quelques brèves du jour…

RENSEIGNEMENT MILITAIRE(1)

La Ville de Bouaké et Korhogo sont bouclées par plusieurs mercenaires burkinabés la plupart en civil.
Merci .
Source Anonyme.

Selon le Juge Président CUNO Tarfusser , de la Cour Pénale d’injustice : « Nous allons reprendre le 06 novembre 2017 (….) il y aura d’autres procès. Nous n’avons pas suffisamment d’argent pour mener deux ou trois procès simultanément. »

La déclaration du juge-president du procès GBAGBO devrait susciter de grandes interrogations. Comment a t-on pu arriver à ce qu’un juge d’une organisation aussi « puissante » que la CPI qui vient récemment d’aménager dans des locaux flambants neufs et de dernière génération puisse déclarer PUBLIQUEMENT que l’institution vénérée par certains africains manque d’argent pour utiliser des locaux aux fins de tenir des audiences? Il y a forcément quelque chose qui tourne pas rond.
Fier Ivoirien II/#Rezopanacom

Me Jacob :lit un rapport du témoin
Question :vous nous aviez parlé d’une réunion pour Abidjan. Aviez vous reçu une lettre de mission
Témoin :non je ne pense pas car je n’ai pas été désigné comme expert
Me Jacob :lit le rapport médico-légal du témoin….
Question :quel à été votre rôle dans cette exhumation matériellement
Témoin : celui d’observateur, elle s’est déroulée sur plusieurs mois. J’étais présent au début car j’ai dû quitté Abidjan pour me rendre après en RD Congo….
Me Jacob :à quell date exactement
Témoin :j’ai pas mes archives avec moi
Juge président : cette affaire est sérieuse je m’attendais à ce que vous apporter vos documents avec vous…
Encore un plaisantin d’expert du bureau du procureur

Me Jacob : donc les exhumation ont eu lieu sur ordre du bureau du procureur
Témoin :je ne peux pas pas vous répondre car je sais pas
Me Jacob :concernant les corps exhumés auquel vous avez assisté ont ils subi des examens médico-légal
Témoin :oui. Je pense pas avoir reçu certains mais j’ai pas reçu la totalité de ces rapports
Me Jacob : lequel rapport avez vous reçu
Témoin : j’ai pas de souvenirs.. 😀😀😀

SI LA CPI REPOUSSE LES AUDIENCES DU PROCÈS HONTEUX CONTRE LE Président GBAGBO Laurent , FAUTE D’ARGENT, PENSEZ VOUS QU’ELLE POURRA ACCUEILLIR DES AUTEURS POUR RIVALISER AVEC DES co auteurs dans cette comédie …????
Quand on vous dit que nous sommes dans une sorcellerie , vous pensez qu’on ment ..???
Ne nous levons pas pour chasser aDo et libérer notre Côte d’Ivoire , attendons que les « blancs » nous OFFRENT notre liberté. .. Nous sommes ridicules à la fin. ..

 Selon le témoin du jour : »Lors de la visite du cimetière en 2014, la tombe d’une certaine Bamba n’a pas été retrouvée. Par contre, nous avons fait une analyse d’ADN sur le corps d’une autre personne qui, elle n’était pas présente, mais cette analyse s’est avérée négative (…) L’ADN n’aurait pas permis de confirmer l’identité de Massany. Les femmes mortes d’Abobo étaient essentiellement des sujets de sexe masculin « On demande au témoin soi-disant expert si des membres des familles des prétendues victimes étaient présents au moment de l’exhumation des corps, le témoin soi-disant expert répond qu’il ne sait pas parce qu’il y avait du monde et que des personnes ne se sont pas présentées à lui comme étant des parents des dépouilles exhumées.
Donc vous, vous ouvrez les tombes sans prévenir les membres des familles ?
Les corps en question, ce sont vos parents ?
En plus, quand on lui demande s’il sait comment les tombes ont été identifiées, il dit qu’il ne sait pas. On lui demande s’il sait comment les corps ont été transportés, il dit qu’il ne sait pas non plus. On lui demande s’il sait dans quelles conditions ils ont été conservés, il ne sait toujours pas. MAIS QU’EST-CE QU’IL FOUT DONC LÀ ?

LIBÉREZ LE PRÉSIDENT GBAGBO ET LE MINISTRE CHARLES BLÉ GOUDÉ

L’Afrique, voire le monde, qui suit le procès de Laurent Gbagbo, commence à se rendre compte de l’injustice évidente qui lui est faite. Ce procès aurait dû s’arrêter après les dernières révélations de Médiapart apportant la preuve d’une collusion entre l’ex-procureur de la CPI, l’argentin Luis-Moreno Ocampo et les autorités d’Abidjan d’une part, et l’ex- président français Nicolas Sarkozy d’autre part. Mais la CPI, toute honte bue, continue sa manœuvre. Aujourd’hui, la Cour nous présente un témoin, qui est un fonctionnaire du bureau du procureur. Mon premier réflexe a été d’éteindre mon ordinateur et passer à autre chose. Mais des zones d’ombre perçues dans la déposition du témoin-expert ont retenu mon attention:
1) M. BAMBA, requis pour l’expertise médico-légale en sa qualité de parent d’une victime de la marche des femmes d’Abobo, n’a été d’aucune utilité pour l’enquête, selon le témoin. M. Bamba qui n’a pas assisté à l’enterrement de sa fille était incapable de trouver l’emplacement de sa tombe.
2) Une panne d’électricité est intervenue (en même temps) dans les 2 morgues d’Abidjan, Ivosep et Interfu. D’où l’enterrement rapide des corps pour éviter leur dégradation.
3) Les victimes exhumées du carré des indigents ivosep et du carré des indigents interfu du cimetière d’Abobo dépassent amplement les 400 annoncées par les autorités ivoiriennes. L’expert dit avoir compté plus 700 victimes.
4) Le triage entrepris pour séparer les victimes féminines des victimes masculines a révélé que la grande majorité de ces victimes étaient de sexe masculin.
Alors mon unique question: la marche des femmes d’Abobo qui aurait occasionné le décès des 7 femmes, était-elle une marche d’hommes pour qu’on déplore tant de victimes de sexe masculin (plus de 700)?

Ohouochi Clotilde Yapi
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Depuis la Maca, un des 40 étudiants incarcérés rompt le silence : « Nous souffrons de diarrhée et de démangeaisons ». Ouattara il faut libérer les Étudiants .

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