Junior Gbagbo, le sympathique témoin donne des nouvelles

I – GRAVES REVELATIONS DE JUNIOR GBAGBO…

Qui se rappelle de JUNIOR GBAGBO? Témoin à la CPI.
Il m’a envoyé ses photos , en Inbox, depuis le lieu où il se trouve. Après son témoignage, il a pris un vol direct, de la Haye pour son pays d’origine le LIBERIA. Présentement il n’y est plus, mais derrière l’eau. Saluez-le si vous le voyez. Il m’a dit que GBAGBO est son père et qu’il reste toujours GBAGBO..
IL ferait un bon mannequin hein…

Junior GBAGBO : Chers camarades en GBAGBO je vous dis vraiment merci pour tous vos messages de ce matin laissé sur la publication de Léo cote d’Ivoire. Retenez ceci : Je suis GBAGBO et GBAGBO est mon père. C’est la mort qui me séparera de lui. Toute ma famille est GBAGBO. Pour rien au monde nous le laisserons. Je suis libérien et j’ai combattu aux côtés de mon président volontairement. Nous étions 45 dans ce cas. GBAGBO ne nous a rien donné , même pas un rond. Nous les 45 avions combattu gratuitement et parce qu’on l’aimait. Nous étions a la résidence lors des bombardements. Nous avons tenu jusqu’au dernière jour. Sur les 45 , un seul fut tué. Nous les 44 autres sommes revenus au Libéria. Nous sommes fiers d’avoir combattu pour le président.

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GBAGBO est dans mon sang. Je n’ai jamais travaillé pour Ouattara et dans les heures qui suivent je vous ferai des révélations via le profil de mon frère Leo cote d’Ivoire. Après la CPI je suis rentré au LIBERIA et j’y ai retrouvé ma grand mère tres malade , avant mon départ , décédée. La CPI , m’a proposé plus de 2 milliards , pensant que je témoignerai pour eux, mais après mon témoignage, je suis rentré avec rien parce qu’ils ont vu que mon témoignage etait en leur défaveur. Je ne pourrai jamais trahir mon GBAGBO…>>

II –En 2013 , les militaires libériens à leur frontière LIBERIA – COTE D’IVOIRE en avaient marre des comportements bêtes et sales des FRCI et des dozos en poste à la frontière du coté de la cote d’Ivoire. Les militaires libériens ne les considéraient pas comme des militaires réguliers. Donc dès qu’un FRCI passait du côté de la frontière libérienne , il était frappé et blessé. Il y avait donc une tension à la frontiere. Pendant ce temps moi j’étais en exil à Accra , Hamed Bakayoko ne faisait que m’appeler et m’embrouiller, me demandant pardon jusqu’à me supplier de rentrer au pays et de venir travailler avec le gouvernement Ouattara en vue de les aider à calmer la tension du côté de la frontière. Je refusais a chaque fois et je lui répétais à chaque fois que je ne peux pas venir travailler avec eux car je ne veux pas trahir mon GBAGBO.

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Ma femme en avait également marre de leurs appels. L’ONUCI puis le gouvernement libérien sont entrés en contact avec moi afin de les aider à ramener la paix du côté de la frontière car moi seul  pouvais gérer ça. J’ai reçu donc un coup de fil de l’état libérien m’assurant de toutes les garanties, mais j’ai exigé de ne pas passer par la Côte d’Ivoire; car tant que mon GBAGBO n’est pas rentré je ne mettrai pas pied en Côte d’Ivoire. Je me suis donc rendu fin 2013 à la frontière du Libéria avec la Cô-te d’Ivoire. ( Voir photos jointes.) j’étais en civil accompagné des Onusiens et ceux qui étaient en civils étaient mes gars. J’ai passé près de 9 mois la-bàs et j’y ai rétabli l’ordre. Hamed Bakayoko voulait me remettre l’argent j’ai dit NON. Il a voulu corrompre les soldats libériens, ils ont jeté son argent.

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Des temps après, on m’annonce l’arrivée de Ouattara à la frontière du Libéria puisque le calme était revenu. Hamed Bakayoko a demandé à ses hommes et à l’ONUCI de me faire partir car si je vois Ouattara je risque de le tuer… Je n’ai pas trahi GBAGBO. Cette action me fut demandée par l’Etat du LIBERIA. Je reste GBAGBO et je demeure…. Ouattara et son gouvernement sont impuissants. Ce sont des PLAISANTINS..>>

Partageons massivement.
« Comment j’ai été envoyé à la CPI tout à l’heure… »
Léo Cote d’Ivoire III

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