De nouveau des violences à l’Ouest
Comment comprendre que des éléments des forces de sécurité ivoirienne, après des échanges de tirs avec des individus qu’ils n’ont pas eux-mêmes pu identifier à leur corridor, abattent un jeune d’une balle perdue, dit-on, reçoivent du renfort 48 heures plus tard et s’acharnent sur un village : tabassent les paisibles populations, font irruption dans nos enclos de Koui et Glaé, s’attaquent aux porteurs, molestent certains, tirs sur les jambes d’autres ? Profanant notre culture Wê, notre essence même ?
Comment comprendre que ce régime, avec ces forces de sécurité puisse s’adonner à des expéditions punitives chaque fois qu’il s’agisse du Cavally et du Guémon, sans même établir préalablement les responsabilités ?
Veulent-ils faire boire le calice jusqu’à la lie au peuple Wê, si ce n’est déjà fait ?
A la lecture des événements dans la sous-préfecture de Béoué-Zibiao, dans le département de Bangolo, une plainte doit être portée contre les Généraux Touré Sékou et Nicolas Kouakou, y compris le commandant de la « BSO » (sigle identifié sur les cargos dans le village) sur la gestion de leurs hommes dans la région.
Que cette plainte n’ait pas de suite, elle sera un témoignage…
A bientôt !!!
Evénements de Béoué-Zibiao (Bangolo)…
Sans avoir préalablement situé les responsabilités dans les tirs que leurs frères d’arme ont essuyé dans la sous-préfecture de Béoué-Zibiao, voici une vue de l’horreur perpétrée par les hommes de la BSO du commandant Losseni sur les populations actuellement sous le coup du traumatisme.
Une plainte doit être déposée contre les Généraux Touré Sékou et Nicolas Kouassi, y comprend le colonel Losseni de la BSO formellement identifiée, pour la gestion de leurs hommes dans la région.
A bientôt !!!