cherchez l’erreur !
Au micro de RTL, mercredi 3 juin, François Blanchecotte, le président du syndicat national des biologistes affirmait que le covid était derrière nous « Les cas de personnes contaminées au coronavirus en France sont suffisamment disséminés pour qu’il n’y ait pas de contagion ». Donc pas de deuxième vague en vue, »Nous avons des départements aujourd’hui où il n’y a plus de cas positifs. Ça veut dire que le virus ne circule plus ». Voir l’article entier ici.
Malgré cela, notre gouvernent qui a toujours une longueur d’avance, -ou de retard-, envisage un état d’urgence reconduit après le 10 juillet. Nos parlementaires débattront le 17 juin de cette éventualité. Il faut déja s’inquiéter pour la rentrée scolaire. comprenez bien, dans le langage eugéniste, type conférence de Wannsee, la rentrée sociale -avec son lot de nouveaux chômeurs, et de laissés pour compte, suite à une France à l’arrêt pendant tous ces mois derniers-, risque d’être chaude, il faut empêcher les dérapages.
« Tout va se jouer lors de la rentrée scolaire », explique mercredi 3 juin un responsable de l’exécutif à franceinfo. « C’est à ce moment que l’on y verra plus clair. » Dans l’entourage du Premier ministre, on est prudent : « La question d’une prorogation de l’état d’urgence sera tranchée en fonction de l’évolution sanitaire. On ne décide rien aujourd’hui. »
Matignon renvoie donc à un prochain avis du Conseil scientifique. Reste que cette prorogation, au-delà du 11 juillet, paraît inévitable. « Il faut conserver la boîte à outil de l’état d’urgence après la mi-juillet », juge un membre du gouvernement. Autrement dit l’état d’urgence est nécessaire cet été pour que les préfets puissent continuer à prendre des décisions, comme par exemple la fermeture de plages ou l’interdiction de concerts.
Maintenir les Français dans la crainte, la dépendance, surtout ne pas les responsabiliser. Le petit quadragénaire qui fait office de premier magistrat sait tout mieux que tout le monde. Lui et ses proches du Conseil scientifique, triés sur le volet, aux connaissances livresques mais pas puisées de l’expérience sur le terrain sont à même de nous diriger dans le bon sens de l’Histoire… Tout l’article ici
PS : On n’intervient pas trop pour permettre les rassemblements d’opposants aux forces de l’ordre américaines qui ont malheureusement achevé en 9 minutes un afro-américain plaqué au sol avec un genou écrasé sur sa gorge, l’empêchant de respirer. Malheureusement ce traitement indigne et raciste de la police blanche américaine réservé aux blacks est presque monnaie courante lors des contrôles de police. En dépit des gestes barrières non observés, les FDO laissent faire, mais dès que 10 gilets jaunes essaient de se regrouper le samedi, les forces de l’ordre leur tombent dessus!
Comme par hasard, c’est aux EU même que ces mouvement de contestation fleurissent, pour mettre Donald Trump en difficulté, le salir afin que les braves gens se tournent vers ceux qui leur veulent du Bien les Joe Biden, Hillary Clinton, le couple Obama et leur ami commun Bille Gates…
Shlomit
Petite perle pour finir, notre ministre de la santé Olivier Véran s’appuyant sur l’étude publiée dans le Lancet s’est dépêché de faire interdire l’hydroxychloroqine, son épouse interviewée était prête à accuser le Dr Raoult d’irresponsabilité dans son traitement bidon associant hydroxychloroquine à un antibiotique, et maintenant on apprend que le journal médical « The Lancet a été payé pour passer cette étude sur l’hydroxychloroquine ». C’est le journaliste /médecin JF Lemoine qui le dit : On est face à une officine douteuse qui publie des études minables qui, grâce au Lancet, connaissent un retentissement mondial. Il faut savoir plusieurs choses : qui a payé ? Pourquoi le Lancet n’a pas regardé ce qu’il publie ? Parce qu’il était payé tout simplement ! Maintenant face au tollé, face au Professeur Raoult et sa renommée scientifique connue et reconnue dans le monde entier, The Lancet ne veut plus assumer sa paternité dans la diffusion de l’article mettant en cause les pratiques et résultats de L’hydroxychloroquine dans le traitement débutant du covid-19. L’article en entier ici .
Mieux encore, aujourd’hui on apprend que trois des quatre auteurs de l’étude du Lancet se rétractent finalement. Nous ne pouvons plus nous porter garant de la véracité des sources des données primaires
, écrivent les trois auteurs au Lancet, mettant en cause le refus du quatrième, patron de la société les ayant collectées, de donner accès à la base de données » (voir ici )