La Haye, reprise en ce 12 novembre 2018

#IccCpi (1) A PEINE LE PROCÈS COMMENCE QUE Me ALTIT ALLUME BENSOUDA…

Me ALTIT : Le procureur utilise le mot  » Plan commun » sans savoir ce que cela veut dire. Il utilise ce mot et le fait expliquer par un autre. S’il y a eu un plan commun , il y a eu un avant plan commun et un après plan commun. Or le procureur général ne peut même pas dire s’il y a avant ou après plan commun. Le procureur a du ramener le plan commun dans le passé pour tenter de l’expliquer. Mais il n’y est pas arrivé. Comment faire coïncider les propos du procureur avec la réalité que nous ont dit ces propres témoins. Alors le PROCUREUR a inventé ses propres réalités bien différentes que ce qu’ont donné ses témoins. Personne parmi ces témoins n’a confirmé ce plan commun. IL YA UN TROU DANS LA DEMONSTRATION DU PROCUREUR. « 

MAÎTRE ALTIT FOUDROIE LE PROCUREUR.

« Ni dans son document de 1000 pages , ni dans son exposé , le procureur n’a révélé la réalité des choses. Il a ignoré carrément les attaques des rebelles en 2002 , 2004,2010,2011 et ce fut les même conséquences. Les institutions ont été détruites. Tout est là Mr le président. En 2010 et 2011 , la police était sous la défensive contre les rebelles. C’était les rebelles qui attaquaient et les forces armées de cote d’Ivoire se défendaient. C’est pas le contraire. Et c’est ce que le procureur tente de cacher. Alors cacherait il que c’était une ATTAQUE PLANIFIÉE POUR PERMETTRE. ALASSANE OUATTARA DE SE POSITIONNER PAR LA FORCE ? Parmis les manifestants de 2010 se trouvaient des forces armées. Les images d’un prétendu mitraillage par les véhicules de l’armée sont elle datées de 2011 ? Ces images qui son censées être dans la continuité semblent être montées? Pourquoi quand les engins passaient il n’y avait pas de corps sur la route et c’est après que les corps apparaissent ? Pourquoi alors que le procureur allégué qu’il y ait 6 tirs de mortier , son seul témoin pas absolument crédible P239 est incapable de donner des détails simples par rapport la date ? Et pourquoi ce temoi parle t’il de 2 tirs ? Soit il dit la vérité soit il ment ? Et la démonstration du procureur ne dit rien ? Le procureur ne peut dire une chose et son contraire ? Et ce n’est pas l’expert qui fut incapable de donner une conclusion claire ? Le procureur n’est il pas capable de donner un seul élément qui permet de donner les auteurs des choses alléguées? Ne connaissant pas les auteurs comment peut ton parler de plan commun ? Répondre A CES SEULES QUESTIONS N’EST PAS POSSIBLE POUR LE PROCUREUR CAR Y RÉPONDRE DETRUIRA SON SEUL NARRATIF. « 

Léo Ahile

Me BARAON , COMME UNE VRAIE FEMME, PARLE TRES MAL AU PROCUREUR ET DIT QUE LE PEUPLE IVOIRIEN EST UN VAILLANT PEUPLE…

Me Agathe BARAON :  » Nous nous demandons si le procureur qui dit se préoccuper des ivoiriens le pense vraiment. Dans son document rien de tout ça ne transparait que les ivoiriens ne l’interessent. Nous pensons qu’il fait tout pour justifier ouattara au pouvoir. nous ne pouvons pas parler de 2010 et 2011 sans parler de 2002. En cote d’Ivoire nous pensons que 2011 est la suite de 2002 . Et en cote d’Ivoire on dit que c’est le Coup d’État le plus long du monde. Pour la cote d’Ivoire , il faut écouter et comprendre les ivoiriens. Tout ce que les témoins ont dit est bien différent de ce que vous présente le procureur.

Le procureur s’est pris MALADROITEMENT . Il vous a présenté d’extrait tronqués de document et d’interpretations sur ce qu’ont pu faire les rebelles de la crise. Mais on ne peut pas longtemps RUSER AVEC LA REALITE PARCE QUE LA REALITE EST LA VERITE DES FAITS et elle est toujours là pour révéler le faux. Le procès n’est pas la déduction des affaires personnelles. Nous pensons que le procureur modifiera son narratif .

L’accusation n’a rien entendu et continue de servir des récits qui ne correspondent en rien à la réalité . Le procureur tente de réécrire l’histoire de la cote d’Ivoire. A quoi avons nous droit à ce début de procès ?comme si les témoins de l’accusation n’étaient jamais venus ? C’est quand même la priorité d’un procureur dune cour pénale dite internationale ?

Le PROCUREUR A PRÉFÉRÉ CONSTRUIRE SUR DU SABLE MOUVANT. Honorables juges , les témoins du procureur ont donné les informations sur l’histoire de la cote d’Ivoire que le procureur voulait cacher. Les témoins ont éclairé les rayons ténébreux qui voulaient éteindre la lumière de votre juridiction.
Le PROCUREUR N’AVAIT QU’A RECONNAITRE QU’IL A ÉCHOUÉ . Le procureur ne peut rester dans cette obscurité sans en être inquiété. Présenter des faits dans un contexte différent nous a éloigné inéluctablement des faits qui se sont passés. Les témoins du procureur ont parlé. Les ivoiriens dont des gens simples , joyeux et ouverts. LE PEUPLE DE COTE D’IVOIRE EST UN BRAVE PEUPLE QUI NE MERITE PAS DE TANT DE MEPRIS. Pourquoi cette obsession à presenter la cote d’Ivoire divisée ? Pourquoi cette approche ? Pourquoi créer des frontières artificielles entre les gens ? L’humour du peuple ivoirien ne peut entrer dans le moule des foyers tribales. Les tentatives pour le faire ont été vaines jusqu’à maintenant. Au fur et à mesure des témoignages , la thèse du procureur s’est effritée. Une thèse sans substance ne représente plus rien. Apres 7 années de prestidigitation, nous pouvons dire qu’aujourd’hui on découvre les ficelles. La réalité en CIV est bien plus complexe que ce nous sert l’accusation. En CIV les crises ne sont pas l’effet des communautés , elles ne sont rien d’autres que l’ambition de ceux qui ont recours aux armes

Léo Ahile

Un extrait de l’intervention de Me Baraon :

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« (…) On ne peut pas longtemps ruser avec la réalité, parce que les réalités, c’est la vérité des faits. Elle est toujours là pour révéler la manœuvre quoi qu’on fasse. Honorables juges le procès pénal ne se nourrit ni de mythe, ni de légende, ni d’épopée. Mais des faits tangibles, décrits dans leur contexte précis. Le procès n’est pas la cité des analyses théoriques ou des déductions personnelles. Nous espérons que l’accusation auraient corrigé son narratif apres le passage de ses nombreux témoins. Des témoins qui ont fourni la matière nécessaire pour que nous comprenons ce qui a été cette crise, tenu hélas par son exception à réécrire l’histoire de la cote d’Ivoire, l’accusation n’a rien entendu et continue de servir des récits qui ne correspondent en rien à la réalité . Or c’est la réalité qui doit constituer le socle, sans la réalité on ne peut pas analyser les faits, et pour notre affaire le socle est bien évidemment la réalité ivoirienne avant, apres et pendant les faits incrimés. Et ce socle, il est fait de la vie d’un Etat, de l’histoire des populations, du fonctionnement de ces institutions, en un mot ce socle c’est le contexte socio culturel et politique de la cote d’Ivoire. C’est ce contexte qui devrait constituer la clé de lecture proposée par l’accusation. Or à quoi avons-nous droit depuis le début du procès ? A l’expression d’une méconnaissance profonde de ce qui était la vie sociale et politique de la cote d’Ivoire, comme si les témoins de l’accusation n’étaient jamais venus. C’est pourtant la responsabilité d’un procureur près d’une cour pénale, de surcroît internationale de s’intéresser au contexte dans lequel s’inscrit ses enquêtes, de comprendre comment interpréter les éléments de preuve qu’il récolte ? Et de restituer les dits de ces témoins sans les dénaturer ? Mais ici, le procureur a préfère construire sur du sable mouvant. On ne peut pas rester silencieux devant un tel entêtement, surtout apres que ses témoins nous ait donné à comprendre la crise autrement que, ce que présente le procureur. Honorables juges, les témoins du procureur ont renseigné sur plusieurs choses que l’écran de fumée de l’accusation ne peut voler. Les informations données par les témoins éclairent l’histoire de cote d’Ivoire, cette histoire que le procureur voulait cacher. Les témoignages des témoins constituent sans aucun doute le rayon lumineux qui vient éclairer les ténèbres dans lesquelles on voulait plonger votre juridiction (…) »

La président Laurent GBAGBO ne régnait pas sur le Sud comme le prétend le procureur il dirigeait la côte d’Ivoire..

Maître Baroan

ZONECENTRE / #2CM

#Civ🇨🇮😎/ #ProcèsDeLaHonte: #Guikahué cité dans une affaire d’établissement de faux actes de décès.

« Des certificats de décès ont été établis par des médecins et récupérés à la mairie d’Abobo par les témoins du procureur et ces certificats ont été récupérés à la mairie d’Abobo sur instruction de Maurice Kacou Guikahué, l’un des responsables du Golf Hôtel. Et c’est Yacouba Tioté, le président de la VJA qui l’a dit ici. Ces documents ne sont donc pas fiables. En plus tous les membres de la mairie d’Abobo, à commencer par le maire Adama Toungara, étaient au Golf Hôtel», a révélé Me Jennifer Nahoury.

Lavane Murphy

Me Jennifer Nahori dit que Le procureur a présenté par exemple un certificat de décès de Mahimouna Koné que lui a remis le chargé de communication de l’Apafema qui a dit ici qu’il a pris à la mairie d’Abobo alors que le certificat est signé du CHU de Cocody…comment donc un document du CHU de Cocody peut t’il se retrouver à la mairie d’Abobo et le procureur ne vérifie pas et nous le présente…

Elle est en train de sortir tous les CIV-OTP

Me Jennifer:<< en Mars 2011,on nous parle de la mort d’un certain Mouyamou Kone qui est décédé à cocody et ses documents se retrouvent à Abobo comment cela peut se faire ? Pourquoi le procureur n’a pas pris la peine d’aller au palais pour prendre des documents et il est allé dans une salle d’assemblée.? Et le procureur a dit que la residence du president laurent gbagbo n’a pas été pillée, ça c’est faux. Le jour de l’arrestation du president laurent gbagbo, la mairie d’abobo était fermée; donc comment est ce que le procureur a pu avoir ces documents ? Donc ces documents sont des faux ou bien ce sont les temoins du procureur qui ont menti? Ou bien ce sont des documents qui ont été fabriqués?
Voilà pourquoi le General Kassaraté n’a pas reconnu deux documents qui ont porté sa signature.

Procès CPI / Me Naouri

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Maitre Jennifer Nahouri
«Le Témoin nous dit c’est elle qui à mené les examens externes (…) Cela signifie concrètement qu’elle aurait effectué 6 examens externes par heure sans interruption dans une période de 24H. mais soyons sérieux ! une journée de travail ce n’est pas 24H – Imaginons 12H de travail. Cela signifierait que le Prof Yapo Ette a examiné un corps toutes les 5 minutes sans interruption. C’est des MATHEMATIQUES ! Sans interruptions aucune sans aller aux toilettes ! sans manger ! sans boire ! en comptant le temps pour aller d’un corps à l’autre et prendre des notes qui seront la base des rapports d’examens externes.
Pour comprendre l’incohérence l’impossibilité de ce que nous dit le témoin il faut comprendre ce qu’est un examen externe. Ce n’est pas se contenter d’arriver auprès d’un corps le regarder vite fait, constater qu’il s’agit d’un cadavre et repartir pour le prochain. NON! Le témoin elle-même nous l’a expliqué »

Prof Yapo Ette :
« Un examen externe est un examen complexe, il comprend les étapes suivantes :
1- Ouverture de la housse mortuaire et Inspection
2- Constat d’identité selon bracelet et étiquette
3- Comparaison entre les inspections effectuées et les informations communiquées par la morgue
4- L’ inventaire du corps
5- Un examen de revetment cutané
6- L’examen externe proprement dit
7- Les prelevements
Et en parallèle de l’examen le médecin légiste vérifie les notes qu’il dicte prise par son assistant »

Le plaidoyer de Me Baroan est touchant. Elle montre contrairement à ce qu’a dit le procureur qui veut dresser les uns contre les autres. Elle dit que la Côte d’iVoire 🇨🇮 est un pays soudé avec un peuple heureux et particulier…il n’y a pas de blocs antagonistes…elle parle des Gbaka, des cours communes, des boutiques de Mauritaniens…elle précise que ce sont ceux qui ont eu accès aux armes avec de mauvais projets…elle parle des pillages, des viols et des actes des rebelles et la détresse des populations autant du Nord (comme elle-même) que d’autres régions du pays…

Elle dit qu’aujourd’hui c’est le jour du propriétaire, 2002 n’était pas une guerre ethnique mais une attaque de rebelles…

Les témoins dont les généraux et les autres officiers ont parlé de l’armée de C-I et non des forces de Mr Laurent Gbagbo contrairement à ce qu’a tenté de faire croire le procureur…«Le Pdt Laurent Gbagbo a toujours travaillé dans la légalité et a lutté pour le multipartisme…»

Sous Laurent Gbagbo on était encore en République ! «Laurent Gbagbo n’était pas un chef de guerre…il n’était pas le chef des FRCI» ajoute t-elle.
(Récit de Fils Gor)

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Macdonald doit avoir honte actuellement
Me Nahouri est entrain de démonter toutes les preuves qu’il a fourni depuis le début de ce procès
Papiers fictifs
Signature jour ou la mairie d’Abobo n’était pas de service
Certaines vidéo qu’il a refusé de présenter et qu’il a en sa possession qui déconstruisent sa ligne d’attaque
Refus de rencontrer certains témoins à Abidjan pendant son séjour

Patrick Trioni

 » 7 femmes tuées à Abobo/ COUP DE TONNERRE À LA CPI

LES FDS N’ONT JAMAIS TIRÉ SUR DES FEMMES LE 3 MARS.

Les IMAGES du CONVOI des FDS qui traversait la route lors de la supposée marche des femmes d’Abobo le 3 Mars 2011 ne sont pas authentiques.

En fait, les expertises des Avocats de Gbagbo ont démontré que ce convoi a été en réalité filmé le 7 JANVIER 2011 et non le 3 mars 2011.

Or dans toutes les vidéos sur cette affaire de 7 femmes présumées tuées à Abobo montraient ce fameux convoi et après ensuite un attroupement bizarre avec ces femmes.

Les révélations ce jour de Me Altit sur la vraie date du passage de ce convoi vient corroborer tous les témoignages des témoins militaires de l’accusation qui ont été clairs: Il n’y a jamais eu de marche des femmes ce jour.

Et qu’à la vérité, cette histoire , a été l’un des pires montages criminels du RHDP pour faire bombarder les camps militaires des FDS.

Si ce convoi est passé là le 7 JANVIER 2011, comment a-t-il tiré sur des femmes le 3 MARS 2011 ?

Mes amis du RDR, voilà encore une preuve que les gens vous ont manipulés…

De : Valery Kple Baha

Publiée par Nico Ovajb Classique sur Lundi 12 novembre 2018