troubles à Agboville

Depuis ce matin il y avait des troubles à Agboville. J’ai deux versions des faits. D’aucuns disent que ce sont des palabres entre élèves Dioula et ABBEY (suite à une bagarre survenue entre un jeune Dioula et un jeune ABBEY quelques jours plus tôt) d’autres disent que ce sont les élèves eux-mêmes qui ne veulent pas aller à l’école qui demandent l’arrêt des cours. Je suis confuse mais voici le témoignage que j’ai recueilli de mon neveu qui était à l’école ce matin à Agboville. « Nous étions à l’école et des jeunes gens sont venus dans nos classes pour demander qu’on libère les élèves parce qu’ils ont été agressés par des gens armés de machettes. Les Professeurs et les Éducateurs ont refusé de nous libérer parce qu’ils croyaient pas aux propos de ces gens là. Peu de temps après les gens armés sont venus dans mon école ils attrapaient les élèves et demandent leur ethnie avant de les frapper et les blesser avec la machette. Nous avons réussi à fuir je me suis réfugié chez un vieux »
Peu importe les motifs, je condamne la violence en milieu scolaire.
Fleur Esther Aké M’bo

Une rixe entre deux élèves a viré, ce lundi 27 mai 2019, à une bagarre inter-communautaire à Agboville, ville située 80 kilomètres d’Abidjan.

Tout est parti d’une rixe entre deux élèves issus des communautés locale Abbey et allochtone Malinké, d’un lycée privé dénommé Eden, dans une affaire banale, comme il y en a dans tous les lycées. Les faits se sont déroulés le jeudi 23 mai 2019.

Alors que l’on croyait la crise banale passée, l’un des élèves est revenu ce matin à l’école, en compagnie d’amis et proches issus de sa communauté et ont mené une expédition punitive contre l’un des protagonistes de la bagarre passée.

Les assaillants étaient munis de divers objets contondants comme des machettes, des couteaux, des gourdins, etc. D’autres élèves issus de la communauté du protagoniste contre qui était mené l’expédition punitive, se sont alors dressés contre les assaillants. L’école où ont commencé les bagarres a alors été paralysée, ainsi que les écoles dans les environs, comme le lycée professionnel et le lycée moderne d’Agboville.

Bagarre inter-communautaire à Agboville et ailleurs
“Le préfet de la région de l’Agnéby-Tiassa, Assoumou André Ekponon est rapidement monté au créneau pour ramener l’ordre. La police a été mise à contribution. A l’heure où je vous parle, un calme précaire règne, plusieurs écoles sont fermées, le marché central a été déserté par de nombreuses commerçantes”, nous relate un témoin.

Les bagarres ont fait deux blessés. Ce n’est pas la première fois qu’une rixe banale dégénère en affrontements inter-communautaires à Agboville. Nous y reviendrons.
(Source: AfrikSoir)
#Rezopanacom

Des agressions à la machette entre élèves
ont fait plusieurs blessés à Agboville

Agboville : des échauffourées entre élèves sèment la panique au sein de la populationUne peur-panique s’est emparée des populations d’Agboville, chef-lieu de la région Agnéby-Tiassa(80 km d’Abidjan), ce lundi 27 mai 2019. Des échauffourées entre élèves seraient à l’origine de cette situation.

« On ne sait pas réellement ce qui se passe. Nous étions au marché quand nous avons vu des élèves courir à grandes enjambées en criant « c’est gâté, ils arrivent ». Du coup le marché s’est vidé, nous avons fermé nos magasins. Par mesure de prudence, nous sommes allés chercher les enfants qui sont au primaire et à la maternelle pour nous mettre à l’abri », a témoigné B. Célestine que Linfodrome.ci a joint sur place.
Notre source a laissé entendre qu’il s’agit de bagarres rangées entre élèves. Des affrontements sanglants à l’arme blanche. « J’ai entendu dire que des élèves, machette en main vont déloger d’autres dans les établissements scolaires. On parle de nombreux blessés, d’oreilles coupées, entre autres », a-t-elle fait savoir.
Notre source a fait observer que ce genre d’agressions à la machette est devenue chose fréquente. « A la veille des congés de pâques, ça été le même scénario. Des affrontements inter-communautaires entre élèves », a-t-elle souligné.

Une autre version a été publiée sur les réseaux sociaux. Sur sa page Facebook, VoxPopuli explique que « le jeudi 23 mai 2019, deux élèves de la classe de terminale se sont battus à l’établissement secondaire Eden situé derrière le lycée professionnel Ceta, lequel fait face du lycée moderne d’Agboville. Les personnes jointes ne nous disent pas exactement pourquoi les deux élèves se sont battus. L’un aurait été copieusement battu par l’autre ce jour-là. Alors qu’on croyait cette parenthèse fermée, ce lundi 27 mai, dans la  matinée, non content, l’élève battu a mobilisé ses frères et à cela ce serait ajouté des ferrailleurs et apprentis venus prêter main forte à ce dernier », a-t-elle relaté.
A l’heure du bilan, cette source dénombre 2 blessés graves tailladés à la machette. En outre l’école a été paralysée et le marché est fermé.

Notons qu’en fin de matinée, d’après nos informateurs, le calme est revenu dans cette ville où les forces de sécurité effectuent des patrouilles. Nous y reviendrons.

Jonas BAIKEH, Linfodrome
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L’image contient peut-être : 1 personne, sourit, deboutQuelle leçon faut il tirer des tueries de BEOUMI, AGBOVILLE ? Et j’en passe, quelle leçon faut il tirer des armes sophistiquées qu’on utilise pour faire entretuer les ivoiriens qui autrefois vivaient en parfaite harmonie ? Comment comprendre qu’une terre qui a vu naître bon nombre de citoyens dont les parents sont originaires des pays limitrophes soit attaquée par eux alors qu’ils ont été bien logés et accueillis ? Comment comprendre l’utilisation des armes achetées par des politiciens pour mettre le feu aux champs, aux maisons des autochtones de ces régions ? Comment, comment et comment ? Toutes ces Questions habitent l’ensemble des ivoiriens aujourd’hui, chacun ayant peur de se faire abattre ou voler par ces visiteurs à qui l’on a offert gites et couverts ? Combien mettent ils en jeu ces politiciens pour créer toute ces divisions pour régner de façon éphémère puisque tout règne a une FIN. A travers le comportement de DRAMANE OUATTARA nous assistons à l’occupation crapuleuse des terrains ancestraux. A travers sa politique de mépris vis à vis du peuple, ceux qui sont venus travailler ici n’ont plus aucun respect pour leurs hôtes qui les employaient depuis des siècles ? Comment comprendre que certains fils originaires des Pays voisins s’octroient des biens qui ne leur appartiennent pas et narguent même au demeurant leurs hôte en se disant plus ivoiriens qu’eux ? C’est le lieu de dire qu’en tant que société civile nous connaissons la faisabilité d’une chose et cela ne se fait pas par la guerre, elle se fait par la compréhension du tissu sociale. Ce type de compréhension pour le Peuple a été prôné par HOUPHOUËT BOIGNY parce qu’il comprenait son Peuple. Je suis musulman, on ne peut comprendre le comportement d’une classe politique qui a fait des mosquées des tribunes politiques. Ce type de comportement peut même faire renverser un ÉLU de DIEU car cela se fait dans le fond pas pour DIEU mais pour de l’argent. De grâce, ne nous faisons pas amis de l’argent pour rejeter les préceptes de ALLAH le Miséricorde au risque d’attirer sur nous sa colère et sa malédiction. Agissons dans la Vérité et dans l’amour du prochain pour créer les conditions d’une CÔTE D’IVOIRE RÉCONCILIÉE et en harmonie dans toute sa composante.

QUE DIEU AIDE LA VÉRITÉ ÉTERNELLE @ #PATRIARCHE_ABOU_CISSE