiseaux impurs.[21]” Disait Moody. Sur ce, il “les invitait à sortir des loges.[22]” Puis, poursuivait en les conseillant de “ne pas laisser tomber la norme pour se conformer aux hommes qui aiment leurs loges secrètes ou ont quelques péchés mignons, qu’ils ne renonceront pas.[23]

Ces propos de Moody, appliquer  en Afrique sur le plan politique sonnerait comme un mot d’ordre adressé aux Africains, les invitant à sortir les Maçons des cellules stratégiques de leurs pays. Car ces renégats politiques ont une grande part de responsabilité dans les malheurs du continent. Ils devraient être désinfectés de l’arène politico-socio-économique du continent.

Sortir de là

Rester ou sortir? La déclaration d’une session du synode de l’Eglise presbytérienne réformée à Philadelphie tenu en Juin 1894 concernant les sociétés secrètes a un avis. “Une telle société est contraire à l’esprit et à la lettre de la religion de Jésus-Christ. La prise en main, le mot de passe, la fenêtre sombre, la porte gardée ne sont pas du Christ, et le Chrétien, en particulier le ministre du Christ, n’est pas à sa place dans un tel environnement.[24]

Le vrai Christianisme ou le vrai homme politique Africain doit refuser le compromis avec la franc-maçonnerie ou toute autre société secrète car “Jésus seul est Seigneur” (Romains 10:9). Il est le chemin qui mène à Dieu, la vérité, et la vie (Jean 14:6). Il a déclaré, “Celui qui M’a vu a vu le Père” (Jean 14:9). Il n’a pas seulement dit, “Je suis la Résurrection et la Vie,” mais Il s’est porté garant de la résurrection du Chrétien (Jean 11:25-26). Il est le seul et unique chemin qui mène au salut (Esaïe 12 :2; Psaume 130:7; Actes 4:12; Éphésiens 2:5).

Que conclure en définitive? James M. Gray, ancien président du Moody Bible Institute répond. “Je ne pense pas que, quoi que ce soit que j’ai dit va changer l’esprit de tout membre de la loge, mais j’espère sincèrement être un instrument de Dieu pour sauver quelques jeunes gens, et en particulier les étudiants du ministère Chrétien, de l’enchevêtrement de ce que je considère être une grande illusion; pour plaider avec eux de se séparer de l’ensemble du système, comme je plaiderais avec eux contre toute autre contrefaçon morale ou spirituelle. Je plaide pour eux de se séparer de la franc-maçonnerie. Parce qu’il est déshonorant pour Jésus Christ; parce qu’il est nuisible aux intérêts véritables de l’âme; car elle a le cachet du dragon sur elle.[25]

Feumba Samen

a paru sur le blog resistanCIsrael
http://re.ivoire-blog.com/archive/2016/03/14/l-emprise-de-la-franc-maconnerie-sur-la-spiritualite-et-la-p-466972.html

[1] Albert Pike, Morals and Dogma of the Ancient and Accepted Scottish Rite of Freemasonry. Richmond, Virginia: L.H. Jenkins Incororated, 1921, p.167.

[2] Ibid., p.22.

[3] Ibid., p.23.

[4] Albert. G. Mackey, and Edward L. Hawkins, “Mysteries, Ancient,” An Encyclopedia of Freemasonry. New York and London: The Masonic History Company, 1920, Vol.II, P.497.

[5] Albert Pike, ibid., p.352.

[6] Albert. G. Mackey and Edward L. Hawkins, ibid., p.352.

[7] Albert Pike, ibid., p.208.

[8] Ibid., pp.295-96.

[9] Albert. G. Mackey and Edward L. Hawkins, “Mysteries, Ancient,” An Encyclopedia of Freemasonry. New York and London: The Masonic History Company, 1920, Vol.II, P.525.

[10] Ibid., p.525.

[11] Ibid., p.439.

[12] E.M.Storms, Should a Christian be a Mason? New Jersey: New Puritan Library, 1987, p.86.

[13] La Franc-maçonnerie a des fondements sionistes. En innocentant les Juifs, les Maçons renient leur responsabilité dans la trahison de Christ, sa condamnation, sa livraison aux Romains et sa mise à mort. Renier ces faits revient à dire que les Maçons ne reconnaissent pas Christ. D’ailleurs il est strictement interdit de prononcer Son nom au cours de leur rituel.

[14] Albert G. Mackey, and Edward L. Hawkins, “Mysteries, Ancient,” An Encyclopedia of Freemasonry. New York and London: The Masonic History Company, 1920, Vol.II, P.522.

[15] La Bible enseigne sur le Ministère de la réconciliation. Tous les autres “Ministères” qui pullulent avec des noms hollywoodiens tels “Combat Spirituel,” “Ministère de Délivrance des Forces Sataniques,” “Ministère du Voyage et de restitution du mariage,” “Ministère Jésus Sauve,” “Ministère Jésus Revient,” “Ministère Traque des Démons,” …sont le fonds de commerce des pillards de l’Evangile.

[16] Encyclicql Letter, “Praeclara Gratulationis Publicae,” June 20, 1894.

[17] John R. Rice, Lodges Examined by the Bible, Murfreesboro, Tennessee: Sword of the Lord Pubishers, 1943, p.55.

[18] John R. Rice, Lodges Examined by the Bible, Murfreesboro, Tennessee: Sword of the Lord Pubishers, 1943, pp.75-6.

[19] Ibid., pp.79-80.

[20] Ibid., pp.75-6.

[21]Ibid., pp.75-6.

[22] Ibid., pp.75-6.

[23] Ibid., pp.75-6.

[24] Albert C. Stevens, The Cyclopedia of Fraternities, New York: E.B. Treat Company, Second Edition, 1907, p.12.

[25] John R. Rice, Lodges Examined by the Bible, Murfreesboro, Tennessee: Sword of the Lord Publishers, 1943, p.78.