CPI : quand la face peu reluisante remonte à la surface….

#CPI/ LE SECRETS DE LA COUR PÉNALE INTERNATIONALE. M. FABRICE ARFI ET M. FRANÇOIS BONNET ENQUÊTEURS À MÉDIAPART FONT DES RÉVÉLATIONS FRACASSANTE SUR LA CPI. 27min18s d'entretien pour votre information

Publié par SCOOP sur samedi 7 octobre 2017

POUR L’HISTOIRE,
Sachez que le 18 avril 2003, le ministre des affaires étrangères ivoiriennes d’alors Bamba Mamadou avait pris la décision de reconnaître la compétence de la cour pénale internationale pour juger les crimes commis en Côte d’Ivoire.
Mais le 17 décembre de la même année, LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL dirigé par Yanon Yapo en décision numéro 002/CC/SG du 17 décembre 2003 avait « cassé » cette décision du ministre estimant que la CPI portait « atteinte à la souveraineté nationale ». Le parlement n’a plus été saisi pour en débattre.

Alors Mediapart a donc raison, l’arrestation et le transfèrement de Laurent GBAGBO à la CPI en 2011 n’avait aucune base juridique, c’était le fruit d’un complot monté entre amis francafricains.
C’est d’ailleurs plus tard ,en 2013 que Ouattara a déposé son dossier de ratification du traité de Rome instituant la Cour Pénale Internationale en prenant d’abord le soin de modifier un article (article 85) de la constitution en 2012 pour rendre cela possible.
Fier Ivoirien

Quel rôle Ahoussou Jeannot a-t-il joué?

L’image contient peut-être : 4 personnes, personnes debout et barbeCe monsieur, à droite, se dit avocat international. C’est à lui qu’il a été confié d’organiser le transfèrement du président Gbagbo à la Cpi, au moment même où la Côte d’Ivoire n’avait pas encore ratifié le traité de Rome. Tribaliste chronique, il déclarait à ses parents du grand centre que Gbagbo ne sortirait jamais de ce pénitencier colonial.
Aujourd’hui, avec les prouesses des jeunes et VRAIS avocats ivoiriens comme Me Claver N’dri, Me Zokou, Me Gbougnon, appuyés par leurs confrères européens Me Altit et Me Kloops, le procès de Gbagbo s’est mué en procès contre ces faussaires, falsificateurs, tribalistes et haineux au pouvoir avec, en trame de fond, une France Sarkoziste néo-colonialiste et afro-dépendante à tous points de vue. L’affairiste Ocampo se trouve aujourd’hui trempé jusqu’au cou dans des affaires d’argent sale issu de corruptions multiples.
Mediapart vient de lâcher une bombe à fragmentation dont les effets achèveront de pulvériser le peu de crédibilité qui reste à cette Cour pour Présidents Insoumis (CPI). Et qui sait de quoi demain sera fait ? Jean Ping n’avait-il pas retenu Me Altit pour sa défense éventuelle suite au conflit post-électoral au Gabon ? De la présidence à la prison ou vice-versa, les avocats désormais de renom que sont Claver N’dri, Dadjé, Gbougnon, Zokou pourraient se retrouver à défendre ce pseudo avocat-tribaliste sans référence, véritable œsophage ambulant, son haineux de chef et tous ceux qui, dans une haine solidaire, ont semé la division dans ce pays. Mais, aussi bien que nos actes sont sources de nos rétributions, croyons en cette justice divine qui fait entrer les justes dans l’histoire et les méchants dans la poubelle de l’histoire.
Guillaume Lago

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