Snipers français, l’autre visage de la France !

Snipers français… dans la guerre

On ira jusqu’au bout. Disait l’auteur. On ira jusqu’au bout dans ce procès. A chaque audience sa vérité. Témoins à charge, témoins à décharge. L’heure des témoins de la Défense n’a pas encore sonné. Mais l’Accusation est déjà sonnée.

On ira jusqu’au bout. Des snipers français. Des tireurs d’élite français. Comme le 6 novembre 2004 devant l’Hôtel Ivoire, en Côte d’Ivoire. Des snipers français. Ils tiraient sur l’infirmerie de la Présidence. C’est l’aveu du témoin à charge de ce lundi 28 août 2017 à La Haye. Le 58e. Ils tiraient sur l’infirmerie. Que visaient-ils là-bas, dans une infirmerie ? N’est-ce pas pour achever les blessés ? N’est-ce pas pour acculer à la mort les personnes, soldats ou non, envoyés aux soins minimum ? N’est-ce pas pour tuer les infirmiers et médecins au service des urgences ?

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Des snipers français. Excellents fabricants de la mort. Ah, cette France, terreur des peuples nôtres ! Où elle passe, les libertés trépassent. Où elle passe, les souverainistes sont massacrés. Elle recherche des zombies afin de jouer pleinement les sangsues. On ira jusqu’au bout.

Pourquoi Fatou Bensouda jette-t-elle l’éponge ? Pourquoi ne veut-elle plus faire défiler son million de témoins à charge ? En aurait-elle déjà assez d’être humiliée et échaudée par ses propres témoins devenus rebelles ? On ira jusqu’au bout. Des snipers français tirent. Ils tirent sur la corde d’une pitance que leur patrie tient à ingurgiter. Nation prédatrice, esclave des biens des autres. Elle encourt une indigestion chronique. La France n’abandonne pas le passé. Un passé colonial sans lequel la Tour Eiffel perd sa prestance et reste inaperçu malgré ses 324 mètres de hauteur.

Où est la modernité, si comme au temps du Cro-Magnon, les uns devraient éliminer les autres pour leur arracher leurs biens, leurs nourritures ? On ira jusqu’au bout. Elle voulait vivre de prédation et rester couverte. Elle se comporte comme dans la jungle, espérant que personne ne la dénoncerait. Peine perdue !

Le témoin de Fatou Bensouda l’a vue ! Et il a parlé. Il l’a prise la main dans le sac. Tirant sur l’infirmerie. Sur les malades. Les blessés de guerre. Or, dans la guerre, il y a des règles. On ne tire pas sur les hôpitaux. Mais la France a été capable de cela ! Elle n’avait même pas déclaré la guerre à la Côte d’Ivoire. Elle y est entrée sans préambule. Malhonnête ! Et la voilà qui tire sur les gens. Sur l’infirmerie la Présidence. Sur des blessés. Comme un djihadiste !

Quelle différence y a-t-il finalement entre le djihadiste qu’on traque en Irak ou en Syrie et le sniper français qui tire sur l’infirmerie de la Présidence ivoirienne ? La France est dans le jeu macabre. Comme au Maroc, le 29 janvier 1944, jour de la répression de Rabat-Salé et Fès. Comme en Côte d’Ivoire, le 30 janvier 1950 où la fusillade de Dimbokro fait couler le sang. Comme au Cameroun, le 1er février 1962, où pour mater la révolte de l’UPC, mouvement indépendantiste camerounais, plusieurs personnes ont été asphyxiées dans un wagon entre Douala et Yaoundé. Comme au Gabon, le 19 février 1964 dans la répression du putsch militaire par les troupes françaises. Comme en Haïti, le 25 février 1791 où le mulâtre Ogé subit le supplice de la roue pour avoir cru à l’égalité. Snipers français dans notre conflit. Comme des braqueurs qui attaquent votre maison, cherchent à vous éliminer pour se ruer sur votre grenier.

Snipers français, l’autre visage de la France !
Germain Sehoué
gs05895444@yahoo.fr

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Une pensée sur “Snipers français, l’autre visage de la France !

  • 31/08/2017 à 11:05
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    Un soleil nouveau se lèvera sur la CÔTE D’IVOIRE! Allons seulement

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