exemple d’une photo sortie de son contexte…
Sur les réseaux sociaux on présente Poutine comme un monarque et un despote qui parle à ses « sujets » de loin, avec mépris. Ainsi un ivoirien bien connu de la diaspora, membre fondateur du cogep et maintenant collaborateur rapproché d’Affi N’guessan se permet d’écrire en légende de cette photo « Comme un vrai dictateur. C’est quelle manière de se mettre si loin de ses collaborateurs ça? Ou bien il craint un faux coup qui peut venir de près? Un homme prudent voit le danger de loin. C’est pas la grande sérénité »
Cette photo est probablement sortie de son contexte. Vous voyez la caméra en face de lui : Il va certainement s’adresser au peuple et s’entoure de collaborateurs pour être stimulé. Il n’utilise pas de prompteur et parle sans texte. Il fait du direct, d’où le besoin d’un auditoire dont l’écoute et les regards lui transmettent s’il est compris, et si son message passe bien.
tout est bon pour salir Poutine… ET D.ieu sait que c’est certainement le plus grand homme politique réfléchi et non va-t-en guerre de notre époque. Quant au Poudré qui se voit déjà Empereur du Saint Empire Romain Germanique via son mandat européen, il donne l’impression d’être constamment dans un jeu vidéo. Au début du covid, souvenez-vous, il nous assénait « nous sommes en guerre » et là il ne cesse de dire que cette guerre sera longue. Et oui, il a l’impression de jouer dans la cour des grands en allant voir Poutine, puis en l’appelant pendant 90 minutes aujourd’hui…
Autre fou bien pensant, notre BHL national qui retrouve la scène sur les plateaux télévisés, enchainant les interviews, et vantant les valeurs du président Zelensky, « qui se conduit avec une droiture et une grandeur admirable, et qui a besoin de munitions et non pas de soldats pour se défendre face à la 2e armée du monde ».
Pour rappel Zelensky est au départ un humoriste/pianiste de cabaret. cet inconnu de la politique a été élu en 2019 président parce qu’il semblait n’avoir rien à voir avec les technocrates et semblait désireux de s’attaquer à la corruption. En fait c’était le pigeon idéal, pantin manipulable à souhait par l’Occident, dont on a flatté l’égo, comme on le fait pour les roitelets africains, sortis de la misère, puis envoyés avec une bourse d’étude en Europe et aux Etats unis, avant d’en faire des vassaux/carpettes aux ordres. il suffit de compter les innombrables voyages en france du dictateur ivoirien, combinant consignes élyséennes et séjours hospitaliers…
Finissons avec une touche d’humour: