Erdoğan : “Jérusalem est notre ville”
Et s’il fallait avoir plus peur des Turcs que des Iraniens?
Turkish Presidency – Recep Tayyip Erdoğan Julien Michel
Selon nos confrères de i24News, Recep Tayyip Erdoğan a laissé entendre jeudi que “Jérusalem appartenait à la Turquie”, faisant référence au contrôle de l’Empire ottoman sur la ville pendant une grande partie de l’ère moderne.
“Dans cette ville que nous avons dû quitter en larmes pendant la Première Guerre mondiale, il est encore possible de croiser des traces de la résistance ottomane. Donc Jérusalem est notre ville”, a-t-il déclaré aux législateurs turcs lors d’un important discours politique à Ankara.
“La question de Jérusalem n’est pas un problème géopolitique ordinaire pour nous. En effet, l’aspect physique actuel de la vieille ville, qui est le cœur de Jérusalem, a été imaginé par Soliman le Magnifique, avec ses murs, son bazar et ses nombreux bâtiments,” a précisé le président turc.
Le peuple palestinien vit à Jérusalem “depuis des milliers d’années, mais ses droits ont été violés”, a-t-il conclu.
source
article adapté du Jérusalem post qui continue ainsi en anglais
(…)
Erdoğan then moved to address the Palestinian issue, stating that “we consider it an honor on behalf of our country and nation to express the rights of the oppressed Palestinian people on every platform, with whom we have lived for centuries.” »With this understanding, we will follow both the Palestinian cause, which is the bleeding wound of the global conscience, and the Jerusalem case to the end, » he concluded.Dr. Hay Eytan Cohen Yanarocak, an expert on contemporary Turkish politics, foreign policy and Turkish-Israeli relations at the Jerusalem Institute for Strategy and Security, told Israel Hayom that Erdoğan’s speech had an internal, political agenda, more than a practical one.
« In the broad sense of his speech, Erdoğan referred to three major countries – Greece, Armenia and Israel – and not by accident, » Yanarocak noted. « The common denominator of these countries is the fact that they are nation-states composed of the main minorities that existed in the Ottoman Empire and in today’s Republic of Turkey. »
When Erdoğan lashes out, whether it be against Armenia, via military assistance to Azerbaijan, against Greece or by verbal attacks on Israel, we know that he is translating all of these steps towards electoral success, » Yanarocak said. « It’s not just about supporting the Palestinians, but about defining the way that the Turkish majority perceives minorities within the country, and how that perspective is reflected in Erdoğan’s foreign policy. »
jpost.com
Ce Erdogan, d’où vient il?
Pour qui se prend t-il ? Pour un Jébuséen?
Quand le roi David conquérait la ville de Jérusalem, où était Oghnze Osman 1er? Était-il à ses côtés quand David fit entrer l’arche de l’alliance à Jérusalem ? Quand le roi David construisit la tente d’assignation à Jérusalem, où était Oghnze Osman 1er? Ses ailleux n’étaient même pas encore engendrés.
Où bien Osman 1er était il ouvrier lors de construction du temple par le roi Salomon fils de David ? Où se trouve le tombeau d’Osman 1er?
Que Monsieur Tayyip Erdogan arrêté de se masturber, s’il sera atteint de prostate et de trouble d’érection. Commentaire bien Recep-tionné.