Hommage rendu aux deux soldats morts au Burkina Faso
Libération d’otages au Burkina/Mystère autour de l’otage américaine
Le président américain a salué l’action de l’armée française, qui a libéré quatre otages dont une Américaine, la semaine dernière lors d’une opération au Burkina Faso.
Donald Trump a estimé lundi que les Français avaient fait un « super boulot » en libérant des otages, dont une Américaine, dans le nord du Burkina Faso, au prix de la mort de deux militaires français.
Mystères autour de l’otage américaine
Les forces spéciales françaises ont libéré dans la nuit de jeudi à vendredi quatre otages: deux Français, une Sud-Coréenne et une Américaine. La présence de ces deux femmes au Burkina Faso n’était pas connue. Une grande discrétion entoure l’ex-otage américaine, dont le rapatriement a été organisé indépendamment des trois autres personnes libérées.
Interrogé, le département d’Etat américain s’est refusé à tout commentaire sur l’identité de cette femme, les circonstances et la date de son enlèvement.
Source : Europe1.fr
version in-officielle, secret-défense, sauver une américaine mystérieuse en difficulté…
Rubrique : misérable
À la guerre, la mission des soldats est d’aller combattre. Et leur destin est souvent d’y mourir. « C’est la loi, c’est la règle. C’est le niveau des vies héroïques » (Péguy).
Alors, aux camarades tués, on rend les HONNEURS MILITAIRES, avant malgré le chagrin de retourner au combat.
C’est un point essentiel, ou rituels et symboles sont inséparables de l’acceptation du sacrifice.
Les cérémonies aux Invalides sont donc des cérémonies militaires, dans un espace militaire. Où l’armée rend les honneurs militaires au nom de la Nation.
Même de ça, ivre de son narcissisme pathologique, Macron ne tient aucun compte. Moi, moi, moi, ad infinitum.
Écoutons Jean-Dominique Merchet : « Comme le veut l’usage, le chef de l’État a passé en revue les troupes qui rendaient les honneurs. Mais, à la demande de l’Elysée, il l’a fait à sa manière, c’est-à-dire seul. Or, le protocole militaire veut que, dans ce cas, le commandant des troupes présentes sur place ouvre la marche et que le chef de l’Etat (ou la plus haute autorité présente) le suive quelques pas derrière. De même, le chef de l’Etat doit être suivi par le chef d’état-major des armées, et possiblement, par d’autres officiers généraux, par exemple le chef d’état-major de la marine, dans le cas d’une cérémonie à dominante marine, comme celle d’aujourd’hui. »
Cet homme est un dévoyé.
Régis de Castelnau