La bouche d’or d’Affi N’guessan

saint Jean Chrysostome était appelé Bouche d’Or, tellement ses paroles étaient belles et percutantes. le problème, c’était un farouche antisémite qui a contaminé toute l’histoire de l’Eglise, et la théologie chrétienne en a subit les conséquences jusqu’à ce jour, sans parler des conséquences funestes sur l’Histoire du monde. Aujourd’hui Affi, malheureusement est son disciple, il fait de même en enfonçant son chef et mentor, et ce règlement de compte fait mal et fait du mal à l’échelle ivoirienne, et de la communication en général.
Shlomit

La colère noire d’Affi N’Guessan, l’extrême violence de ses propos pour accabler Laurent Gbagbo indiquent qu’il cachait un jeu, son jeu. Son « je vais voir mon patron en Belgique », qui voulait traduire son allégeance à une hiérarchie, se revèle, en réalité, un âppat.
Affi, lui-même, avoue, au cours de sa conférence de presse du 23 mars, que Laurent Gbagbo, avant qu’il ne quitte Abidjan, le 19 mars 2019 en fanfare, a posé des conditions à exécuter avant leur rencontre initialement prévue le 21 mars à Bruxelles: la reconnaissance, publiquement, du Congrès extraordinaire de Mama et du Congrès ordinaire de Moossou et le respect de leurs décisions.
En prenant l’avion et en faisant sa déclaration tonitruante qui ne laisse rien transparaître de son opposition, Affi signifiait son adhésion totale au préalable de son « patron », c’est-à-dire qu’essentiellement, il renonçait à la présidence du FPI au profit de Gbagbo. Car, dans le bicéphalisme à la tête du parti, il fallait lever tout équivoque avant toute concertation.
Mais une fois à Paris, Affi s’est rétracté et a soumis l’exécution du préalable après la rencontre, pour espérer exercer une pression sur Gbagbo et le mettre devant le fait accompli.
Cela montre donc qu’il voulait rencontrer son « patron », qu’il compare désormais à Bouteflika et Mugabe pour bien tourner sa page, en tant que président légal du parti, reléguant celui-ci, qui préside l’autre tendance du FPI, au rôle de dissident, clandestin ou faussaire.
C’est un piège lourd de conséquences, au plan judiciaire, alors que l’ex-prisonnier de la CPI, bien qu’acquitté, est en liberté conditionnelle. Gbagbo a refusé de tomber dans ce jeu, au grand dam d’Affi et de ses partisans qui invoquent, à tort, l’humiliation et le mépris, pour ruer dans les brancards.

Bally Ferro

Les 3 erreurs monumentales d’Affi N’guessan…

Encore une fois, nous étions nombreux heureux à avoir appris seulement la veille que Laurent Gbagbo s’apprêtait à recevoir enfin son ancien premier ministre Pascal Affi N’guessan avec qui il n’a jusque-là pas voulu échanger. Nous avions donc espérer de bonne foi que ce rendez-vous manqué ne signifiait aucunement la fin de notre optimisme. Nous étions même à tenir le langage d’un « Gbagbo aurait dû… ». Pour donner chance à un autre calendrier pour une autre rencontre entre le père et le fils. Parce que nous rêvions de retrouvailles de toute la famille FPI.

Mais avec cette conférence inopportune d’Affi au seul point de sa version à propos de la rencontre avortée avec son « patron », hélas il ne nous reste plus qu’à déchanter. Il se serait tenu seulement à la déclaration écrite postée sur réseaux depuis l’aéroport de Paris suite à l’échec de la rencontre avec Laurent gbagbo que le cas d’Affi serait encore défendable. Le simple fait de sauter dans le premier avion sans attendre pour donner une chance aux négociations avec l’émissaire de son patron, le fiston a commis là sa toute première erreur. Puis venir se faire célébrer par ses « hommes » à lui dans un accueil de héros rentré après avoir dit non au gourou, a été l’autre erreur. Mais l’affront de trop dont Affi aurait dû faire l’économie demeure cette conférence expéditive 48h après le revers de Paris. Si nous avions été quelque peu ému que Gbagbo, avec ces diatribes sortis par Affi viennent confirmer les appréhensions de Laurent gbagbo en soumettant son ancien premier ministre à un préalable avant toute rencontre avec celui-ci. Dans des mots chocs pour buzz, dans une émotions à fleurs de peau, Affi N’guessan a traîné de boue Laurent Gbagbo revelant ses vérités et opinions à lui sur l’homme. Avec des tentatives à dresser un autre profil beaucoup plus lugubre de l’homme. Laurent Gbagbo qu’il n’a pourtant jusque-là pas vu mentionner son nom directement. Une réplique ordurière certainement à l’humiliation dont il dit avoir été victime à Paris. Les propos d’Affi sont si abjects et crus qu’ils ne donnent plus aucune chance à une éventuelle paix des braves pour des retrouvailles entre anciens camarades. On est encore en droit de se demander ce qui a bien pu passer par la tête de Pascal Affi N’guessan… mais ça encore, c’est une autre paire de manche. Aujourd’hui c’est dimanche. Prions les amis.
Hermann Aboa

Expresss— Ça y est—Isolement AFFI en marche—Expressss—Isolement AFFI en marche—

24h seulement après s’être attaqué au Kilimandjaro politique, tout s’écroule autour de la termitière AFFI : Sa secrétaire générale doublée de PCA de Notre Voie, Mme Agnès Monnet, et VOHO SAHI, l’un de ses derniers piliers, viennent d’abandonner Affi dans ses délires…

Ça y est ! Affi a suicidairement mangé son totem depuis hier, samedi 23 mars 2019. Les principaux piliers de son système viennent de notifier leur démission à AFFI, il y a moins de 10mn.

En effet, un seul jour seulement après ses élucubrations contre le symbole GBAGBO Laurent, Madame Agnès AYE Épouse Léon Emmanuel MONNET, anciennement Secrétaire générale de AFFI, et PCA de « Notre Voie », et le dinausore de son système VOHO SAHI, viennent d’abandonner le « détruant ».

Les graves propos de Affi, ce samedi 23 mars 2019, leur ont révélé que l’homme a menti sur toute la ligne. Nos réseaux nous font savoir d’ailleurs qu’ils sont nombreux ceux qui ont été aussi abusés, et ont décidé de laisser AFFI se suicider tout seul. Même des personnalités insoupçonnables, en tout cas dites inconditionnelles de AFFI sont dans les vestiaires. Seul sieur ATTEBY Williams jouerait encore les linceuls de Affi.
Le téléchargement mortel se poursuit donc. Restez en ligne !

De source bien informée, toutes ces personnalités ne comptent pas s’arrêter là. Elles s’en iront, sans délai, faire physiquement allégeance au baobab Gbagbo, dès que le calendrier de ce dernier l’autorisera.
La copie du courrier en acheminement vers Tchedjougou OUATTARA..
«Yeux connaît bagages qui est lourd. C’est Beyla seul qui fait toujours exprès » !
L’Activateur Tchedjougou OUATTARA, envoyé Spécial chez le chaton de Moronou en convulsions
Roger Dakouri Diaz