Venezuela : Quand une « illégitimité » en cache une autre,

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le Tweet d’Emmanuel Macron qui ne passe pas

Macron n’a pas d’arrogance, il est l’arrogance.
Macron ne méprise pas, il est le mépris.
Macron ne ment pas, il est le mensonge.
Macron ne hait pas les couches populaires, il est la haine.
Macron n’ordonne pas la violence policière et judiciaire, il est la violence contre le peuple.
Macron n’a pas d’honneur et il est le déshonneur.
Macron n’est pas illégitime, IL EST L’ILLÉGITIMITÉ.

Les frais du ministère de l’économie utilisés à des fins électorales, le voyage illégal à Las Vegas pour aller chercher des sponsors, les contrats frauduleux avec Havas, les tournées de Jean-Pierre Jouyet pour récupérer illégalement du fric, le bradage d’Alstom aux Américains d’Alstom à l’occasion duquel tout le monde s’est servi avant de devenir les gros contributeurs de la campagne, les magouilles avec Drahi pour que celui-ci mette son groupe de presse au service de la candidature Macron, le soutien total de toute la presse oligarchique et du service public audiovisuel, l’opération judiciaire pour détruire la candidature Fillon, la complaisance ahurissante des organes de contrôle de l’élection, Commission Nationale des Comptes de Campagne et Conseil Constitutionnel, l’invraisemblable mansuétude du parquet de François Molins et de son successeur pour protéger Macron et son entourage: s’il y a une élection frauduleuse et radicalement illégitime c’est bien celle d’Emmanuel Macron. Et c’est une des raisons pour lesquelles, celle-ci lui explose à la figure.
Cela ne l’empêche pas aujourd’hui en compagnie de Donald Trump et Bolsonaro de soutenir un coup d’état, de pousser à une guerre civile et de donner des leçons de légitimité.
Monsieur Macron, les centaines de milliers qui marchent pour restaurer la démocratie, ce sont les Français qui disent que dans l’intérêt de la république et de la démocratie votre départ est indispensable.

MACRON N’A PAS DE CULOT, IL EST LE CULOT.
Régis de Castelnau

 24 janvier  2019
Le président vénézuélien Nicolas Maduro (D) au balcon du palais présidentiel, le 23 janvier 2018. ©AFP
Le président vénézuélien Nicolas Maduro (D) au balcon du palais présidentiel, le 23 janvier 2018. ©AFP

 

Quelques heures avant la tentative de coup d’État ratée des États-Unis contre l’État vénézuélien, Washington a annoncé reconnaître le président du Parlement comme le président de ce pays et d’être prêt à l’attaquer militairement. Mais c’était sans compter sur l’armée : Le ministre vénézuélien de la Défense, Vladimir Padrino, a déclaré sur Twitter que l’armée défendrait la Constitution et non pas un président imposé. Quant au président vénézuélien, Nicolas Maduro, il a annoncé, mercredi 23 janvier, que son pays rompait ses relations diplomatiques avec les États-Unis qui ont reconnu Juan Guaido en tant que président par intérim du Venezuela. Une première manche vient d’être gagnée par le peuple vénézuélien face aux États-Unis.

Le président vénézuélien Nicolas Maduro a annoncé, mercredi 23 janvier, que son pays rompait ses relations diplomatiques avec les États-Unis qui ont reconnu Juan Guaido au poste de président par intérim du Venezuela.

Le président Nicolas Maduro a donné 72 heures aux diplomates américains pour quitter le Venezuela. Cette décision a été prise par Caracas en réaction à l’annonce faite par le président des États-Unis Donald Trump qui a reconnu le chef de l’opposition, Juan Guaido, qui s’est autoproclamé président par intérim.

« J’ai décidé de rompre les relations diplomatiques et politiques avec le gouvernement impérialiste des États-Unis. Dehors ! Qu’ils s’en aillent du Venezuela ! », a déclaré le président vénézuélien.

Dans son discours, le président Maduro a accusé les États-Unis de « coup d’État fasciste » et a demandé aux forces armées de son pays de « rester unies et de maintenir la discipline ».

Devant des milliers de manifestants qui le soutenaient le 23 janvier dans les rues de Caracas, le président Maduro a déclaré : « Je demande à l’armée, aux militaires de notre patrie, aux forces armées nationales, la plus grande loyauté, la plus grande union, la plus grande discipline, nous allons gagner aussi ce combat. Loyaux toujours, traîtres jamais ! »

Cet appel de Nicolas Maduro été manifestement entendu par les forces armées car l’armée vénézuélienne a rejeté explicitement l’auto-proclamation en tant que président du pays de l’actuel président du Parlement, Juan Guaido.

Venezuela: vers un coup d'État US?

Le ministre vénézuélien de la Défense, Vladimir Padrino a annoncé mercredi soir que les forces armées restaient loyales au président élu Nicolas Maduro. « Le désespoir et l’intolérance menacent la paix de la Nation. Les soldats de la patrie n’acceptent pas un président imposé dans l’ombre d’obscurs intérêts, ni un président autoproclamé en dehors de la Loi », a-t-il déclaré.

Juan Guaido, président de l’Assemblée nationale et chef pro-américain de l’opposition, s’est autoproclamé président le 23 janvier, 13 jours après l’investiture de Nicolas Maduro, réélu pour un second mandat. Guaido se fond apparemment sur un article de la Constitution qui prévoit qu’en cas de vacance du pouvoir, le président de l’Assemblée nationale assume la présidence intérimaire mais il comptait surtout sur un soutien des manifestants et de l’armée, ainsi que sur celui des États-Unis.

Plusieurs pays sud-américains comme la Colombie, le Brésil, l’Argentine, le Chili et le Paraguay se sont alignés sur la position de Donald Trump et ont reconnu immédiatement Juan Guaido comme le nouveau président du Venezuela. Cependant, des pays comme le Mexique et la Bolivie ont maintenu leur soutien au président élu Nicolas Maduro.
PressTV.com