porter la plume dans la plaie, n’est pas pour plaire…

La France d’aujourd’hui … piétine la liberté d’expression et devient dangereuse ! Christine Tasin et Pierre Cassen, deux voix de la résistance, apportent par leurs articles et leurs conférences un autre regard sur des réalités de notre société en appliquant le slogan du 20ème siècle d’Albert Londres : porter la plume dans la plaie. Tasin et Cassen portent la plume dans la plaie et ça fait mal ! C’est l’objectif du journalisme ! Ils remplissent la mission qui n’existe pas sur le service officiel avec les journalistes qui détournent les yeux devant les plaies béantes qui pourrissent la France.1

Ce slogan, enseigné dans les écoles de journalisme, est employé par l’Etat, disons le régime en état de putréfaction, quand cela l’arrange. « Je suis Charlie » est un outil de ce pouvoir pour défendre ses intérêts. Les autres journalistes ou dessinateurs, comme Ri7, qui montrent des informations différentes aux directives officielles sont criminalisés. Le pouvoir actuel n’hésite pas à dire en public, « la répression est indispensable ! » – proclamation sidérante et scandaleuse pour la France ! Tout le monde n’est pas obligé d’aimer les sites « Riposte Laïque » ou « Résistance Républicaine » mais il y va surtout de la liberté de la presse et d’expression !

Tasin et Cassen, contrairement aux nombreux journalistes de la presse officielle, n’ont pas fait d’école de journalisme. Tasin et Cassen ont fait l’école de la vie et apportent un air important et différent dans l’air consensuel et aseptisé de la France. Lire Tasin et Cassen et voir les dessins de Ri7 (qui sont dans la lignée de Fluide Glacial ou du Titanic, journal satirique allemand) donnent une lecture citoyenne et rassurent ceux qui croient encore en la démocratie en France !

Pouvoir « big brotherien » contre Riposte Laïque et Résistance Républicaine.

Riposte Laïque et Résistance Républicaine, qui ont été lancés par Pierre Cassen et Christine Tasin, et qui permettent à des citoyens de s’exprimer et de lire une autre information, dérangent le pouvoir « big brotherien » et la presse officielle alignée aux directives officielles avec ses « journalistes » la colonne vertébrale courbée comme un serpent sur le clavier. La France, qui donne des leçons dans d’autres pays, interdit la pensée libre chez elle ! et -on croit rêver- va contre la tradition de son éducation : Voltaire, Les Lumières, Albert Londres, Camus, Céline…

Tasin a été enseignante et a appris à ses élèves à réfléchir et à critiquer le monde comme dans la tradition française. Cassen a été un syndicaliste du Syndicat du Livre qui a refusé la soumission à une forme de pouvoir et surtout à la répression, revendiquant des conditions de travail meilleures pour ses camarades. Tasin et Cassen représentent ce qu’est la France et l’enseignement de ce pays qui a longtemps porté la lumière de la liberté à bout de bras dans le monde : la défense des valeurs humanistes ! Comme Riposte Laïque et Résistance Républicaine sont suivis de nombreux lecteurs, l’Etat (si on peut encore employer ce mot si noble…) use de persécutions (contrôles policiers, convocations au tribunal), de menaces (décisions de justice, fortes amendes…), pour liquider les activités de presse des deux journalistes engagés. Car Tasin et Cassen dérangent le pouvoir moribond. Tasin et Cassen sont des modèles pour ceux qui aiment la liberté d’expression même si on ne partage pas toujours leurs points de vue ! Mais c’est le pluralisme des idées et des avis qui a fait la grandeur de la France ! et leur volonté de fer à dire ce qu’ils pensent est honorable. Tasin et Cassen sont provocateurs comme Albert Londres pour réveiller les lecteurs.

Liberté d’expression : 55 procédures au total.

Depuis 2012 Riposte Laïque a fait face à plus de 40 procédures pour ses articles. Auxquelles il convient d’ajouter 12 procédures supplémentaires pour la seule Christine Tasin, sur Résistance républicaine. C’est pourtant par la lecture d’avis différents que le citoyen gagne son avis personnel et c’est à lui de se forger son opinion par ses lectures diverses et libres. Et ce n’est pas à l’Etat de dicter aux citoyens quoi lire ! L’Etat, aujourd’hui, qui prétend défendre la diversité dans la société française, attaque le pluralisme de l’information. La France, qui accuse la Russie de censurer et de menacer les citoyens qui expriment des opinions critiques, devrait tout d’abord considérer sa situation qui devient dangereuse et maladive. Au delà des menaces sérieuses contre Christine Tasin et Pierre Cassen, le pouvoir politique en France montre sa médiocrité et son non respect de la grande tradition française pour la liberté d’expression !

Tasin et Cassen, qui en plus défendent les valeurs fondamentales de la France, ne font que mettre la plume dans la plaie ce qui est le slogan d’Albert Londres. Un slogan, un mot d’ordre, d’ailleurs, enseigné dans les écoles de journalisme en France ! Au lieu de défendre les valeurs, qui ont fait la France, des individus plus jeune que Tasin et Cassen avec un pouvoir judiciaire mettent en place la répression sur le couvert de l’antiracisme pour anéantir ceux qui pensent autrement et qui révèlent des informations via le Net qui ne sont pas souhaitées par le pouvoir officiel. Le pire est que les mêmes qui dénoncent les dictatures ailleurs appliquent la dictature en France ! Avec le changement de pouvoir en 2017 ces commissaires politiques risquent d’en payer le prix fort pour leurs actes. Quelle horreur de voir des représentants de l’Etat employer le mot « répression ». N’est-ce pas puni par la loi ? N’est-ce pas une incitation à la haine ?

« La répression est indispensable ».

Quand on entend les mots du Français Gilles Clavreul au 21ème siècle on est scotché au mur ! Voilà un citoyen français, avec responsabilités politiques, qui représente la lutte contre le racisme et l’antisémitisme et qui parle de la mise en place de « la répression indispensable », une terminologie employée par les Nazis, SS ou la Stasi ! Gilles Clavreul, né en 1973, a donc 43 ans. Il est délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme. Il veut la répression et éduquer les personnes plus âgées que lui ainsi que le peuple entier ! Un jeune, de la génération des élèves de Tasin, a été nommé comme délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme. Dans un communiqué de presse Pierre Cassen et Christine Tasin soulignent, avec raison, le discours dangereux et déviant de Gilles Clavreul que vous pouvez écouter dans cette vidéo.

Pour un homme censé lutter contre la haine sur le Net et dans la société civile c’est plutôt raté. Car Gilles Clavreul parle avec haine de ceux qui pensent d’une autre manière et visent ceux qui ne pensent pas… socialiste utilisant de la justice française comme une arme au service du pouvoir socialiste. Et ce n’est pas la répression qui va certainement apaiser la société avec son peuple qui gronde. Selon Wikipédia Gilles Clavreul est d’une famille bourgeoise baignée dans la psychiatrie et la gauche caviar, « Gilles David Alexandre Clavreul est le fils du psychanalyste Jean Clavreul (1923-2006) qu’il ne connaîtra que tardivement.

Du côté maternel, ses grands-parents sont des immigrés grecs installés à Paris pour travailler dans la restauration. Sa mère, Irène Diamantis (1942-2014) n’obtient la nationalité française qu’au sortir de la guerre. C’est elle, également psychanalyste, qui l’élèvera. Gilles Clavreul grandit dans un milieu de gauche libérale, intellectuelle, parisienne et bourgeoise.”

Dans une vidéo parue le 29 janvier 2017 Pierre Cassen dénonce la barbarie des mots de Gilles Clavreul et replace l’individu dans un contexte terre à terre, celui du contexte historique :

La majorité des Français pensent comme Pierre Cassen. Comment un homme de 43 ans peut avoir de tels propos en étant à la tête d’une organisation qui doit lutter contre la haine ? Lecteurs, nous sommes dans le roman de 1984. La laideur, la violence, la réécriture de l’Histoire, la répression sont de nouveau là ! Dans le Donbass les citoyens conscients de ces tendances ont pris les armes pour défendre leur liberté et leur patrie car le régime ukrainien utilise depuis le début de la guerre la même rhétorique.

« Une unité de lutte de la haine sur Internet ».

Mais c’est du « 1984 » ! Gilles Clavreul rêve de « vaporiser » les gens qui ne pensent pas comme lui ! Lisons ses paroles dangereuses : « Il faut avoir une approche un petit peu ciblée. Il suffit surtout d’identifier qui sont les leaders d’opinions sur Internet. Il faut savoir identifier nos adversaires, traiter les leaders d’opinions sur Twitter, sur Facebook, c’est-à-dire ceux qui sont suivis, ceux qui attirent du monde. Pour beaucoup d’autres eux, ce sont des « no life ». Pour beaucoup d’entre eux on les rencontre dans la vie réelle… leurs contenus à la limite de l’acceptable. Faute de moyens légaux, à traduire devant la justice des sites qui ont développé, par exemple, des théories alternatives sur les attentats de Saint-Denis et du Bataclan. La répression est indispensable ». Gilles Clavreul veut faire interdire les enquêtes indépendantes sur des faits de société ! Car seule la parole de l’Etat orwellien doit citer ! « Création d’une unité de lutte de la haine sur Internet avec Pharos. Il faut cibler un certains nombres d’adversaires et on ne va pas les lâcher » , dit Gilles Clavreul dans la vidéo. Au lieu de représenter et de protéger le pluralisme des opinions, Gilles Clavreul dit dans la vidéo, dans un langage arrogant et bourgeois, « ce sont des no life ». Alors que ces gens qui s’expriment sur le Net n’ont pas d’autres moyens de le faire puisque que la presse officielle censure les positions différentes. De quel droit un représentant de l’Etat juge des citoyens de « no life » ?

Gilles Clavreul applique simplement le modèle allemand. Le ministre allemand de la justice Maas, aussi socialiste (SPD), a mis en place une unité pour contrôler les citoyens qui pensent d’une manière différente. La chef de cette organisation de contrôle des idées (police de la pensée) des citoyens a été une informatrice de la Stasi en RDA qui a, en s’immisçant dans des soirées et fêtes en prenant des notes, fait condamner des petits opposants au régime. Une autre agence, CorrectIv, qui a publié des articles mensongers sur la catastrophe du MH17 dans le Donbass est chargée de contrôler le contenu des citoyens allemands sur Facebook et de les dénoncer à la police ! L’Etat arrache les enfants aux parents qui dénoncent le système et émettent des critiques contre le régime actuel de Berlin qui détruit la liberté d’expression. La police de la pensée est bien réelle et dangereuse en France et en Allemagne.

Heureusement en France, des citoyens comme Christine Tasin et Pierre Cassen, se lèvent contre ces représailles, menaces et répressions pour qu’en France nous ne connaissions pas l’horreur actuelle du système allemand. Car la population allemande vit dans la peur. Ceux qui osent se lever sont internés en psychiatrie, mis en prison sous de fausses accusations, ruinés par des amendes, licenciés ou même tués dans des accidents…

Comment la France, qui a été à l’origine du slogan « Je suis Charlie » peut menacer la dessinatrice Ri7 ? Ri7 parle, dans un entretien, des attaques et menaces du régime actuel de Paris.

Une France inquiétante. En voyant la situation en France de Russie ou du Donbass on se pose de sérieuses et graves questions sur la santé mentale des élites qui dirigent encore la France ! Ri7 réalise des dessins rigolos et dans la lignée des dessins de presse. Les personnalités publiques savent qu’elles ne sont pas des personnes privées mais surtout publiques et que leurs prises de positions politiques nourrissent les dessinateurs et les journalistes. Que ce personnel politique qui se sent menacé par Riposte Laïque , Résistance Républicaine ou par Ri7 change de métier car ils n’ont pas les reins assez solide pour aller à la rencontre du peuple pour parler et accepter les critiques sans se prendre des gifles. Et ce n’est pas un hasard si Manuel Valls a été giflé en Bretagne ! La Bretagne a été le premier territoire de France à ne pas se soumettre à l’occupant du Troisième Reich durant la Seconde Guerre mondiale ! Et c’est la résistance qui a gagné !

Olivier Renault, novorossiatoday

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