Vaccins : comment la vérité est étouffée
C’est un livre qui se lit comme un roman policier… et qui révèle au grand jour la stupéfiante corruption politico-médicale destinée à vous cacher les « effets indésirables » de certains vaccins.
Son auteur, le Pr Romain Gherardi, n’est pas n’importe qui. Professeur de médecine à 38 ans, il est à la tête d’un prestigieux centre hospitalier français sur les maladies neuro-musculaires. Il a publié plus de 300 articles de recherche dans des revues médicales de premier plan (Lancet, New England Journal of Medicine, Brain, etc.). Médecin rempli d’humanité et chercheur exigeant, il n’a rien d’un provocateur. Il ne manque jamais une occasion de rappeler que les vaccins ont sauvé des millions de vies.
Mais il refuse qu’on empêche le grand public de connaître certains effets indésirables évitables des vaccins contenant de l’aluminium.
Il n’accepte pas qu’on cherche à étouffer des recherches scientifiques d’utilité publique, qui pourraient éviter des milliers de maladies graves… et peut-être même soulager des millions de patients victimes du terrible « syndrome de fatigue chronique ».
Tout ce qu’il souhaite, c’est la vérité, y compris si elle dérange. Et il l’a payé au prix fort. En quelques années, il est passé du statut de « star enviée de la médecine », consulté officiellement par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), à celui d’un homme que l’on évite, dont on refuse de financer les recherches.
Son seul crime : avoir mis au jour une vérité très embarrassante pour l’industrie du vaccin.
Une découverte mondialement acclamée, jusqu’à ce que…
Lorsqu’en 1997, il découvre une nouvelle maladie, qu’il baptisera « myofasciite à macrophage », le Professeur Gherardi est acclamé dans le monde entier.
La « signature » de cette maladie est troublante : de « grandes nappes de cellules bleues », dites « macrophages », apparaissent dans le muscle deltoïde du bras… à un endroit où l’on n’avait encore jamais observé ce type de lésion !
La souffrance des patients, elle aussi, déroute les médecins : douleurs invalidantes des muscles et des articulations, épuisement permanent, troubles cognitifs inquiétants… Voilà des symptômes bien étranges ! En France et dans le monde, c’est le branle-bas de combat. L’Institut de Veille sanitaire (InVS) prend l’affaire très au sérieux et lance une étude de terrain approfondie.
En 1998, la plus prestigieuse revue médicale au monde, The Lancet, publie l’article du Professeur Gherardi et de ses collègues détaillant leur découverte. [1] Immédiatement, il est invité à s’exprimer dans les plus grands médias, dont la BBC en Angleterre.
Tout allait bien… jusqu’à ce qu’il découvre la cause de l’apparition de ces mystérieux macrophages bleus.
En octobre 1998, premier coup de tonnerre : le Pr Gherardi apprend que ces cellules bleues contiennent de l’aluminium ! Et il n’a pas besoin de chercher bien loin pour comprendre comment ce métal s’est retrouvé là.
L’aluminium, ce métal toxique utilisé dans les vaccins
Car les organismes vivants ne contiennent normalement pas le moindre atome d’aluminium. Du fer, oui, en quantité. Mais de l’aluminium, jamais, c’est un métal trop toxique pour nos cellules. Malheureusement, depuis que l’industrie a commencé à extraire ce métal de la croûte terrestre, on en trouve un peu partout autour de nous. Jusque dans nos déodorants, dentifrices, crèmes solaires et additifs alimentaires !
Et on en trouve aussi dans… la plupart des vaccins.
Des vaccins que l’on injecte dans le muscle deltoïde du bras, celui-là même où l’on a observé les grandes nappes bleues. Pas de doute possible : l’aluminium de la myofasciite à macrophage provient des vaccins !
Rapidement, le Professeur Gherardi confirme que 100 % de ses malades avaient bien subi une injection de vaccins contenant de l’aluminium dans les deux ou trois ans précédant l’apparition de leur maladie.
Le Pr Gherardi a même injecté le vaccin contre l’hépatite B dans le muscle d’un rat… et il a observé quelques semaines plus tard, au microscope, toutes les caractéristiques de la maladie !
Restait encore une énigme : pourquoi cette maladie est-elle apparue au milieu des années 1990, alors que les adjuvants d’aluminium dans les vaccins étaient utilisés depuis plus longtemps ?
La réponse est d’une simplicité lumineuse : parce qu’il a été décidé mondialement, au début des années 1990, de vacciner dans le muscle et non plus sous la peau !
Et comme la France a décidé de lancer une campagne massive de vaccination de l’hépatite B entre 1994 et 1997, il n’est pas étonnant que ce soit le pays où des centaines de cas ont subitement émergé !
Tout ceci, le Pr Gherardi en fait la démonstration implacable devant l’Organisation mondiale de la Santé en 1999. Les plus grands experts sont venus du monde entier pour l’écouter. Dans la foulée, il publie un article de synthèse lumineux dans une grande revue médicale. [2]
Bien sûr, il reste quelques éléments à éclaircir, mais les preuves sont alors largement suffisantes pour agir sans tarder.
L’urgence est d’autant plus grande que l’on vaccine tous les jours des milliers de patients avec des vaccins contenant de l’aluminium ! Certes, la myofasciite à macrophage est très rare, fort heureusement, mais elle ruine l’existence des malheureux qui sont frappés.
Le bon sens voudrait donc qu’on lance au plus vite de vastes études scientifiques complémentaires… et que l’on force les laboratoires à remplacer l’aluminium des vaccins par des adjuvants moins toxiques (et il en existe !).
Mais à la grande surprise du Pr Gherardi, ce n’est pas ce qui se produisit. Bien au contraire.
On l’empêche de chercher la vérité !!!
À partir du moment où il a eu le malheur de mettre en cause les adjuvants dans les vaccins, tout a été mis en œuvre pour l’empêcher de dévoiler la vérité.
Il est impossible de retracer ici les innombrables coups bas et embûches subis par le Pr Gherardi depuis 1999 – et je vous conseille vraiment de lire son livre passionnant, Toxic Story : deux ou trois vérités embarrassantes sur les adjuvants des vaccins.
Il y raconte par exemple ce qu’a osé lui dire, les yeux dans les yeux un grand Professeur de médecine, le Pr M-F Kahn : « Cher ami, je crois que vous avez raison… Mais je dirai toujours que vous avez tort ! »
Pourquoi ? Non pas parce que ce médecin était « vendu » aux laboratoires. Mais, raconte le Professeur Gherardi, parce que la myofasciite à macrophage a le malheur d’être ce que l’on appelle une maladie « iatrogène ». C’est à dire provoquée par un acte médical… et donc par des médecins !
Il n’est jamais évident de remettre en cause sa propre profession et c’est même contraire à la déontologie des médecins. [3] Et c’est encore pire lorsque l’on touche à la vaccination, LE grand tabou de la médecine moderne ! [4]
Rapidement, le Pr Gherardi est « lâché » par la plupart de ses collègues : « Alors qu’en 1998 tout le monde se battait pour figurer sur la photo de famille de la myofasciite à macrophages, dès que le fatidique mot « vaccin » a été prononcé, chacun s’est retiré sur la pointe des pieds, fuyant un débat où il n’y avait que des coups à prendre. »
Et des coups, le Pr Gherardi ne manquera pas d’en recevoir.
Le mystérieux syndrome de la guerre du Golfe
Ce qui se passe en 2001 est digne des grands films d’espionnage. L’événement se produit au moment où le Pr Gherardi s’apprêtait à vérifier si le « syndrome de la guerre du Golfe » était, oui ou non, causé par les vaccins.
Petit rappel : de nombreux soldats britanniques et américains envoyés en Irak en 1991 ont souffert de symptômes inexpliqués : douleurs musculaires et articulaires, fatigue persistante, troubles de la mémoire, etc. C’est un vrai mystère médical. Toutes les hypothèses ont été envisagées… sauf la plus probable [5], à savoir le programme de vaccination intensif subi par les soldats juste avant les opérations, notamment contre l’hépatite A et B.
En 2001, une association de vétérans britanniques veut en avoir le cœur net. Elle contacte donc le Pr Gherardi pour lui demander d’examiner 12 soldats souffrant de ce fameux « syndrome de la guerre du Golfe », et de vérifier si le muscle de leur avant-bras ne contiendrait pas les fameux macrophages bleus.
Le Pr Gherardi accepte immédiatement, trop heureux de vérifier cette hypothèse. Tout est planifié, et son service est sur le pied de guerre pour accueillir dignement ces vétérans malades. Mais croyez-le ou non, la veille de la venue de ces vétérans, un mystérieux correspondant appelle le Pr Gherardi pour l’informer que la venue des soldats britanniques est « annulée ».
Comme cela, du jour au lendemain, sans la moindre explication !
Mais le pire reste à venir.
L’Agence française de sécurité sanitaire essaie de l’éliminer (socialement)
En 2004, l’Agence française du médicament (alors nommée Afssaps) recommande officiellement de stopper toute recherche sur le lien entre aluminium et la myofasciite à macrophages. Cette autorité « sanitaire » décide donc d’enterrer le dossier, malgré les preuves accablantes déjà réunies !
Résultat : du jour au lendemain, le Pr Gherardi perd tout espoir de voir ses recherches financées par l’État. Ce qui le condamne, lui et son équipe, à la marginalité !
Inutile de préciser que les « experts » ayant pris cette décision dramatique avaient tous des liens puissants avec l’industrie pharmaceutique. Mais le scandale du Médiator n’avait pas encore éclaté, et les conflits d’intérêt n’étaient pas aussi suspects qu’aujourd’hui.
Écoutons le Pr Gherardi :
En ce triste mois de mai 2004, les industriels ont donc eu la peau du Pr Gherardi. Enfin, c’est ce qu’ils croyaient.
Car c’était sans compter sur son intelligence et sa détermination exceptionnelles.
Seul contre tous, il apporte la preuve définitive
La dernière pièce du puzzle, celle qui lui fait encore défaut, c’est la démonstration physiologique du lien de cause à effet entre la vaccination et la maladie.
Statistiquement, il ne fait aucun doute que les terribles symptômes dont souffrent ces malades sont bien liés aux vaccins à l’aluminium.
Mais biologiquement, comment cela se passe-t-il ? Comment une dose infime d’aluminium injectée dans un muscle pourrait-elle causer de tels dégâts ?
C’est la toute dernière clé du mystère… et il faudra de longues années au Pr Gherardi, privé de financements nationaux et internationaux, pour la révéler au grand jour.
Mais il y parvint enfin, en 2013, dans article publié dans BMC Medicine. [6]
Jusqu’à cette date, tout le monde croyait (ou voulait croire) que l’aluminium des vaccins se dissolvait dans le sang. Si c’était le cas, il ne pouvait pas causer la moindre maladie : l’aluminium serait alors rapidement filtré par les reins et expulsé dans les urines.
Mais des expériences réalisées sur des souris prouvent que cela ne se passe pas comme cela. En réalité, 50 % des particules d’aluminium des vaccins migrent vers les ganglions, la rate… puis s’accumulent dans le cerveau !
Et ce qu’a montré le Pr Gherardi, c’est que ce parcours catastrophique de l’aluminium vers le cerveau a lieu dans un cas et un cas uniquement : lorsqu’on injecte le vaccin dans le muscle. Car cela déclenche l’apparition de cellules immunitaires (macrophages) qui viennent « gober » l’aluminium et empêcher sa dissolution dans le sang !
Encore plus étonnant : on retrouve d’autant plus d’aluminium dans le cerveau des souris que les doses d’aluminium injectées sont faiblement concentrées ! Pourquoi ? Tout simplement parce que des doses trop fortes ne peuvent pas être « gobées » par les macrophages – et ne sont donc pas emmenées dans le cerveau !
Ce qui réfute de manière éclatante l’argument des labos, qui répètent sur tous les tons que la dose d’aluminium injectée est trop faible pour pouvoir être dangereuse !
Une maladie qui ne frappe pas au hasard
Et comme si cela ne suffisait pas, le Pr Gherardi et son équipe ont même réussi à montrer pourquoi la maladie ne touche qu’une petite fraction de ceux qui sont vaccinés.
Comme toujours avec les métaux lourds, c’est une question de loterie génétique.
Par exemple, certaines personnes ne parviennent pas à éliminer correctement le fer qu’ils avalent dans leur alimentation – c’est l’hémochromatose, une maladie génétique qui touche 1 personne sur 200.
D’autres ne se détoxifient pas bien du mercure [7] : dans leur cas, manger trop de poisson ou avoir plusieurs amalgames au mercure (« plombages ») dans la bouche peut créer de graves troubles cognitifs.
S’agissant de l’aluminium, le Pr Gherardi a admirablement montré que ceux qui souffrent de la myofasciite à macrophage avaient des variations génétiques rares et spécifiques au sein des 34 gènes qui déterminent la détoxification de ce métal.
Voilà pourquoi vous ne risquez pas grand-chose à vous faire vacciner… sauf si vous avez le malheur de faire partie des personnes « vulnérables » !
C’est vrai pour la myofasciite à macrophage mais aussi pour d’autres graves problèmes de santé.
Quelques exemples des graves effets secondaires des vaccins
Voici quelques exemples des drames les plus criants causés par certains vaccins :
- Le vaccin contre les rotavirus (injectés aux nourrissons contre la gastroentérite) peut entraîner la mort des nourrissons. On le sait grâce au système de pharmacovigilance français, qui a recensé 2 décès et 201 effets indésirables graves chez les bébés vaccinés ; [8]
- Le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix a causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable. C’est une étude publiée dans le très respecté British Medical Journal en 2013 qui l’a révélé ; [9]
- Le vaccin contre l’hépatite B a été incriminé dans plusieurs études solides pour avoir déclenché de nombreux cas de sclérose en plaque ; [10] [11] [12]
- Le Gardasil, vaccin contre le papillomavirus, a provoqué en France plusieurs dizaines de cas de syndrome de Guillain-Barré, une maladie neurologique grave. C’est l’Agence du médicament elle-même qui l’a reconnu en 2015. [13]
Et bien sûr, tous les vaccins peuvent provoquer de graves réactions allergiques.
Faire toute la vérité sur les vaccins
Au total, il est clair que certains vaccins et certains de leurs adjuvants (aluminium, squalène) posent de graves problèmes de santé à une petite minorité d’entre nous.
Il est important de le reconnaître publiquement, plutôt que de faire de la vaccination un tabou (« la vaccination, ça ne se discute pas », a osé dire la Ministre de la Santé en 2015 !).
Il n’est pas question d’être « anti-vaccin » par principe… mais il n’est pas question non plus d’être « pro-vaccin » aveugle.
Il faut simplement reconnaître que, comme tout acte médical, il peut avoir de graves conséquences. Et il faut donc examiner au cas par cas si ses bienfaits l’emportent sur ses dangers.
Tout dépend de la maladie que l’on cherche à éviter, de la nature des vaccins, de leurs adjuvants… et de la vulnérabilité personnelle de chacun d’entre nous !
Ce doit donc être une décision médicale et individuelle, et non pas administrative et collective, comme les labos le réclament, pour sécuriser leurs profits !
La prudence vis-à-vis des vaccins est d’autant plus légitime que la recherche scientifique est manipulée par de puissants intérêts.
C’est même encore pire pour les vaccins que pour les autres médicaments !
Pourquoi ? Parce qu’on se refuse à faire pour les vaccins ce qu’on fait pour tous les médicaments : des études en double aveugle, contre placebo. C’est à dire prendre un groupe de patients, le séparer en deux groupes, vacciner un groupe mais pas l’autre (sans que personne ne sache qui a été vacciné et qui ne l’a pas été), puis observer les résultats, au bout de quelques années.
Résultat : la science des vaccins est tout sauf solide… et l’industrie pharmaceutique s’en donne à cœur joie pour lui faire dire ce qui l’arrange.
Avec la complicité, hélas, de certains médecins sincères, dont la priorité absolue est d’éviter que l’opinion publique ne perde confiance dans la vaccination.
Pour eux, la population est un « petit enfant, dont il faut redouter les réactions inconsidérées, quitte à taire les dangers qui le menacent pour ne pas risquer de l’effrayer ». [14]
Comme si vous et moi n’étions pas capables d’entendre la vérité et de faire des choix raisonnés pour notre avenir et celui de nos enfants !
Que faire ?
Je laisse le dernier mot au Pr Gherardi :
« J’en appelle donc aux personnalités politiques de tous bords. Pour que perdure et vive le vaccin (…), il ne faut pas seulement reconnaître l’intolérance aux adjuvants et financer les recherches sur cette pathologie.
Comptez-sur moi, chers lecteurs, pour me battre en ce sens, à mon petit niveau.
Xavier Bazin