Homosexualité, au-delà de la morale et de la religion
article très intelligent et lucide…
Cela peut arriver. Les occupations peuvent être si intenses qu’on passe parfois à côté de sujet d’intérêt comme ce débat relatif à l’homosexualité, qui a court en ce moment, sur les réseaux sociaux, en Eburnie. Et puisque, bientôt, nos esprits vont être perquisitionnés pour savoir ce que chacun pense de cette pratique, autant, par anticipation, donner ma position à moi.
Je n’ai rien contre les homosexuels. Mais en eux, que ce soient des femmes ou des hommes, je ne respecte que la dignité humaine qui est en chacun de nous et qui nous distingue des animaux en tant que tels. Et, par respect pour cette dignité humaine, je ne poserai aucun acte attentatoire à l’intégrité physique, psychologique ou à la liberté, tout court, d’un homosexuel.
Je n’ai rien contre le choix de vie des homosexuels, mais je ne soutiens aucune activité sexuelle qui ne permet pas, au-delà du simple plaisir, de perpétuer la grandeur, voire la survie de l’espèce humaine. Les homosexuels ne se reproduisent pas, mais ils deviennent de plus en plus nombreux, sous nos yeux. Il s’agit donc d’un phénomène, non pas naturel, mais de société. Et nous devons faire preuve de tolérance pour comprendre ce que nos sociétés, dans leur évolution, engendre comme bien ou mal, présumé.
Pour moi, au-delà de tout, l’absence de reproduction chez les homosexuels, est constitutive d’une menace contre la survie de l’espèce humaine et, à cause de cela seul, je ne soutiendrai pas et je ne chercherai pas à comprendre leurs motivations. On aménage des législations pour leur permettre de se marier? C’est une bonne chose, si l’on part du principe que chacun est libre de disposer de son corps, comme il l’entend. C’est d’ailleurs pour cela que le suicide n’est pas une infraction. Mais celui qui assiste quelqu’un qui se pend commet une infraction appelée « non assistance à personne en danger », et il peut être emprisonné pour cela.
Pour moi, chaque mariage homosexuel qu’on célèbre, au-delà de la liberté qu’on entend magnifier dans cet acte, est une atteinte contre la survie de l’espèce humaine. Nous faisons fausse route si nous abordons la question sur le plan de la morale ou de la religion, parce qu’il n’y a rien qui prouve que ceux qui ne croient pas en Dieu sont moins nombreux que ceux qui croient en lui.
Alors, mesdames et messieurs les homosexuels, longue vie à vous. Mais chaque être humain qui vient sur cette terre à partir d’un rapport hétérosexuel, a une obligation à laquelle il ne peut se soustraire, vis à vis de l’ensemble des êtres humains. Perpétuer l’existence de l’espèce humaine. Trouvez le moyen de faire des enfants…et on oubliera tout.
Sinon, à regarder de près la question de la légalisation de vos unions devant le maire, on y décèle, non pas une profonde acceptation, mais un acte purement électoraliste, de la part de politiciens qui n’ont plus le choix. Car, vous ne vous reproduisez pas mais, partout, vous devenez de plus en plus nombreux. Et vous votez comme un seul homme, pour tout candidat qui ose vous défendre…ce qui, j’en conviens, fait votre force. Mais dans des sociétés comme les nôtres où la technologie électorale peut faire participer activement les morts au processus électoral, il faudra juste patienter un peu, peut-être encore quelques décennies.
Tiémoko Antoine Assalé
petit supplément qui peut expliquer ce phénomène de société, un des fruits de mai 68 en France…