le Pont de l’assainissement… les faux médicaments…

LES VAUTOURS
Depuis qu’il est arrivé au pouvoir en marchant sur les corps et dans le sang de milliers d’ivoiriens, ouatra ne pose aucun acte de réconciliation ! Bien au contraire: Fort du soutien des dirigeants français, il s’adonne à des expropriations tous azimuts. Les terres sont prises aux autochtones et redistribuées à des étrangers notamment burkinabé; des logements sont arrachés à leurs propriétaires par ses amis et partisans…
Aujourd’hui, il s’acharne sur Adjamé-Village. Il veut le détruire pour, dit-il, construire un pont. Ce n’est qu’un mensonge!
La réalité est que depuis les années 80, il y a le projet de construction de la voie triomphale qui partira de la gare ferroviaire d’Adjamé à la place de la république. Ce projet n’a pas pu se réaliser à cause de la conjoncture économique difficile qu’a traversée la Côte d’Ivoire. Or cette voie triomphale, sorte de Champs-Elysées, passe devant ce village ébrié. Et les bâtiments et magasins qui y seront construits coûteront cher à la location. Personne n’ignore que son épouse est dans l’immobilier. Elle et ses complices veulent faire main basse sur tous terrains à bâtir du pays. Puisque tous les autres sites sur cette voie sont les propriétés de particuliers, alors ces vautours se rabattent sur Adjamé-Village!

Mais comment faire pour faire passer cette opération de déguerpissement? C’est d’inventer la construction d’un pont! Pour aller où? Lui seul peut nous le dire. Je suis convaincu que c’est pour céder ce terrain à son épouse qu’il fait tout cela. Il sait que pour cela il peut compter sur la complicité de Beugré Mambé, ébrié, nommé gouverneur par ses soins, une hyène qui ne pense qu’à sa panse.
Ce dernier est en train de vendre tous les terrains de ses frères aux puissances financières au nom d’une soit-disant extension de la ville d’Abidjan. Certains charognards issus de la communauté libanaise font le jeu du couple ouatra, mettant en danger le reste de leur communauté.
Allons-nous continuer à regarder sans rien dire ni rien faire cette énième expropriation? Non! Ne croyons pas que c’est l’affaire des atchans seuls. C’est aussi notre affaire. Soutenons-les! Ne tournons pas notre regard ailleurs. Demain, ce sont nos villages qui subiront le même sort! Déjà que des bruit de bottes se font entendre au nord et que cela n’émeut pas ouatra qui est parti en voyage d’agrément en Algérie, la terre natale de sa femme. Tout comme il s’est payé du bon temps en France chez ses maîtres pendant que Bouna était à feu et à sang.
Chers compatriotes,nous leurrons pas, cet homme nous hait. Si nous continuons à fermer les yeux en croyant que ce sont des anges combattants qui viendront nous délivrer, nous seront les prochains boat-people et les palestiniens d’Afrique.Ou tout au plus parqués dans des réserves.
L’histoire nous jugera!
Dramane Traore

quelques commentaires:
Ce commerce prospère à cause de la cherté des médicaments dans nos pharmacies. Par exemple un médicament que tu vas acheter à 10 000F à la pharmacie tu trouvera le même médicament trait sur trait à 1 000F à Roxy. On dit on fait cmu, gratuité ciblée, redistribution de la croissance, c’est n’importe quoi. Attaquez les problèmes au fond !

Après pensez à revoir les prix des médicaments à la pharmacie parce que vous affamez vos populations. C’est un problème: avoir accès à des soins de qualité dans les chu, un problème les médicaments qui doivent etre gratuits dans les chu, on nous fait payer le cours trop elevé des médicaments en pharmacie. c’est la raison pour la quelle certaines personnes préfèrent se ravitailler dans ces lieus qui souvent arrivent à régler les problèmes de santé.

Ne vous en prenez pas à cette pauvre population, le gros problème du pays n’est pas sur les médicaments. Ne fuyez pas, le vrai problème est sous vos yeux. Laissez ces femmes car c’est avec ça qu’elles arrivent à s’occuper de leurs enfants. Les menteurs là: depuis quand les gens se sont plaints des médicaments de Roxi? au contraire ça aide les gens car c’est moins cher, en plus c’est avec ça qu’ils scolarisent leurs enfants, payent les loyers. que feront ces femmes maintenant ?

La vraie solution n’est pas de s’acharner sur ces pauvres dames et le petit marché de 2 mètre carré. Mais allez-y plus tôt à la racine. D’où viennent ces médicaments jusqu’aux femmes? Ils le savent tous. Detruisez la racine mais pas les branches de l’arbre. Cherchez d’où viennent ces médicaments, les entreprises quii mettent en place ces médicaments dans le pays, ou bien contrôlez les conteneurs dans les ports. C’est ça la solution idéale. Gouvernement de cons.