Consommation, déchets, CO2 etc … l’enfumage des multinationales dans toute sa splendeur
Le vrai visage du néolibéralisme
Élise Lucet : CASH INVESTIGATION
Les multinationales :
Elles financent des ONG qui culpabilisent le consommateur en lui reprochant la mauvaise gestion de ses déchets et de cause à effet, en le rendant responsable voire même coupable en le pointant du doigt tout en lui disant que ce sont ses choix à lui qui sont la résultante de l’état de la planète alors que si l’on regarde d’un peu plus près, ses choix lui sont imposés ; dans un premier temps, par des lobbies qui achètent (pour ne pas parler de corruption) des députés européens qui iront forcément dans le sens des intérêts des multinationales, ensuite, les choix du consommateur seront téléguidés par un matraquage publicitaire effréné faisant de lui l’idiot du village s’il ne fait pas comme tout le monde. (C’est kro kro mignon !) Corruption des élites, “brainstorming” (Lavage de cerveau), tous les ingrédients sont réunis !
En revanche et dans ce contexte très précis des déchets, on peu effectivement et malheureusement déplorer les agissements de certains consommateurs qui ne respectent pas l’environnement ; je veux parler notamment des pique-niqueurs qui laissent leurs déchets derrière eux, je veux également parler des décharges sauvages ou des fumeurs qui larguent leurs mégots un peu partout dans la nature mais il ne s’agit là que d’une goûte d’eau dans l’océan car l’industrie du plastique représente 10 tonnes de matières non biodégradables produites chaque seconde dans le monde et dont une tonne fini dans les océans toutes les deux secondes.
Les multinationales :
Elles pervertissent la taxe carbone en une foire aux bonnes affaires.
Les multinationales :
Elles mandatent des études démontrant aux États que les morts prématurées qui sont liées à la consommation du tabac allaient faire des économies sur le coût des retraites.
Le néolibéralisme dévoile sa vraie nature et son vrai visage, une immondice qui démontre une toute autre facette de notre société soit disant évoluée mais aux vues de ce qui est dit ci-dessus, la loi de la jungle définie par nous-même comme étant sauvage, barbare et sanguinaire demeure un paradis de paix, de tranquillité et de sûreté en comparaison de ce que nous sommes.
“Il faut bien prendre conscience de ce qui lentement et sournoisement se déroule sous nos yeux égarés par des artifices savamment orchestrés ; il s’agit d’un asservissement mondialisé des populations au nom du néolibéralisme, ce rouleau compresseur sans âme qui ira jusqu’au bout, jusqu’à sa propre destruction tant qu’il aura une miette à se mettre sous la dent !
Un mal autodestructeur et absolu qui n’aura de cesse que d’enfler avant d’éclater !
À présent, il y a celles et ceux qui sont éveillés et qui lutent au péril de leur statut social et parfois même de leur vie comme c’est le cas avec les lanceurs d’alerte, il y a celles et ceux qui, satisfaits par leur sort ne regardent pas là où ça dérange et il y a celles et ceux que la dictature nourrit.”
Je vous propose un petit récapitulatif de 3 émissions de Cash investigation
- Plastique : La grande intox
- Climat : Le grand bluff
- Industrie du tabac : La grande manipulation
La vidéo se termine par une mise en garde de la journaliste Elise Lucet concernant la loi liberticide sur le secret des affaires proposée par l’ERM et qui malgré les pétitions qui s’y opposaient a finalement été adoptée par l’Assemblée générale en juin 2018. Cette loi sonne le glas du journalisme d’investigation et étouffe un peu plus la liberté d’expression, donc, la démocratie.