L’armée d’élite de l’élite de l’Etat se fait remarquer…
DU RIFIFI À LA SÉCURITÉ IVOIRIENNE
La nuit dernière, vers 23h, un commando a attaqué et vidé, dit-on, le 2è arrondissement de Police de Yamoussoukro.
Et ce 21 septembre 2019 matin (photo), des éléments des Forces spéciales, par des tirs, ont gravement perturbé, au Lycée classique d’Abidjan, le concours d’entrée à la Police nationales.
Ils entendaient certainement laver l’affront subi, quarante-huit heures plus tôt, à la Préfecture de police d’Abidjan. Venus encagoulés et armés pour « vérifier l’identité » d’un des leurs interpellé au cours d’une rafle, ils ont été humiliés: malgré leur arsenal de combat, ils ont été désarmés, maîtrisés et dépeints comme une « farce spéciale ».
Le calme est revenu après l’intervention de la hiérarchie qui semble avoir du pain de l’indiscipline sur la planche. Car, après l’incident du jeudi 19 septembre, les généraux des deux corps ont produit un communiqué commun pour en appeler au calme.
Ils ont prêché dans le désert avec la tension de ce samedi matin pour en découdre, par les armes.
Bally Ferro
AU SECOURS KESSI
Des soldats encagoulés, issus des Forces spéciales, ont pris d’assaut, le 19 septembre 2019, la Préfecture de Police d’Abidjan pour, dit-on, « vérifier », à l’arme lourde, « l’identité » d’un des leurs (!?) interpellé au cours d’une rafle.
Au milieu de tous les communiqués pour noyer le poisson, un silence assourdissant: celui du procureur militaire, Ange-Bernard Kessi Kouamé.
Le traqueur des indélicats soldats et le combattant de la lutte contre l’impunité militaire n’est pas encore sorti de sa réserve pour mettre le holà à la pagaille. Or, il doit ou devrait nettoyer les écuries d’Augias.
De mieux en mieux !
Avec le CP officiel c’est encore mieux !
Non seulement, les forces spéciales, font des descentes musclées en bande, dans les Gendarmeries, pour « récupérer » un de leurs collègues ;
Mais on apprend, que c’est pour le libérer, après SON ARRESTATION, alors qu’il circulait en civil, AU COURS D’UNE RAFLE GÉNÉRALE !!!!!!😱
1 civil raflé par la gendarmerie, ses copains militaires se précipitent pour le délivrer ….tellement ils sont CONFIANTS !?
AU MOINS C’EST CLAIR ET OFFICIEL : IL YA DES OPÉRATIONS RAFLES GÉNÉRALES ORGANISÉES POUR ….? Mesdames et Messieurs des ONG, AMNESTY..
Salomé Meiers Naem
#MENSONGE !!!
👉 « Un détachement des forces spéciales a été dépêché à la préfecture pour certifier l’identitié d’un des leurs qui a été raflé ». Avant l’envoi de ce détachement des forces spéciales, pourquoi la préfecture de police d’Abidjan n’a pas été informée afin d’éviter ce « malentendu » ? Où bien voulez-vous nous convaincre qu’il n’y a pas de collaboration inter-armée en Côte d’ivoire ?
Nous vous concédons le bénéfice du doute. Votre communiqué dit vrai.
👉 Avait-on nécessairement besoin d’envoyer un détachement de plusieurs soldats de forces spéciales lourdement armés pour certifier l’identité d’un des leurs raflé par la police ?
Dans un pays normal, le ministre de la défense aurait rendu le tablier pour incapacité à mettre en place une armée républicaine.
Armando Le Grand #CIV225_AIRD / #CONSORTIUM
2 ÉLÈVES POLICIERS BATTUS À SANG PAR 5 MILITAIRES A COCODY BLOCKHAUSS..
REPRÉSAILLES DE L’HUMILIATION DES FORCES SPÉCIALES ?
Deux élèves sous-officiers en stage à l’Unité de régulation de la circulation (URC) ont été sévèrement battus, le vendredi 20 septembre 2019, par cinq militaires à l’arrêt de bus de Blockauss. Élèves policiers battus par des militaires en guise de représailles ?
Les élèves sous-officiers étaient désignés pour faire leur service devant le Sofitel Hôtel Ivoire d’Abidjan-Cocody. Ils avaient même fini et cherchaient à rentrer à la maison. Ils se sont donc rendus à l’arrêt de Blockauss, en vue d’ emprunter un bus.
C’est là qu’ils sont retrouvés par cinq militaires. Comme s’ils cherchaient des policiers, ces derniers se sont jetés sur ces deux élèves sous-officiers pour les battre, mortellement avant de prendre la fuite. Selon des sources dignes de foi, les deux élèves sous-officiers seraient internés a l’hôpital de la police nationale (HPN), au Plateau. Cette bastonnade ressemble à une représailles contre les policiers, suite à l’altercation survenue le jeudi 19 septembre, à la préfecture de police, entre policiers et éléments des forces spéciales de Côte d’Ivoire. Si tel est le cas, faut-il craindre des jours pires, car on pourrait aller d’escalade de violence en violence entre frères d’armes ? Et ce serait déplorable pour l’armée ivoirienne.
(Image d’id’illustration)
Jules Acka pour Afriksoir
#Consortium
LA CÔTE D’IVOIRE EST DEVENUE DU N’IMPORTE QUOI, GRAMBROS SPÉCIAUX ACTE 2
Non contents que certains des leurs (bien qu’ils étaient puissamment armés) aient été humiliés le jeudi dernier à la préfecture de police, ces Gnambros spéciaux ont à nouveau récidivé en faisant irruption au Lycée classique d’Abidjan, qui servait de lieu de centre d’examen pour le concours d’entrée à la police, pour perturber le déroulement des épreuves. Une unité d’élite de l’armée de Ouattara, dont les éléments se comportent comme une véritable FARCE SPÉCIALE en lieu et place de véritables « forces spéciales » d’une armée nationale au comportement républicain.
De tels comportements s’apparentent dans les temps anciens à ceux de groupes de jeunes délinquants et vagabonds des quartiers populaires de la ville d’Abidjan où l’on apprenait que les mapléciens (de Treichville) sont allés attaqués les faremois (Marcory) et les faremois viennent prendre leur revanche ou encore quartier Colombie d’Abobo qui attaque quartier Kennedy de la même commune et vice-versa.
Vraiment ma Côte d’Ivoire est devenue du N’IMPORTE QUOI depuis l’installation au pouvoir d’état de Dramane Ouattara par Sarkozy.
N’importe quoi !