Un petit tour chez les Bongo du Gabon

En 1952, Un jeune employé des PTT Gabonais, après ses études au Congo, plait à ses collègues européens. Il est brillant et éveillé. Il se prénomme Albert-Bernard. Ceux-ci le persuadent d’intégrer l’organisation secrète de la franc-maçonnerie. Il est donc sur les tablettes des décideurs qui étaient à l’époque appelés le « LE CLUB DE PARIS », une bande d’amis européens, essentiellement des Français, des Belges et des Anglais de la banlieue de Manchester.

Albert-Bernard BONGO, car c’est de lui qu’il s’agit, part pour son service militaire qui va le conduire en France. Il est alors recruté comme agent dormant pour l’Afrique centrale dans les Service Secrets Français, lui qui connaît le Congo où il a fait ses études.

Là bas il va faire la connaissance d’une figure emblématique de la lutte des indépendances de l’Afrique Noire: Félix Houphouët-Boigny.

Albert-Bernard BONGO, poussé par Jacques Foccart, va occuper des postes de plus en plus importants avant son arrestation lors de la tentative de Coup d’Etat contre le Président Léon M’ba. Mais il est libéré par ses copains de l’armée française. Il devient Vice-Président, puis accède à la Présidence à la mort de M’ba.

Marqué par son incarcération, il fait de moins en moins confiance à sa propre armée et va signer un protocole d’accord pour l’installation de l’armée française au Gabon qu’on appelait les EFG (Éléments Français du Gabon), puis les TFG (Troupes Françaises du Gabon) pour devenir les FFG (Forces Françaises du Gabon).
Fort de ce soutien, il va diriger de main de maître ce petit pays pétrolier. Il se convertit à la religion musulmane pour intégrer l’Organisation de l’OPEP constituée principalement des pays arabo-musulmans et devient El Hadj Omar Bongo.

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Les Franc-maçons, organisation occulte et secrète qui ont vocation de placer leurs membres au pouvoirs, ne lésinent sur aucun moyen pour réduire au silence, tous ceux qui se mettent en travers de leur chemin. Mais des africains vont développer le concept et en faire une tradition.

De fait, toutes les jeunes démocraties africaines, non structurées font face à des vents de révolte, des opposants qui veulent dénoncer les « INDÉPENDANCES SOUS CONTRÔLE » octroyées par la France.

Le pygmée de Libreville va profiter des mercenaires français pour ses basses besognes. Il va alors éliminer tous ceux qui menacent et son pouvoir, et sa famille… Mais en réclamant le sang des victimes pour des rituels en forêts.

C’est ainsi que Germain M’ba est assassiné en 1970 et vidé de son sang. Pareil pour le poète Ndouna Depenaud. Il n’avait aucune limite d’action, pour preuve: son ex-peintre Robert Luong qui a osé le cocufier avec Marie Joséphine Bongo, sera assassiné à Villeneuve-sur-Lot en 1979. Nombreux sont ceux qui on disparu, et dont les corps, les têtes ou le sang n’ont jamais été retrouvé. Commence dès lors, le rituel du sang au sein des loges maçonniques.

Au Bénin, Mathieu Kérékou voit son pouvoir menacé par les Français. Giscard d’Estaing l’a en horreur. Il se raconte qu’il faisait des cauchemars sur Kérékou. Ainsi, en 1977, Mathieu Kerekou échappe de peu à la mort, lors d’une tentative de coup d’État orchestré par les Français. C’est alors qu’il est approché par Houphouët-Boigny et Bongo, et se laisse convaincre de rejoindre l’organisation maçonnique. Approché par Houphouet et Bongo, il fini par intégrer l’organisation maçonnique. Lui, Kérékou, marxiste-léniniste, très ancré dans la tradition vaudoue, va s’adonner également à la pratique sanguine. Ses proches collaborateurs en savent beaucoup, dont un certain publicitaire Patrice Sawegnon. Mais Kérékou va s’assagir, se convertir et même devenir Pasteur.

Pire, en 1982, au Cameroun, Paul Biya dont le père aurait voulu qu’il devienne prêtre, accède au pouvoir après la démission de l’ancien Président Ahidjo. Pôpaul va asseoir son pouvoir dans la disparition mystérieuse des opposants. Il y passe maître de l’art. Petit à petit, son service de renseignement va acquérir une macabre renommée. Houphouët-Boigny qui ne veut pas se salir les mains, Bongo (le buveur de sang – je précise ici que cette information est un fantasme relayée dans les milieu « francs » mais personne ne m’a apportée la preuve tangible de cela), lui passait commande…

Je vous épargne des autres vieux loups qu’on été, Eyadema, Mobutu, Patassé, Bokassa (le buveur de sang – rumeur propagé par Giscard d’Estaing pour le renverser et lui prendre son épouse) et l’armurier Blaise Compaoré…

Ainsi, des pratiques africaines ancestrales ont été admises dans les loges africaines puis progressivement exportées en occident.

Cependant, les apprentis-maçons, c’est à dire ceux qui sont au bas de l’échelle, pour des postes divers, surtout électifs, ont fait de cette pratique une norme.

Aussi, a émergé une organisation plus puissante, plus influente, plus sanguinaire … LES ILLUMINATIS.

Pour terminer et revenir à ce qui nous concerne, le GRAND MAÎTRE de la loge maçonnique de Côte d’Ivoire est le Sieur HAMED BAKAYOKO depuis le 25/05/2015, sous la supervision du coordonnateur et très discret Ambassadeur Georges Ouegnin.

C’est dans cette atmosphère qu’approche les élections sénatoriales et régionales, et surtout, que nous approchons inexorablement l’échéance de 2020 avec une vrai guerre de clan au sein de la loge maçonnique de Côte d’Ivoire avec l’entrée très remarquée du plus riche ivoirien Mr Jean Louis Billon.

Mouhamadou Soumahoro
Journaliste d’Investigation
Generations Africaines Conscientes

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